Cogitations sur la perversité sexuelle des sionistes francs-maçons mondialistes :

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L’actualité estivale nous prouve encore une fois leur côté perfide:

On connaissait la gaypride de Tel-Aviv :

https://www.youtube.com/watch?v=Dph95Xs2Clo

Mais celle qui s’est passée  ce 28 juillet à Jérusalem est bien plus intéressante symboliquement pour ces mondialistes. Car elle est la ville sainte des trois principales religions de la terre :

http://tempsreel.nouvelobs.com/galeries-photos/monde/20120803.OBS8869/en-images-gay-pride-dans-les-rues-de-jerusalem.html

Si la sulfureuse LDJ (Ligue de Défense Juive) soutient cette gaypride,  ce n’est pas le cas du Juif orthodoxe Rav Ron Chaya :

Du côté catholique ce n’est pas le fait d’être de tendance homo qui est condamnable mais les actes d’homosexualité qui sont intrinsèquement désordonnés et contraires à la loi naturelle. Car ils ferment l’acte sexuel au don de la vie et ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Les personnes homosexuelles sont appelées à la chasteté comme de nombreux autres individus subissant des tendances sado-masochistes, pédophiles, fétichistes ou autres…

http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P80.HTM

Il faut dire que les déviances humaines sont nombreuses et étonnantes ! Difficile d’affirmer qu’on nait avec l’une d’entre elles,  comme certains aimeraient nous le faire croire.

http://www.topito.com/top-15-des-deviances-sexuelles-les-plus-originales

Dans l’ouvrage de l’universitaire de Yale, John Boswell, ‘Christianity, social tolerance and homosexuality : Gay people in western Europe from the beginning of the christian era to the XIV century’, il évoque des rituels de mariage entre personnes de même sexe. Notamment un rite appelé le « Ordo ad fratres faciendum » qui a certainement pour origine celui grec, l’« Adelphopoiesis ». Il fut reconnu par l’Eglise catholique jusqu’au XIV° siècle et celle orthodoxe jusqu’au XX°. Il unissait spirituellement deux personnes essentiellement de même sexe ayant entre eux une grande profondeur affective. On a eu ainsi des saints comme Côme et Damien, Serge et Bacchuse, les apôtres Philippe et Barthélemy… Selon le prêtre orthodoxe Pavel Florensky, l’adelphopoiesis correspondait à un amour de charité (sentiment de gratuité et de bienveillance), d’amitié (de confiance et d’affinité) mais aussi quelque peu érotique par son aspect sensible et passionné sans être exclusif. Contrairement au mariage homosexuel il n’était pas une union sexuelle et pouvait être dissolue. On retrouve dans la Bible ce genre de duo comme dans :

2 Samuel 1:26 : « Je suis dans la douleur à cause de toi, Jonathan, mon frère ! Tu faisais tout mon plaisir ; Ton amour pour moi était admirable, Au-dessus de l’amour des femmes. »

1 Samuel 18:1 : « David avait achevé de parler à Saül. Et dès lors l’âme de Jonathan fut attachée à l’âme de David, et Jonathan l’aima comme son âme. 2Ce même jour Saül retint David, et ne le laissa pas retourner dans la maison de son père. 3Jonathan fit alliance avec David, parce qu’il l’aimait comme son âme. 4Il ôta le manteau qu’il portait, pour le donner à David; et il lui donna ses vêtements, même son épée, son arc et sa ceinture. »

En fait, si pour l’Eglise les pratiques sexuelles unisexes représentent un désordre (un péché), Elle ne condamne pas pour autant à la solitude affective.
https://www.youtube.com/watch?v=urVvdZQAEEU

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Mais la France, avec un président  pieds et mains liés aux sionistes mondialistes, que peut-elle faire ?

Elle ne peut qu’encourager ces actes.  Sa ministre déléguée à la Famille a d’ailleurs précisé au micro d’Europe1 que le texte de loi sur le mariage homosexuel  » devrait être voté dans le premier semestre 2013 et sans referendum. »

Pourtant le site internet du Figaro organisait dernièrement un sondage portant sur la question suivante : Faut-il autoriser le mariage homosexuel ? Le NON l’a emporté à 70,42 % sur un total de 80.157 votants. Ce sondage confirma celui réalisé à peu près au même moment sur le site de bfmtv qui donnait le NON à 68% sur un peu plus de 8.000 votants.

François Hollande agit donc consciemment contre le peuple. Cela fait partie d’un de ses 60 engagements.  Il va donc très vite mettre en place l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe, l’homoparentalité et la lutte contre l’homophobie et la transphobie, au niveau national comme au niveau international.

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Cette lutte pose toutefois problème au niveau des dons d’organes et de sang :

Pourquoi donc les homosexuels en sont-ils exclus ? La loi ne discrimine personne mais prend tout simplement en compte les données épidémiologiques selon lesquelles, l’homosexualité est un facteur  de risque pour le VIH, donc une contre-indication de don.  Aux collectes de sang par exemple, les femmes homosexuelles  sont acceptées. Le Dr Jean-Pierre Calot, chef de service à Etablissement français du sang (EFS) de la région Midi-Pyrénées, en  précisait la raison le 27 janvier dernier : « Un vagin est fait pour avoir des rapports sexuels alors qu’un anus  non  Il y a un risque important de contamination par la muqueuse anale. Donc dès qu’il y a une érosion, une petite plaie, si un partenaire est séropositif, il y a transmission … » Bien entendu, ces déclarations déclenchèrent une levée de boucliers des « sodomites » criant à la stigmatisation d’une population. Ils n’avaient pas compris qu’il n’y a pas de population à risque, il n’y a que des pratiques  à risque. L’abstinence qui vaut éminemment pour d’autres domaines de la prévention sanitaire (drogue, tabac, alcool pour les femmes enceintes etc…)  où l’état ne se prive pas de cibler des  populations à risques, est curieusement repoussée ici par a priori idéologique et tabou de la non-discrimination sexuelle : révolution des mœurs et dogme du « gender » obligent ! On sait pourtant que c’est cette volonté aveugle de ne pas discriminer  qui est à l’origine du scandale du sang contaminé, avec notamment les collectes dans les prisons.

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L’affaire du sang contaminé qui fit comparaître l’ancien Premier Ministre socialiste Laurent Fabius en 1999 pour homicide involontaire  n’aura donc pas suffit !

Alors qu’une circulaire de juin 1983 (confirmée dans un arrêté de 2009) excluait de la collecte de sang anonyme et gratuite les hommes déclarant avoir eu des relations sexuelles avec d’autres hommes (comme ayant une « pratique à risques »), le nouveau ministre de la santé d’Hollande, Marisol Touraine, a annoncé le 14 juin vouloir revenir sur cet élémentaire principe de précaution : « On peut et on doit revoir cette politique sans qu’il soit question de prendre le moindre risque en terme de transfusion mais le critère ne peut pas être l’inclination sexuelle », a-t-elle indiqué.

En 1984 et 1985, sous le gouvernement Fabius, soit durant près de dix-huit mois, du sang contaminé par le VIH (virus du sida) a été collecté par le Centre National de Transfusion Sanguine, dirigé par le Dr Michel Garetta. Pourtant, le 20 juin 1983, une circulaire du professeur Jacques Roux, directeur général de la Santé, interdisait la collecte de sang chez les sujets à risque (notamment les prisonniers) alors même que le virus du sida venait pourtant tout juste d’être découvert en France. Malgré cela, Mme Myriam Ezratty, directrice générale de l’administration pénitentiaire demandait, par circulaire du 13 janvier 1984 que la fréquence des collectes auprès de la population carcérale soit accrue (pouvant ainsi passer de deux à six collectes par an). Les conséquences furent un drame national : près de 2 500 hémophiles, dont la maladie nécessite des transfusions sanguines fréquentes mourront donc de sang contaminé par le virus du sida. L’un des principaux arguments des prévenus est que le virus du sida seulement découvert en France en 1983 était encore très mal connu en 1984. Or, le principe de précaution a été indirectement inscrit dans la Constitution française en 2005, puisqu’il figure en l’article 5 de la Charte de l’Environnement de 2004, elle-même intégrée au bloc de constitutionnalité en 2005. Le principe de précaution a donc valeur constitutionnelle depuis SEPT ANS !

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Un peu de statistiques :

Selon lInstitut de veille sanitaire (InVS) qui se fonde sur des données épidémiologiques :le nombre de personnes contaminées par le VIH est 65 fois plus élevé parmi les gays. Surtout, le taux d’incidence de la maladie, c’est-à-dire le nombre de nouvelles infections enregistrées chaque année, est 200 fois plus élevé dans cette population.

Selon l’étude Prévagay, publiée le 29 juin dans la revue en ligne, PLoS ONE, tous les ans, 4 % des hommes fréquentant les bars et boîtes de nuit homosexuels sont contaminés par le virus du sida. Cette étude a été réalisée dans 14 établissements parisiens par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et l’Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS). L’objectif de cette étude était principalement d’estimer la prévalence biologique de l’infection à VIH et son incidence chez des HSH qui fréquentent les lieux de convivialité gay parisiens . Alors que 60 % des hommes sollicités dans ces bars ont accepté un prélèvement sanguin, 157 échantillons sur 886 se sont révélés séropositifs pour le virus du sida, soit près de 17,7 %. La multiplication du nombre de partenaires augmentant le risque de contamination, ce résultat n’est pas surprenant puisque 50% des hommes testés et interrogés avaient plus de 10 partenaires par an et un tiers en avait même plus de 20. Stéphane Le Vu, épidémiologiste à l’InVS a donné l’explication suivante : «Si l’on considère un groupe de 100 hommes séronégatifs qui fréquentent ces lieux, on estime qu’environ 4 d’entre eux seront infectés au bout d’un an.» En d’autres termes, les personnes qui fréquentent ces établissements sont sujettes, dans de très fortes proportions, à un risque de contamination. »

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Mais comment attrape-t-on ces déviances multiples ?

Il serait intéressant d’interroger des personnes, qui pour des raisons purement lucratives, appréhendèrent vite comment fonctionne la sexualité humaine.  Il ne leur fut pas difficile de transformer des enfants en homosexuels capables de satisfaire une clientèle perverse occidentale.  La Thaïlande et le Maroc sont des destinations à la mode pour ce genre de tourisme sexuel. Et ce n’est pas les ministres de la Culture de la France décadente qui diront le contraire. Ne dit-on pas que la chute des arts suit la décadence des mœurs ?

https://www.youtube.com/watch?v=2cYlhxKvas4

En Afghanistan, on forme des Bacha Bazi. Tout jeune (autour de 10 ans), les garçons sont entrainés à danser déguisés en fille et à coucher avec des hommes.

https://www.dailymotion.com/video/xrbuxy

https://www.dailymotion.com/video/xm73fd

Leurs cerveaux vierges, après découverte de la jouissance avec des hommes,  ne pourront plus ensuite soutenir des relations satisfaisantes avec le sexe opposé. Ces enfants seront comme emprisonnés à vie par cette déviance. On retrouve un phénomène semblable avec la drogue, l’alcool ou bien d’autres pratiques sexuelles. Le grand malheur, l’alcoolique, le drogué, l’homo, le pédo ou le sado-masochiste, pris dans cet engrenage, ne tient pas à en sortir. Car c’est comme-ci on voulait lui supprimer ce qui le fait jouir. Il ne se rend même plus compte de son cas pathologique.

C’est pour cette raison que l’incitation dans les classes de CM1 et CM2 à des comportements homosexuels dès le plus jeune âge,  avec par exemple le petit film “le baiser de la lune” est criminelle.

https://www.terrafemina.com/vie-privee/famille/articles/12427-homosexualite-l-le-baiser-de-la-lune-r-sera-diffuse-aux-enfants-de-cm1-cm2.html

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La différence sexuelle  est très tôt reconnue par les bébés :

A partir de 2 mois, ils distinguent les voix des hommes des voix des femmes. Dès 5 mois, les bébés différencient des photos d’hommes de femmes. A partir de 9 mois, ils regardent plus longtemps les photos de femmes lorsqu’elles sont présentées en même temps qu’une voix féminine. A 18 mois, ils seront capables d’associer les voix masculines à des photos d’hommes. Un peu plus tard, au cours de la 2ème année, ils deviendront aptes à identifier les deux sexes. Aux alentours de 26 mois, les enfants savent indiquer leur sexe.

Dès 16 mois, les garçons préfèrent regarder des véhicules, et les filles des poupées. Les garçons ont tendance à porter plus attention aux mouvements d’objets et à leur emplacement, tandis que les filles ont tendance à porter plus attention aux formes et à la couleur. Des enfants âgés de 4 à 5 ans démontrent l’effet de “ la pomme de terre chaude ”, c’est-à-dire que, sans tenir compte de l’attrait du jouet, les enfants ont tendance à moins aimer les jouets stéréotypés de l’autre sexe. Cependant, les filles affichent plus souvent que les garçons leurs choix pour des jouets et des activités masculins. Les enfants utilisent le plus souvent un modèle égocentrique de raisonnement. Les garçons et les filles ont généralisé leurs préférences aux autres enfants du même sexe en déclarant : “ Je suis un(e) fille/garçon et je veux jouer avec ce jouet, donc d’autres filles/garçons le veulent aussi. ” Au sexe biologique, correspond un certain nombre de rôles sociaux attendus et de valeurs connus dans la culture comme étant spécifiques de chaque sexe. Connaître son sexe et adhérer aux rôles et aux valeurs qui y sont attachées fait partie de la construction de l’identité individuelle et sociale. La connaissance par l’enfant de son identité sexuée implique d’abord qu’il soit capable d’identifier et de différencier les deux sexes, et aussi que l’enfant prenne conscience de son appartenance à l’une des deux catégories. L’entourage de l’enfant a un rôle très important sur cette prise de conscience. Si elle est mal faite, on peut aller à la catastrophe. Comme avec ce couple de lesbiennes qui fera changer le sexe de leur fils adoptif de 11 ans ! Sans doute n’a-t-il pas pu reconnaître son propre sexe avec ses deux mères.

https://www.dailymail.co.uk/news/article-2043345/The-California-boy-11-undergoing-hormone-blocking-treatment.html

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L’entourage peut donc orienter le développement de l’identité sexuée dans le sens masculin ou féminin.

Comme il  peut traiter un petit garçon en fille par exemple. Les adultes adoptent dès la naissance des attitudes différenciées à l’égard des enfants. Les attitudes des parents visant à différencier les enfants interviennent sur deux plans : celui de l’environnement physique offert aux enfants et celui des attitudes adoptées avec les enfants. Avant même l’âge de 1 an, les garçons et les filles grandissent dans un milieu physique différencié qu’il s’agisse des jeux, de l’habillement ou de l’aménagement de la chambre. On observe un comportement différent selon que le parent est le père ou la mère. Les pères auraient plus tendance à solliciter les garçons sur le plan physique et les filles sur le plan des verbalisations. Pour jouer avec leur enfant, les parents choisissent surtout des jouets considérés comme étant appropriés au sexe de leur enfant. Ils aident ainsi leur enfant à se développer correctement.

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Car le cerveau de l’enfant se caractérise par une très grande plasticité :

A la naissance, la construction du cerveau n’est pas terminée. Les synapses, c’est-à-dire les connexions entre neurones, vont se former après la naissance avec une vitesse variable selon les activités cognitives. Ce qu’on sait maintenant, c’est que l’environnement a un rôle énorme sur ce développement neuronal. L’expression de « plasticité cérébrale » désigne le modelage du cerveau sous l’influence du milieu (extérieur et intérieur). La plasticité cérébrale se manifeste par exemple dans les possibilités de récupération à la suite de lésions cérébrales. Un enfant qui aurait une lésion cérébrale dans les zones du cerveau consacrées au traitement du langage peut très bien n’avoir aucune séquelle très rapidement, ce qui montre que le cerveau est largement capable de s’adapter.

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Etude récente sur le sujet :

Une étude capitale du Professeur Mark Regnerus, de l’Université de Texas, révèle que les enfants adultes de parents homosexuels et lesbiens subissent les conséquences économiques et émotionnelles de manière bien plus négative que les enfants élevés dans des familles biologiques intactes.

L’étude complète du Prof. Regnerus s’appuie d’une part sur un examen d’approximativement 3000 adultes provenant de huit structures familiales différentes, ainsi que sur l’évaluation de 40 critères sociaux et émotionnels. Elle conclut que les enfants ayant grandit dans des familles biologiques intactes sont en général mieux éduqués, sont en meilleure santé mentale et physique, touchent moins à la drogue, s’engagent moins dans des activités criminelles, et s’affirment plus souvent heureux que les autres.

Les résultats les plus négatifs touchent les enfants issus de familles homoparentales lesbiennes. Elle montre entre autre que ces enfants sont plus souvent victimes d’abus sexuels (23% des enfants de mères lesbiennes étaient victimes d’abus par un parent ou un adulte, contre 2% chez les enfants issus de couples mariés), ont une moins bonne santé physique, sont plus souvent victimes de dépression, font plus fréquemment usage de marijuana, et plus souvent sans emploi ( 69% des enfants issus de familles homoparentales lesbiennes dépendent des prestations sociales, pour 17% de ceux issus de couples mariés). »

On a comme l’impression que des personnes  peu recommandables liment inlassablement les leviers du pouvoir afin de faire passer, de gré ou de force, toute initiative qui pourrait aller dans le sens d’une déliquescence des mœurs. Ramener une personne à un simple objet sexuel. Il y a là un glissement de l’éducation sexuelle vers une déviation sexuelle. N’est-on pas en droit  de se demander pourquoi l’école s’en va expliquer à des jeunes élèves comment forniquer à tour de bras et surtout comment tuer ensuite l’éventuel être humain en devenir ?  La multiplication des initiatives allant dans un sens très sexuel au détriment de celui purement éducatif est inquiétante.  Faire une fixation à transmettre toutes ses tares à des enfants par définition innocents, relève de la pire perversité.

En Suisse romande, des enfants des élèves de 10 et 11 ans ont été avertis de la visite médicale. La visite ne s’est pas passée comme d’habitude. Les enfants ont été priés de se déshabiller complètement. Puis ils ont reçu une brochure expliquant comment caresser son partenaire, des détails de sexologie appliquée et une introduction disant qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien. Pour couronner le tout, une pochette avec du lubrifiant pour préservatif.

En Suisse alémanique, il est prévu que l’éducation sexuelle devienne obligatoire dès l’école maternelle. La prise de conscience de l’identité sexuelle, l’égalité, la qualité de vie et l’orientation sexuelle sont prévues en thèmes transversaux et les professeurs qui devraient donner ces cours ne pourraient recourir qu’au document officiel.  Une brochure sur le sida fait en réalité l’apologie de l’homosexualité. 

Dans le canton de Bâle on entend utiliser à la rentrée prochaine des peluches en forme d’organes génitaux masculins et féminins afin d’offrir des cours d’éducation sexuelle aux enfants à l’école primaire

http://www.contre-info.com/des-organes-genitaux-en-peluche-pour-eduquer-des-enfants-de-10-ans

Pas étonnant après cela de voir des tournantes dont les acteurs ont à peine plus de 10 ans. Âge auquel tout enfant normalement éduqué ressent à peine les premiers frémissements d’un amour encore pur et platonique. Ne fait-on pas l’impasse entre l’Amour et l’amour ?

Avec ce projet d’abrutissement général et de marchandisation de l’être humain, on s’attaque aussi à l’autorité parentale puisqu’une dispense de ces cours ne sera plus possible. Autant dire que l’école s’arroge des droits, au détriment de ceux des parents, de plus en plus relégués à un rôle de simples géniteurs. Les taux en progression de suicide chez les jeunes dans les pays industrialisés, allant de paire avec la montée des avortements, ne sont-ils pas là pour prouver qu’ils attendent autre chose de la vie que des plaisirs sans lendemain ?

Notre civilisation judéo-chrétienne était avant basée sur les paroles d’un Jésus-Christ qui disait ceci : «  si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît au cou une grosse meule de moulin, et qu’on le jetât dans la mer. » Aujourd’hui la mer ne grouillerait-elle pas de meules de moulin ?

Même Larousse dut se plier à ce lobby anti-famille. Sur son site, il qualifiait l’homosexualité de « déviation du désir pour le même sexe ». Il fut obligé de présenter des excuses et promettre de changer sa définition.

https://www.ndf.fr/nos-breves/06-07-2012/polemique-larousse-veut-changer-la-definition-du-mot-homosexualite/

En Suède, après avoir inventé l’école où les garçons jouent à la poupée, supprimé les rayons filles et garçons dans les magasins de jouets, Viggo Hansen, patron du parti de Gauche dans le comté de Södermaland, proposa de légiférer pour obliger une fois pour toutes les hommes à uriner assis, à l’instar des femmes.

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Heureusement, il existe quelques lueurs d’espoir comme aux USA, où un boycott anti-mariage se retourna contre ses instigateurs :

Une des chaînes de restauration rapide les plus en vogue ces dernières années aux Etats-Unis, Chick-Fil-A (spécialisée dans les sandwiches à base de poulet), a la particularité d’être marquée par la foi chrétienne de ses fondateurs. Ses 1600 franchisés sont par exemple tenus de rester fermés le dimanche.

Il y a quelques jours, la chaîne fut soudain devenue la cible du lobby pro-gay, à la suite de déclarations pourtant très anodines de son dirigeant en faveur du mariage traditionnel. Avec le soutien des grands médias, un boycott de la chaîne a été lancé ; les producteurs des « Muppets », qui fournissaient des jouets pour ses menus enfants, ont rompu sur-le-champ toute relation ; et les maires Démocrates de Chicago, Boston ou San Francisco ont déclaré que les restaurants Chick-Fil-A n’étaient pas les bienvenus dans leur ville – voire se verraient refuser tout nouveau permis de construire.

Ce mouvement d’hystérie oubliait toutefois un fait important : la majorité des Américains est favorable au mariage traditionnel, et certains partisans de la dénaturation du mariage ont été choqués par cette tentative d’intimidation. Le désaveu de cette campagne a donc été cinglant : des dirigeants pro-famille appelèrent les Américains à marquer leur soutien à la chaîne.  Ils ont été suivis au-delà de leurs espérances. D’un bout à l’autre du pays, les restaurants n’ont pas désempli, avec parfois des files d’attente de plusieurs heures, à tel point que l’ensemble des médias ont dû en rendre compte.

http://www.nomblog.com/26242/

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Le mariage n’est pas une union quelconque entre personnes humaines :

Si l’on revient au mariage, tel qu’il a été institué par Dieu, c’est évidemment l’union d’un homme et d’une femme:
Genèse 2:24, Matthieu 19 :5 et Ephésiens 5 :31 : « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »

Il a été institué par le Créateur avec sa propre nature, doté de finalités et de propriétés essentielles. Aucune idéologie ne peut effacer de l’esprit humain cette certitude: le mariage n’existe qu’entre deux personnes de sexe différent qui, par le moyen de la donation personnelle réciproque, propre et exclusive, tendent à la communion de leurs personnes. Ainsi, elles se perfectionnent mutuellement pour collaborer avec Dieu à la génération et à l’éducation de nouvelles vies.

Dans les unions homosexuelles, sont complètement absents les éléments biologiques et anthropologiques du mariage et de la famille qui pourraient fonder raisonnablement leur reconnaissance juridique. Ces unions ne sont pas en mesure d’assurer, de manière adéquate, la procréation et la survivance de l’espèce humaine. L’éventuel recours aux moyens mis à leur disposition par les découvertes récentes dans le champ de la fécondation artificielle impliquerait de graves manquements au respect de la dignité humaine et ne changerait rien à cette inadéquation. Dans les unions homosexuelles, est absente aussi la dimension conjugale, par laquelle les relations sexuelles prennent une forme humaine et ordonnée. En effet, ces relations sont humaines lorsque et en tant qu’elles expriment et promeuvent l’aide mutuelle des sexes dans le mariage et restent ouvertes à la transmission de la vie. Comme le montre de nombreuses expériences, l’absence de la bipolarité sexuelle crée des obstacles à la croissance normale des enfants, éventuellement insérés au sein de ces unions, auxquels manque l’expérience de la maternité ou de la paternité. Insérer des enfants dans les unions homosexuelles au moyen de l’adoption signifie en fait leur faire violence, en ce sens qu’on profite de leur état de faiblesse pour les placer dans des milieux qui ne favorisent pas leur plein développement humain. Certes, une telle pratique serait gravement immorale et serait en contradiction ouverte avec le principe, reconnu également par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant, selon lequel l’intérêt supérieur, à défendre dans tous les cas, est celui de l’enfant, la partie la plus faible et sans défense. Et non pas le plaisir égoïste d’adultes.

Le droit civil confère aux couples mariés une reconnaissance institutionnelle parce qu’ils remplissent le rôle de garantir la suite des générations et sont donc d’un intérêt public majeur. Par contre,les unions homosexuelles n’exigent pas une attention spéciale de la part du système juridique car elles ne jouent pas ce rôle en faveur du bien commun. L’argumentation selon laquelle la reconnaissance juridique des unions homosexuelles serait nécessaire pour éviter que des homosexuels vivant sous le même toit ne perdent, par le simple fait de leur vie ensemble, la reconnaissance effective des droits communs qu’ils ont en tant que personnes et en tant que citoyens, n’est pas vraie. En réalité, ils peuvent toujours recourir – comme tous les citoyens et sur la base de leur autonomie privée – au droit commun pour régler les questions juridiques d’intérêt réciproque.

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D’autre part, un enfant ne peut être déclaré né de deux personnes de même sexe : l’homoparentalité, par voie d’adoption internationale, est jugée contraire à un principe essentiel du droit français de la filiation.

Par deux décisions rendues le même jour (Civ. 1ère, 7 juin 2012, n° 11-30262 et n° 11-30261), la Cour de cassation refuse l’exequatur de jugements étrangers prononçant l’adoption d’un enfant par deux personnes de même sexeDeux hommes de nationalités française et canadienne, ayant obtenu un jugement d’adoption de la Cour du Québec d’un petit Brandon, qu’ils avaient accueilli à l’âge de trois ans, se sont vu refuser l’exequatur de la décision en France. Accorder la reconnaissance de cette décision aurait conduit, dit la Cour de cassation française, à porter atteinte à un principe essentiel du droit français de la filiation, en permettant la transcription de la décision sur les registres de l’état civil français, valant acte de naissance, et emportant inscription d’un enfant comme né de deux parents du même sexe. La même solution est reprise à l’identique, dans la seconde affaire, à propos de l’adoption par deux hommes, l’un britannique, l’autre français, d’un garçon âgé de dix ans.

On retiendra ici la première étape du raisonnement dans laquelle il est d’abord affirmé que l’adoption conjointe par des personnes non mariées ne heurte aucun principe essentiel du droit français. L’obstacle réel tient à ce principe essentiel du droit de la filiation, principe d’ordre public, qui veut qu’un enfant ait un lien de filiation maternel et un lien de filiation paternel. Il s’ensuit que même si les couples homosexuels obtenaient en France la possibilité de se marier, la difficulté resterait entière : ils ne pourraient en l’état du droit établir un double lien de filiation paternel ou, selon le cas maternel, à l’égard de l’enfant.

A quoi sert alors de reconnaître le mariage entre personnes de même sexe, puisque la revendication tenait principalement à un pseudo « droit à l’enfant » propre aux couples mariés ?

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cerveau d'un homme gif

A lire aussi :

https://effondrements.wordpress.com/2013/07/19/veronica-lueken-de-la-prediction-a-la-realite-sordide/

https://effondrements.wordpress.com/2012/06/18/letat-francais-encourage-t-il-le-satanisme/

https://effondrements.wordpress.com/2012/08/26/les-francs-macons-sont-ils-des-demeures-des-affairistes-ou-des-satanistes/

239 commentaires sur “Cogitations sur la perversité sexuelle des sionistes francs-maçons mondialistes :

  1. Louis dit :

    Des évêques catholiques condamnent l’ambassadeur américain en République Dominicaine pour son homosexualisme militant.

    Ils accusent James « Wally » Brewster d’approcher les enfants dans les écoles publiques et privées, lors de tournois sportifs et autres activités pour la jeunesse, tout en présentant M. Bob Satawake comme son époux. « Cela a suscité un profond sentiment de malaise chez les parents, qui ont le droit de décider comment élever leurs enfants, et qui se perçoivent cette visite comme une interférence de valeurs contraires à celles qu’ils veulent inculquer à leurs enfants. »

    Brewster a un mandat clair pour son comportement, parce que l’administration d’Obama a fait de l’agenda homosexuel et transsexuel un élément central de sa politique étrangère. En fait, dans un récent discours adressé à l’anti-chrétienne « Human Rights Campaign », l’ambassadrice américaine à l’ONU Samantha Powers a déclaré que l’agenda LGBT avait été « tissé dans l’ADN même de la politique étrangère américaine ». Cela a entrainé des effets tels que la présence de partis homosexuels dans les ambassades américaines de pays musulmans, le drapeau arc-en-ciel homosexuel flottant au-dessus des ambassades américaines, et l’ingérence directe par les ambassadeurs américains dans les affaires internationales des pays étrangers. Les États-Unis ont même annulé des exercices militaires capitaux avec un allié d’Afrique parce que son gouvernement n’était pas assez « homosexualiste ».

    Les évêques sont tout particulièrement outré que l’Agence des États-Unis pour le Développement International ait proposé de l’argent aux candidats à des postes de la fonction publique qui étaient favorables à la cause homosexuelle. « Proposer de l’argent pour financer les candidats désireux de faire avancer leur agenda est une violation de la souveraineté nationale et de ses lois électorales, et cela revient à faire du chantage grave sur les hommes politiques locaux », ont souligné les évêques.
    https://c-fam.org/friday_fax/des-eveques-catholiques-condamnent-lambassadeur-americain-en-republique-dominicaine/


    En Argentine, l’archevêque de La Plata, Hector Aguer, pense qu’une « culture de la fornication » avait régné durant les JO de Rio dans le village olympique, pointant la distribution de 450.000 préservatifs. C’est à dire quarante-deux préservatifs pour chaque athlète, pendant 17 jours de compétitions, alors que la préparation des compétitions requiert l’abstinence. « La culture de la fornication qui se répand sans aucun scrupule est un signe de déshumanisation », « de conduite animale », poursuit le prélat. Récemment présenté par la revue argentine Noticias comme un « ennemi historique » du Pape François, Mgr Aguer s’offusque ensuite de la publication dans la presse d’articles sur les jeunes femmes « qui changent de « fiancé » cinq ou six fois par an ». « On suppose qu’ils ne se donnent pas rendez-vous pour lire la bible », s’indigne-t-il.
    http://www.lorientlejour.com/article/1003239/un-eveque-argentin-denonce-une-culture-de-la-fornication-aux-jo-de-rio.html
    Il accuse aussi vertement l’ONU :
    https://www.riposte-catholique.fr/archives/73663

    • Lino dit :

      On encourage les relations homos alors que l’étude du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), réalisée dans les 28 pays de l’UE plus l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège que le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis a présenté démontre que « le VIH et le sida restent un problème grave en Europe » et que « le fait qu’une personne sur sept est atteinte par le VIH sans le savoir est particulièrement inquiétant ». Près de la moitié (47%) des cas dans ces pays sont diagnostiqués à un stade tardif de la contamination. Dans ces 31 pays, les rapports sexuels entre hommes est le premier mode de transmission (42% des diagnostics), et le seul qui progresse encore régulièrement.

      Il faut dire que l’homosexualité est devenue en occident moralement acceptable si on en croit les publicitaires :

      C’est en occident qu’il y a eu de nombreux abus dans des pensionnats d’enfants souvent orphelins ! Et pas qu’en Irlande du nord avec ce témoignage de Richard Kerr du Kincora Boys’ Home :

      Jusqu’en 1981 plus de 100 000 enfants en Suisse ont été placés de force dans des familles ou dans des institutions. Parce que leurs parents étaient trop pauvres ou jugés peu vertueux. L’institut Marini, dans le canton de Fribourg, a hébergé des milliers d’enfants. En manque affectif, une amitié particulière dans cette ambiance unisexe pouvait arriver. Mais beaucoup ont été aussi battus, violés, jusqu’à même décéder suite à des mauvais traitements.

      Cette situation se retrouve aussi jusqu’en Australie :
      Au Eden Park Boys Home dans dans le sud, tenu par l’Armée du Salut :

      Graham Rundle, dès sa première semaine à l’âge de 8 ans, subit sa première agression sexuelle. Entre 1960 et 1965 il en eut 300 dont 100 d’un adulte.
      http://www.abc.net.au/news/2009-11-16/we-were-scum-boys-home-horror-recalled/1143634
      A Bindoon Boys Town, tenu par des Frères chrétiens, on recevait une partie des 10,000 enfants anglais orphelins, envoyés de 1947 à 1967. Ils y connaissaient non seulement la servitude, un dur labeur mais étaient aussi loués à des gens de l’extérieur.
      http://www.independent.co.uk/news/world/australasia/bindoon-boys-town-the-sad-truth-behind-britains-lost-children-1782544.html
      Woodlands Boys Home à Wallsend, qui était une association protestante, s’occupait de 540 garçons de l’âge de 4 à 17 ans.
      https://www.phototimetunnel.com/woodlands-and-ellimatta-homes-for-boys-and-girls-in-the-1940s
      Le religieux anglican Peter Rushton qui en faisait partie, non seulement en prêtait mais en violait aussi.

      Comme à Bexley home qui fut ouverte en 1915 et ferma en 1979.
      A la fin des années 1980, au Mornington Peninsula, dans le Victoria, des enfants se plaignirent aussi d’agressions et de rites sexuels. Ils étaient emmenés en voiture de la crèche à une maison voisine, déshabillés par des adultes, filmés nus, recevant sur eux de l’urine et des excréments. Un témoin de cette époque estime que plus de la moitié des mineurs avaient été violés.
      https://www.theguardian.com/uk-news/2017/feb/27/child-abuse-survivor-inquiry-name-villains-children-australia



      Aux USA, il y avait The Florida Industrial School for Boys de Marianna, en Floride : l’école Dozier, un centre de rééducation pour mineurs fondé en 1900 et définitivement fermé en 2010. 50 corps enterrés furent trouvés sur le terrain de l’école. Il arrivait qu’on fouettait nus les enfants récalcitrants. Quelques garçons survivants fondèrent un groupe appelé «Les garçons de la Maison Blanche» pour témoigner des violences répétitives et des abus sexuels qui y avaient lieu.
      https://www.lefigaro.fr/international/2015/02/17/01003-20150217ARTFIG00345-etats-unis-un-siecle-d-horreur-dans-une-maison-de-redressement.php

      Fiona Barnett affirma elle aussi qu’elle avait été victime jusqu’à l’âge de 15 ans, d’un réseau de pédophiles qui comprenait trois anciens premiers ministres australiens et avait été prostituée lors de fêtes au Parlement, à Canberra. Le Réseau des survivants maltraités par des prêtres (SNAP), un groupe australien œuvrant contre les abus sexuels envers les enfants et qui soutient Barnett, a recueilli les témoignages d’un certain nombre de victimes qui ont été violées, torturées, dont les auteurs incluent des personnes connues en Australie comme l’ancien ministre de l’Education, Kim Edward Beazley.
      https://www.news.com.au/national/crime/survivor-of-alleged-elite-paedophile-ring-including-former-prime-minister-speaks-out/news-story/219c1d581d9453b6baf45a0935af214a


      L’un des agresseurs qu’elle évoque, Bruce Spence, jouait dans ‘Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar’ .
      Dessins d’abus :
      https://pedophilesdownunder.com/hang-on-for-the-ride-abuse-drawings/
      Des professeurs de la Bond University y seraient impliqués
      https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/41hbv1rdzWL.SX331_BO1,204,203,200.jpg
      d’où leur livre ‘Sexual Experiences between Men and Boys’ dans lequel il est expliqué que les enfants sont à la recherche de relations sexuelles avec des adultes. Extraits :
      https://www.greek-love.com/far-east/vietnam/vietnam-war-thailand-pederasty


      Le Docteur Antony Kidman, psychologue à l’hôpital Royal North shore à Sidney et père de Nicole Kidman, aurait été membre de ce réseau pédophile d’élite, selon Barnett. Il aurait participé à des rituels comprenant des sacrifices d’enfants et des « parties de chasse » qui eurent lieu notamment en Australie sur la base de Holsworthy, jusqu’en 2010. L’une de ses expériences était de créer des personnalités multiples parmi les enfants victimes de ce réseau. Stanley Kubrick avait affirmé à Nicole Kidman lors du tournage hautement symbolique de Eyes Wide Shut. que « le monde était dirigé par des pédophiles et que si l’un se repentait ses pairs le feraient tomber. Ils sont liés par ce secret jusqu’à la mort, même si cela conduit le monde à sa ruine. »
      http://mediaverite.blogspot.com/2017/11/1611-pedophiles-nicole-kidman-stanley.html
      https://independentaustralia.net/life/life-display/antony-kidman-dies-amidst-child-abuse-allegations,6918

      • Anita dit :

        Il faut tout de même prendre en compte que le lavage de cerveau dont étaient victimes ceux qui étaient abusés, rendent leur témoignage sujet à caution. Fiona Barnett par exemple a pu certainement affabulé certains faits :

        Fiona Barnett and Hampstead SRA hoax: Intersections and parallels


        https://esvablog.wordpress.com/
        Divergence entre la version de Rothstein par téléphone avec elle et avec Bill Chapman :
        https://fionabarnett.org/2018/08/28/billy-graham-and-jim-rothstein/

        D’Autres témoignages d’abus réalisés d’une génération à l’autre existent. Comme celui d’une jeune québécoise abusée dès ses 3 ans jusqu’à ses 6 ans par son père (prof d’université) mais aussi par sa mère et sa grand-mère. Elle a été droguée et conditionnée pour devenir à partir d’une dizaine d’années une prostituée comme lors de certaines procédures MK Ultra. Elle a également dû participer à des séances de tortures sur d’autres enfants. Suite à un choc physique à l’âge de 14 ans, elle est sortie de l’état de dissociation dans lequel elle vivait à cause des traumas qu’elle avait vécu. Elle fut alors mis sous anti-dépresseurs.

        Pédocriminalité institutionnelle : témoignage de Sandrine Chastan avec le journaliste Jacques Thomet (2013) :

        Après avoir écrit ‘Retour à Outreau’, un symbole de l’erreur judiciaire, avec treize des dix-sept accusés à avoir été acquittés malgré une soixantaine d’enfants concernés qui s’étaient plaint de viols ou de gestes d’inceste, et une soixantaine d’adultes cités (il y avait aussi des témoignages sur des meurtres d’enfants. Mais ces dossiers criminels ont été d’entrée disjoints, par le ministère public, de l’enquête sur les viols)

        il a sorti ‘La Pédocratie à la française – La chute des intouchables’ :

        Témoignage de Kendall : Un célèbre talk show américain de CBS l’a diffusé pour exposer la dure réalité d’un réseau pédocriminel élitiste exploitant ce que l’on peut appeler de véritables esclaves sexuels. La femme qui témoigne, Kendall, décrit comment elle a été conditionnée/programmée depuis son plus jeune âge pour être réduite en esclavage, mise à disposition d’un réseau composé de personnes très influentes (politiciens, magistrature, forces de l’ordre, etc) aux mœurs des plus déglinguées et criminelles. Tout comme Cathy O’Brien, Régina Louf ou récemment Anneke Lucas,
        https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/R%C3%A9seau-p%C3%A9docriminel-le-t%C3%A9moignage-d'Anneke-Lucas:e
        Kendall est devenue la « propriété » d’un homme (le Handler) qui a géré sa vie d’esclave sexuelle (Beta) de A à Z. Nous retrouvons ici, encore une fois, les pratiques de contrôle mental basé sur les traumatismes : viols à répétition, drogues, électrochocs, mises en cages suspendues, suffocations, réduction à l’état animal, consommation forcée d’excréments… et meurtres. Nous retrouvons cette hiérarchie stricte du Réseau (international) avec les « watchers » (guetteurs), les « transporteurs », les « fournisseurs » (ici les parents qui fournissent un nouveau-né), etc. Encore une fois, on apprend l’existence de chasses à l’homme l’enfant organisées dans de riches propriétés…

        L’affaire « Amidlisa » : 16 sacrifices d’enfants, viols, tortures mais aucune instruction ! Sophie Giuli, mère de trois enfants, avait, en octobre 2007, porté plainte pour viol sur sa fille aînée contre un certain « Didier », un ami du père Éric Mignot. Dès le lendemain, elle s’était vu retirer en urgence la garde de ses trois enfants, deux garçons, 3 ans et 5 ans, et une fille, 6 ans. En 2009, elle et son entourage avaient relaté des faits particulièrement graves rapportés, selon eux, par les enfants au cours de leur droit de visite chez leur mère.

        Alors que Sophie Giuli (et son entourage) réclamait l’ouverture d’une enquête criminelle pour le viol de ses enfants, le tribunal de grande instance de Draguignan l’a condamnée ainsi que le beau-père Jack Maillard à 6 mois de prison avec sursis assortis de 18 mois de mise à l’épreuve. Une interdiction pour Jack Maillard d’entrer en contact avec les enfants a également été prononcée avec « obligation de soins » et 12 000 euros de dommages et intérêts à verser à Éric Mignot, le père des enfants considéré par la justice comme « victime » dans cette affaire.

        Témoignage de la grand-mère des enfants :
        -https://www.dailymotion.com/video/x1dm37n
        -https://www.dailymotion.com/video/x1dm9hk
        -https://www.dailymotion.com/video/x1dtb35
        Fred Pignet :
        -https://www.dailymotion.com/video/x1dtm6v
        Céri :
        -https://www.dailymotion.com/video/x1dtv1b
        https://www.canalblog.com/rechercher/posts/amidlisa%20site%3Adondevamos.canalblog.com

        Le Projet MK Ultra :

  2. Eric dit :

    Le cas des hermaphrodites : Normalement, le patrimoine génétique de quelqu’un (contenant les cellules du corps écrites dans les chromosomes) vient moitié de l’ovule de sa mère, moitié du spermatozoïde du père. Sachant que la mère a 44 chromosomes et 2 sexuels nommés X alors que le père en a aussi 44 mais 2 sexuels appelés X et Y. La personne qui nait a donc reçu l’un des 2 X de l’ovule de la mère et soit un X, soit un Y du père. 2 X donnent une fille alors qu’un X + un Y donnent un garçon. Mais voilà, l’individu peut être morphologiquement mâle et femelle. Souvent on élimine l’un des organes génitaux en trop très jeune. Le problème, le tissu cicatriciel n’est presque plus sensoriel et des problèmes à vie peuvent apparaître. Le plus souvent il est infertile.

    Chaque année au Royaume-Uni, 2 000 bébés naissent avec des organes génitaux ambigus. Ce que signifie que d’être né sans sexe en suivant divers types de cas : les couples qui ont donné naissance à des enfants aux organes génitaux ambigus et qui doivent décider, avec l’aide d’un médecin, du sexe de leur enfant ; une adolescente qui vit avec une structure de pénis depuis 15 ans et qui commence tout juste à suivre un traitement ; et une femme adulte qui accepte encore son sexe après des années de vie en tant qu’homme.

    • Quentin dit :

      Il y a aussi les femmes qui se retrouvent sans utérus (un cas sur 5000). On arrive aujourd’hui à leur en greffer un leur permettant d’avoir un enfant :
      http://www.lepoint.fr/sante/suede-les-premieres-greffes-au-monde-d-uterus-de-mere-a-fille-18-09-2012-1507398_40.php

      Et des personnes qui peuvent se retrouver sans pénis ni vagin de naissance :
      https://francais.rt.com/france/35777-troisieme-sexe-existe-t-il-saisie-par-sexagenaire-intersexe-justice-va-devoir-trancher

      Mise à nu du pénis adulte :
      https://ok.ru/video/3362624899661

    • Zoé dit :

      Jusqu’à un certain âge, les humains sont hermaphrodites. Plus précisément: l’embryon mâle et l’embryon femelle sont identiques pendant les deux premiers mois de leur genèse et développent les mêmes organes génitaux. Aux environs de la 7e semaine, les hormones sexuelles entrent en action et les embryons commencent à se différencier. Si le foetus a reçu un chromosome Y de son père, un signal hormonal déclenche le développement du pénis et des testicules (marquées par l’estafilade cicatrisée d’un vagin). Sinon, le foetus développe des organes sexuels femelles (eux-même marqués par l’ambiguité : le clitoris est un résidu de pénis). Les glandes mammaires et les mamelons (qui apparaissent vers la troisième ou quatrième semaine de développement) restent en l’état sur le corps de l’homme comme de la femme.

      La seule vraie différence est la taille, le sein féminin va devenir plus gros à la puberté sous l’effet des hormones (entre-autres). Chez l’homme, sa glande mammaire ressemble à celle d’une femme avant la puberté.

      En 1992, dans la forêt pluviale de la Krau Game Reserve, à Kuala Lompat en Malaisie, des chauve-souris avaient des mâles matures présentant des mamelles fonctionnelles. Ils pouvaient fournir de quatre à six microlitres de lait. A comparer aux femelles qui fournissent quelques 350 microlitres. Serait-ce pour que le petit attende quand sa maman s’absente ?

      Chez les femmes, c’est la prolactine (produite notamment lorsqu’elle accouche) qui met en route la laiterie. Mais chez les hommes, la dopamine inhibe presque systématiquement la production de prolactine et empêche le circuit nourricier de fonctionner. Pour que la lactation des mâles puisse survenir, il suffit de modifier chez eux le taux de dopamine.

      Ce phénomène peut s’observer lors d’une chimiothérapie ou sous l’effet d’un choc. Un homme peut se mettre spontanément à produire du lait, mais c’est rare, par exemple lors de la mort de sa femme alors qu’elle avait un petit.

      Des transgenres peuvent donc allaiter !
      http://online.liebertpub.com/doi/full/10.1089/trgh.2017.0044
      Mais encore faut-il qu’ils acceptent un sacré cocktail !

      un traitement antiandrogène pendant 6 ans (spironolactone)
      des doses de progestérone et d’estradiol progressivement augmentées.
      et une prescription de dompéridone (antinauséeux connu pour stimuler la lactation).

  3. Ahmed dit :

    Films sur le sujet :

    ‘La mauvaise éducation’ réalisé par Pedro Almodovar :

    Dans les années 1980, Ignacio et Enrique se retrouvent. Ensemble ils ont grandi vingt ans auparavant dans une école religieuse et ont tous les deux subi l’omniprésence, les émois sexuels, ainsi que les mauvais traitements du père Manolo, un professeur de littérature et prêtre pédophile passionnément épris d’Ignacio.
    -https://www.dailymotion.com/video/x3ooet

    ‘Los Niños de San Judas’ (Song for a Raggy Boy) : L’action se déroule en Irlande en 1939 et dépeint le système éducatif du Collège Interne de Saint-Jude, où un prêtre psychotique est celui qui éduque les enfants d’une manière cruelle et brutale.

    L’arrivée d’un nouvel enseignant, qui va se réfugier dans le collège des horreurs de la guerre civile espagnole, où il a combattu pour le côté révolutionnaire, provoquera une confrontation entre lui et le directeur de l’école. Mais il ne sera pas facile pour le nouvel enseignant de protéger les enfants. En fait, le collège de S. Judas est le reflet de ce qui se passe dans le monde, où un psychopathe est sur le point d’arriver au pouvoir et de provoquer un mal terrible, déguisé en discipline et en rigueur.

    Car les institutions religieuses ne sont pas toujours préservées des malades mentaux comme dans ‘Au nom du fils’ : Lorsque son fils se suicide après avoir avoué son amour pour un prêtre, sa mère décide de le venger en s’en prenant aux membres du clergé impliqués dans la pédophilie.

    ‘Yotam’ étudie dans une école juive ultra-orthodoxe. Confondu par le réveil de sa sexualité, il se confie à son rabbin qui en profite pour l’abuser. Le jeune garçon se retrouve pris au piège, personne à qui faire confiance et nulle part où aller.

    ‘Les démons’ : Félix, dix ans, enfant imaginatif et sensible, termine son année scolaire dans une banlieue d’apparence paisible. Félix a peur de tout : du possible divorce de ses parents, des maniaques qui s’en prennent aux petits garçons, des voisins louches, et même du sida. Peu à peu, les démons imaginaires de l’enfant côtoient les démons d’un monde réellement inquiétant.

    ‘Le Début de L’hiver’ (2009) : Un matin d’hiver, un jeune garçon fait du stop. Une camionnette s’arrête. Le chauffeur propose à l’enfant de l’emmener. Progressivement, l’homme va commettre l’irréparable.
    -https://www.dailymotion.com/video/x6sobri

    ‘Mar del Norte de Texas’ : Pim est un garçon timide et introverti, manquant d’ affection, qui va trouver grâce son voisin Gino l’amour dont il a besoin pour être heureux. Pim qui n’a pas de bonnes relations avec sa mère , est inexpressif avec les gens autour de lui. Le film exploite les premiers amours au début de l’adolescence, où il y a beaucoup de confusion, de jeu et d’exploration.


    Dans le film ‘Agostino’, ce garçon de 13 ans est par contre très lié à sa mère veuve jusqu’au jour où celle-ci lors de vacances à Venise rencontre Renzo, un bel homme de trente ans. Blessé dans son amour exclusif, Agostino fait la connaissance d’une bande de gamins pauvres, mûris au contact des réalités de la vie. Il se fait évidemment moquer avec ses habits proprets et sa naïveté sexuelle. Il y apprend qu’une fille pour quelques lires vend son cœur, un adulte va même lui faire des propositions plus que litigieuses…


    Mais une mère ayant des problèmes psychologiques peut être d’une grande angoisse pour son fils comme dans ‘Out’ (2010) :

    ‘Tras el cristal’, un film d’Agustí Villaronga : À la fin des années 50, Klaus vit avec sa femme Griselda et sa fille Rena dans une grande maison isolée située quelque part en Catalogne. Il y habite incognito, car il est recherché par les autorités, mais sa retraite est relativement sûre dans l’Espagne de Franco. Klaus est l’un de ces médecins nazis qui ont fait des expérimentations sur les déportés, fonction qui lui a permis en outre de commettre les crimes sexuels les plus effroyables sur de jeunes garçons. La fin de la guerre n’a pas tari sa perversité sexuelle. Poussé par ses pulsions sadiques, dans son refuge, il torture à mort un adolescent. Le désespoir et la honte de son acte le poussent à sauter dans le vide du toit de sa villa. Après son saut, il est paralysé des épaules aux pieds et ne peut être maintenu en vie que grâce à un poumon d’acier dont il ne peut sortir. Il reçoit la visite d’Angelo, un jeune homme mystérieux (David Sust), qui offre ses services en tant que garde-malade. Contre l’avis de Griselda, Klaus insiste pour qu’on engage le visiteur. Bientôt un rapport pervers se développe entre Angelo et Klaus, devenant toujours plus morbide quand Angelo lui révèle qu’il a trouvé des journaux intimes détaillant ses activités durant la guerre et qui dévoilent tout de ses agissements dans les camps de concentration avec les adolescents et notamment sur les abus sexuels sadiques qu’il leur faisait subir…

    Dans ‘L’Homme sans visage’, film américain de 1993, Justin McLeod est un ancien instituteur qui vit en solitaire et à l’écart au bord de l’eau. Son visage fut défiguré après un accident de voiture, dans lequel un de ses élèves est mort et pour lequel il a été reconnu coupable d’homicide involontaire. Il est également soupçonné d’être un pédophile. Sept ans après cet accident, Il se lie d’amitié avec Chuck, un enfant sans père, désirant rentrer dans une école militaire. McLeod le formera pour qu’il puisse obtenir son examen d’entrée. Mais il se fera injustement rattrapé par son passé.

    Avec le film ‘L’élève’, même rapprochement affectif entre un jeune garçon et son précepteur.

    Ce n’est évidemment pas toujours le cas, comme nous le démontre ce petit film ‘The Billabong’, qui met en scène deux amis, travaillant pour un bucheron pervers :

    ‘Torzók’ : une crise familiale force un père à envoyer son fils Aron, âgé de neuf ans, en orphelinat. Le foyer est un univers fermé, à la fois cruel et humiliant. Le garçon est choqué ; au début, il est battu par ses camarades et par les enseignants, sans compter sur la présence d’un professeur sadique et pédophile latent qui lui censure ses lettres. Cependant, il va développer des liens amicaux avec l’infirmière de l’établissement avec qui il connaîtra sa première relation sexuelle. Il trouve un soutien auprès d’un camarade de son âge, Attila, avec lequel il développe une amitié très sensuelle. Il a le courage d’entraîner ses camarades à se révolter et à s’enfuir du pensionnat.

    ‘A Silent Truth’ ou la difficulté d’un jeune garçon de 14 ans d’annoncer à sa mère qu’il est gay (avec un message manipulatoire sur la religion) :

    ‘Lolo’, qui croit être gay, et ses amis, profitent des vacances d’été pour comprendre un peu plus leur sexualité et leur identité :


    ‘Adjustment’ (2022) : Un garçon iranien efféminé de neuf ans, Shahrokh, humilié et repoussé par sa famille et ses amis, décide de s’adapter à sa nouvelle identité et se dévoile aux gens de son village. Après avoir traversé diverses épreuves, Shahrokh, vêtu de vêtements de fille, se présente dans la classe devant ses camarades…
    https://vimeo.com/792956848 (mot de passe 12345)


    Ce court métrage ‘The Manipulated Living’ montre comment la vie d’un jeune garçon peut changer à cause d’un misérable pédophile :

    Tournage du film :


    ‘Return to Innocence’ (2001) : Un père de famille, Glen Erksine, est directeur et psychologue du foyer « New Horizons » pour garçons maltraités. Il accueille un nouveau patient, nommé Tommy Jackson, placé par les services sociaux après l’arrestation de sa mère, pour avoir vendu des vidéos pornographiques de lui, via Internet. À « New Horizons », la vie de Tommy semble s’améliorer, jusqu’à ce que Glen découvre que le jeune ado a eu un rapport très intime avec Chris, l’un des responsables du foyer. Voulant le dénoncer, Glen apprendra qu’entretemps, Chris dut aller à l’hôpital après un accident de voiture. Il se précipitera avec Tommy pour aller le voir. Chris aura le temps de s’excuser devant Tommy avant de mourir. Mais ce dernier qui l’aimait, pour se venger, va alors accuser Glen et le traduire en justice dans un scandale très médiatisé d’abus sexuels sur enfants.
    https://my.mail.ru/mail/juenes/video/_myvideo/341.html


    ‘Eté islandais’ : Un village isolé de pêcheurs en Islande. Deux adolescents, Thor et Christian, vivent un été mouvementé. Tandis que l’un tente de conquérir le cœur d’une fille, l’autre se découvre éprouver des sentiments pour son meilleur ami. À la fin de l’été, lorsque la nature sauvage reprend ses droits sur l’île, il est temps de quitter le terrain de jeu et de devenir adulte…

    ‘Siemiany’ de Philip James McGoldrick (2009) : une atmosphère lancinante en été, deux garçons, une sexualité qui s’éveille :

    ‘Boy Saint’ (2018) : Les questionnements sexuels introspectifs d’un adolescent avec des moments de joie, d’amitié et de bagarre lors d’un voyage scolaire au bord de la mer.

    ‘Burning Secret’ d’Andrew Birkin (UK, 1988) : l’histoire se déroule après la Première Guerre mondiale en Autriche. Edmund (Eberts) est le fils de 12 ans d’un diplomate américain. Pour tenter de guérir son asthme, sa mère (Dunaway) l’emmène dans un spa de montagne isolé où il tombe sous le charme du baron Brandauer qui lui remplit la tête de ses exploits militaires. Ce qu’Edmund ne sait pas, c’est que le baron ne l’utilise que pour rejoindre sa mère.

    ‘Blue jeans’ de Hugues Burin des Roziers (1977) : C’est en Angleterre, où ses parents l’ont envoyé pour améliorer son anglais, que le jeune Julien Morin prend contact avec l’autre sexe. Alors que ses camarades courent les filles, fument et multiplient les exploits, Julien se promène main dans la main avec sa petite amie au bord de la mer. Quand Janet trouve un autre amoureux plus expérimenté, Julien, pas du tout jaloux, devient son ami. Mais au sein du groupe des jeunes Français, cette amitié fait naître des sarcasmes. Julien, désemparé, se confie à un surveillant qui profite de la situation. Quand il rentre en France dans sa famille, Julien a changé et l’élève studieux masque désormais un être blessé profondément.

    ‘The child I never was’ [« Ein Leben lang kurze Hosen tragen »], de Kai S. Pieck, (2002) : L’histoire vraie de Jürgen Bartsch, 19 ans, un tueur en série pédophile allemand qui a assassiné quatre garçons.

    ‘Bobbycrush’ (2003) : Bobby Stone a 13 ans et est amoureux. Le problème est qu’il est amoureux de son meilleur ami Dylan et Dylan ne ressent pas la même chose…

    ‘Wild tigers I have known’ (2006) : Le jeune Logan 13 ans qui vit seul avec sa mère, est amoureux de Rodeo, un garçon plus âgé que lui qui ne répond pas à ses avances. Pour arriver à ses fins, Logan décide de se faire passer pour une fille, Leah.
    -https://www.dailymotion.com/video/x6mbxo

    ‘Esteros’ (2016) : Deux amis d’enfance argentins, parce que leurs parents sont eux-mêmes amis, vivent une relation fraternelle jusqu’à leurs 13 ans où les émois surgissent. La mère de Matias les voit encore enfants alors qu’ils deviennent adolescents. Elle les encourage à se battre à la mousse à raser torse nu pour le carnaval ; elle les fourre ensemble sous la douche lorsqu’ils reviennent trempés de pluie et de s’être roulés dans la boue ; elle les fait coucher dans la même chambre où le froid ne tarde pas à les faire se rejoindre nus dans le même lit ; elle les prend en photo en slip, endormis dans le même hamac au soleil du matin, le bras passé autour du corps de l’autre. Elle est touchée, admirative, fière de ces deux petits mâles qui savent aimer simplement. Au début de leur vingtaine, . Ils retrouvent adultes les émois de leur adolescence et se remémorent leur « première fois », entre eux, dans le même lit, sous le même drap. Peau à peau ils se sont caressés, excités, ont joui….

    Dans ‘Matías y Jerónimo’ (2015) c’est un peu la même histoire. Les deux se connaissent depuis qu’ils sont enfants. Leur amitié est un mélange de plaisir et de désir, mais tout change le soir où ils vont au carnaval et ils voient comment un groupe de hooligans a battu un gay dans les coulisses :

    Liste de films sur des thèmes semblables :
    http://britishpublicschools.over-blog.com/

    • yann dit :

      Le cas de Léonard de Vinci démontre ce que le désordre d’un père peut provoquer à la génération suivante :

      Fils illégitime d’un notaire de Vinci, village proche de Florence, Léonard se forme à la peinture et aux autres arts dans l’atelier de l’illustre Andrea del Verrochio, aux côtés de Botticelli, Lorenzo di Credi, Pérugin… Élégant et beau autant que surdoué, le jeune Leonardo da Vinci devient un familier de Laurent le Magnifique, maître tout-puissant de la République de Florence et grand mécène. Jugé pour sodomie, il s’exile en 1476 pour ne revenir qu’en 1478 et même alors, il ne parvient pas à obtenir la réputation qu’il estime, à juste titre, mériter. A l’âge de 38 ans, il va s’amouracher d’un enfant d’une dizaine d’années…
      http://gayscelebres.hautetfort.com/archive/2010/07/21/les-deux-amours-de-leonard.html
      On sait qu’il servit de modèle pour le St Jean Baptiste. Mais chose curieuse, son visage ressemble étrangement à celui de la Joconde.

      ‘Mani’ (2020) : Mani, un gamin de 12 ans, tombe amoureux du chauffeur personnel de sa famille. Mais il découvre que ce dernier a une liaison avec sa mère :

  4. Andrée dit :

    Le témoignage d’une salariée, depuis quatre ans et demi dans une entreprise américaine internationale, et responsable depuis quelques mois de la gestion des compétences en RH : « Avec ce poste, je dois notamment suivre des indicateurs sur la diversité des talents, puisqu’une des priorités du groupe est de mettre l’accent sur la diversité, à savoir le soutien des minorités suivantes : les handicapés, les « LGBT » (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels), les femmes et quelques minorités ethniques. Ce soutien envers ces minorités passe par le recrutement, la gestion de carrière et des talents, l’accueil au sein du groupe, l’organisation d’événements/conférences, des formations, des communications sur l’intranet ou via des visuels au sein des locaux.

    Au mois de juin 2016, je découvre que ce mois est consacré au soutien de la cause LGBT dans notre entreprise et ce chaque année depuis 2012. Je réalise également que cette minorité fait l’objet d’un communautarisme prononcé, contrairement aux autres minorités. Cela de plusieurs manières :

    En encourageant fortement les employés à rallier la cause LGBT par le port du badge aux multi couleurs de la gay pride et/ou par l’insertion dans leur signature d’email d’un logo spécial en soutien à la communauté LGBT (aucune autre minorité ne fait l’objet d’un tel soutien visible).
    En consacrant depuis 2012 tous les mois de juin à la communauté LGBT, par des événements, formations internes, conférences et soutiens visuels spécialement préparés pour l’occasion.
    En publiant aux 5000 employés en France un document sur le management de la diversité LGBT présenté comme référentiel commun, doté d’un schéma prônant le genre comme fondement de notre identité (le sexe n’y figure que comme un attribut biologique qui ne dit rien de notre identité)
    En faisant témoigner des salariés LGBT sur leur vie privée : comment vivre leur orientation sexuelle dans le travail tout en assurant l’évolution de leur carrière

    Alors je m’interroge sur le rôle de notre entreprise à communiquer sur l’orientation sexuelle et l’identité de ses salariés. Certains salariés s’interrogent aussi autour de moi. Je décide donc en tant que responsable RH de transmettre ces interrogations au département en charge de la diversité. Je leur fais part de mes questionnements sur les contenus parfois orientés de la communication sur les sujets LGBT, tout en spécifiant mon respect pour leur travail et mon souhait de pouvoir échanger. Je reçois alors une étonnante réponse, je cite : « Il s’agit d’une vraie incompréhension de ta part, le rôle du département est de favoriser un univers inclusif et nous n’entendons pas débattre plus avant des questions évoquées dans ton mail, totalement étrangères de la seule préoccupation qui motive notre politique sociale : le bien-être de nos salariés ». Je leur fais part de ma déception devant ce refus de dialogue.

    L’été passe. A la rentrée 2016, je postule en interne à un poste RH ouvert qui m’intéresse. A ma grande surprise, la DRH m’annonce qu’elle ne peut pas me confier ce poste car malgré mes bonnes évaluations professionnelles, suite à mes remarques et mails sur le thème LGBT, elle ne peut plus me faire confiance pour porter les valeurs diversité du groupe. Par ailleurs, une autre DRH me reçoit également et déclare : « tes propos dans ton mail à la responsable du département diversité sont étriqués, fermés, prosélytes et cela saute aux yeux, tu es chrétienne ». Le couperet tombe, les DRH me refusent toute évolution de carrière et je suis discriminée pour avoir tenu des propos en désaccord avec les valeurs du groupe. D’après la DRH, je risquerais même de commettre des actes homophobes et donc je serais indigne de confiance et n’aurais pas les qualités requises pour continuer à assurer mes missions. Désespérée par la situation mais décidée à faire entendre ma voix, je tente plusieurs discussions avec la direction RH, mais elle me renvoie la balle et s’interroge sur ma présence dans le groupe puisque je ne suis pas en accord avec ses valeurs. J’ai tenté en vain de leur expliquer que des désaccords pouvaient exister, être exprimés et faire l’objet d’un dialogue, sans pour autant remettre en cause mon travail et ma légitimité à travailler dans l’entreprise.

    En réalité, par leur refus d’échanger, je comprends que cette stratégie du groupe cache un but politique, économique et social de promouvoir le lobby LGBT dans le monde, mais les DRH ne peuvent me l’exprimer ainsi. Je suis également consciente que leur combat passe nécessairement par une révolution civilisationnelle troublante : les salariés ne seront plus des hommes ou des femmes mais des hétérosexuels, lesbiennes, gays ou transsexuels, étape indispensable pour forcer le changement de la norme. Leur méthode est idéologique et sectaire. Je décide finalement de refuser d’accompagner ce changement en tant que responsable RH et pose ma démission. »

    http://www.vigi-gender.fr/temoignage-entreprise-lgbt.php

    • Isabelle dit :

      L’étude publiée le 23 août 2016 du journal scientifique The Journal – The New Atlantis et écrite par deux universitaires de renom, le Dr Lawrence Mayer, expert en psychiatrie et en statistiques, et le Dr Paul McHugh, notait que la communauté LGBT était affectée de manière disproportionnée à des problèmes de santé mentale par rapport à l’ensemble de la population. Après étude de centaines d’articles scientifiques sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, ils affirment :

      La croyance selon laquelle l’orientation sexuelle est innée, et constitue une caractéristique humaine fixée par la biologie (le fait que les hommes seraient « nés comme ça ») n’est validée par aucune preuve scientifique.
      La croyance selon laquelle l’identité de genre est une caractéristique humaine fixe et innée, indépendante du sexe biologique, de telle sorte qu’une personne pourrait être « un homme prisonnier d’un corps de femme » ou « une femme prisonnière un corps d’homme », n’est validée par aucune preuve scientifique.
      Seule une minorité d’enfants qui expriment des pensées ou ont des comportements atypiques par rapport à leur genre continueront de le faire à l’adolescence ou à l’âge adulte. Il n’existe aucune preuve selon laquelle de tels enfants devraient être encouragés à devenir transgenres, sans même parler de leur faire subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux.
      Les personnes non hétérosexuelles et transgenres présentent un taux de problèmes mentaux (anxiété, dépression, suicide) ainsi que les problèmes comportementaux et sociaux (toxicomanie, violences sur partenaires) plus élevés que celui de la population en général. La discrimination seule ne rend pas compte de la disparité en son ensemble.

      De son côté, l’activiste lesbienne, le Dr Lisa Diamond, de l’American Psychological Association (APA), vient de reconnaître que l’orientation sexuelle est « fluide » et susceptible de changer. Elle confirme que l’idée selon laquelle « les homosexuels ne peuvent pas changer » est aujourd’hui une théorie dans l’impasse. La recherche, a-t-elle assuré lors d’une conférence à Cornell University, a aujourd’hui établi que « l’orientation sexuelle, y compris l’attraction, le comportement et l’identité perçue, est fluide à la fois pour les adolescents et pour les adultes des deux genres », résume REAL Women. Et pourtant, des lois de divers Etats des Etats-Unis ainsi que de l’Ontario interdisent la « thérapie réparatrice » qui cherche à venir en aide aux patients aux prises avec une attraction homosexuelle dont ils ne veulent pas. Ces lois sont fondées sur l’immutabilité de l’orientation sexuelle, dont la science vient pourtant de confirmer qu’il s’agit d’un mythe.
      http://reinformation.tv/tromperie-ideologie-lgbt-riposte-dolhein-63915-2/

      En résumé, on constate que la propagande LGBT ne pourra survivre que grâce à l’appui des pouvoirs publics et non de la science. Et encore faut-il que ces pouvoirs soient totalitaristes. A ce titre, le gouvernement français vient de lancer un énième plan de propagande pour sauver ce mythe de l’orientation sexuelle innée. Il a également adopté l’extension du champ d’intervention de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Dilcra), qui devient à cette occasion la Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT). Sur le plan répressif, le plan prévoit de systématiser la transmission au procureur de la République des paroles de haine anti-LGBT sur Internet et les réseaux sociaux. Cette mesure avait été annoncée par le président François Hollande le 30 juin, deux semaines après l’attentat homophobe d’Orlando aux Etats-Unis (commis par un musulman ayant des tendances homos). Ce qui est étonnant, la police de la pensée se déploie aussi pour interdire tout discours pro-famille alors que les désordres familiaux sont facteurs de désordres sexuels.

      http://www.la-croix.com/France/Politique/Le-gouvernement-lance-un-plan-contre-les-discriminations-envers-les-LGBT-2016-12-21-1300812067

      Selon une autre enquête publiée dans la revue ‘Infant and Child Developement’, les différences entre garçons et filles sont bien avant tout biologiques et non optionnelles, comme le prétendent les tenants de la théorie du genre, pour qui le genre relève de la construction sociale et non de la nature. Les trois grandes conclusions qui ressortent de cette étude relèvent du bon sens. Ainsi :

      1) La différence de genre existe dans le choix des jouets et s’opère, entre autres, de « façon innée », et non par l’effet d’un conditionnement social.
      2) Aussi, il est « hautement probable que les différences de genre aient une origine biologique ».
      3) Enfin, l’étude remarque que la « différence de genres s’affirme toujours plus nettement au fur et à mesure que le garçon grandit » : il y aurait une « prédisposition biologique naturelle » qui entraîne que les « stéréotypes » sont davantage ancrés chez le garçon.

      http://fsspx.news/fr/une-nouvelle-etude-ruine-la-theorie-du-genre-35905

      Reste que dans la nature on constate par exemple des poissons femelles, qui en vieillissant secrètent des hormones mâles faisant grossir leur tête et leur menton, les transformant en mâle.

      • Quentin dit :

        Des problèmes de santé mental que l’on aimerait reporter sur les enfants avec la théorie du genre (qui parait-il selon Belkacem n’existe pas). A Nice, l’intervention de Mme Arnautu (FN) au Conseil métropolitain de Nice. Christian Estrosi finira par conclure avec agacement que c’est de la foutaise et que de toute façon c’est le gouvernement socialiste qui est responsable du contenu…

        Dans sa pièce de théâtre ‘Les Monologues du vagin’, Eve Ensler décrit, entre autre, une jeune fille de treize ans qui se fait initier au plaisir sexuel par une femme adulte. De plus, dans la version publiée en France aux Éditions Denoël en 2005, cette apologie de la pédophilie n’est accompagnée d’aucune mise en garde sur l’age des lecteurs, faisant de cette version francophone un vecteur de corruption de mineurs. Cette pièce a été jouée, entre autre, par les ministres Myriam El Khomri, Roselyne Bachelot et Marlène Schiappa.
        -https://www.youtube.com/watch?v=lr4UXEJ3en8

        « Souvenir : treize ans

        Notre voisine est une ravissante jeune femme de vingt-quatre ans. J’arrête pas de la regarder. Un jour, elle me dit de monter dans sa voiture. Elle me demande si j’aime embrasser les garçons et je lui dis que j’aime pas ça. Alors elle me dit qu’elle va me montrer un truc, et elle se penche sur moi et elle m’embrasse tellement délicatement, avec ses lèvres sur mes lèvres et elle glisse sa langue dans ma bouche. Waou !

        Elle me demande si je veux venir chez elle, et à nouveau elle m’embrasse et elle me dit de me détendre, de ressentir les choses, de laisser nos langues se découvrir. Elle demande à maman si je peux venir passer la nuit chez elle et maman est toute contente qu’une aussi belle dame s’intéresse à moi. J’ai peur, mais j’ai hâte. Son appartement est génial. Elle a fait mettre du tissu sur les murs.

        C’est les années 70, il y a des perles partout, des coussins en peluche, des lumières tamisées. Et là, je décide que quand je serai grande, je serai secrétaire comme elle. Elle se prépare une vodka et me demande ce que je veux boire. Je dis pareil qu’elle et elle me dit qu’elle croit que ma mère aimerait pas beaucoup que sa fille boive une vodka. Je dis qu’elle aimerait sûrement pas beaucoup non plus que sa fille embrasse des filles sur la bouche, alors elle me prépare une vodka.

        Puis elle se change, elle met un teddy en satin chocolat. Elle est vachement belle. Moi, j’avais toujours cru que les gouines étaient moches. Je lui dis « Vous êtes super », et elle me dit : « Toi aussi. » « Ouais, je dis, sauf que moi j’ai qu’un soutien-gorge et une petite culotte en coton blanc. » Alors elle m’habille, lentement, avec un autre teddy en satin. Il est lavande comme un ciel de printemps. L’alcool m’est monté à la tête, je suis tout alanguie et prête. Au-dessus de son lit, il y a le poster d’une femme noire toute nue avec une énorme coiffure afro. Elle m’allonge doucement, lentement sur le lit et le frottement de nos corps, rien que le frottement de nos corps, me fait jouir. Puis elle me fait un tas de trucs, à moi et à mon minou, des trucs que j’avais toujours cru que c’était sale avant, et waou ! Je suis tellement excitée.

        Elle me dit : « Ton petit vagin sent si bon, il est si frais, je voudrais le garder comme ça pour toujours. » Je deviens dingue, complètement dingue et le téléphone sonne et c’est maman. Je suis sûre qu’elle sait. Elle sait toujours quand je fais quelque chose. Je suis tout essoufflée, j’essaye d’avoir l’air normale au téléphone. Elle me demande : « Qu’est-ce qui t’arrive ? T’as couru ? » Je lui dis : « Non, m’man, on fait des exercices, je prends un cours de culture physique. » Elle demande à parler à la jolie secrétaire, elle veut être sûre qu’il n’y a pas de mecs dans les parages et la dame lui dit : « Alors là, il n’y a pas un seul homme à l’horizon, vous pouvez me faire confiance. » Et après ça, la jolie dame m’apprend tout sur mon minou. Elle me fait jouer avec pendant qu’elle regarde et elle m’apprend tous les moyens de me donner du plaisir toute seule. Elle est super consciencieuse.

        Elle m’explique bien tout pour que j’aie jamais besoin des mecs. Le matin, j’ai peur d’être devenue une gousse tellement que je suis amoureuse d’elle. Ça l’a fait rire, mais je l’ai jamais revue. Bien sûr ce qu’elle faisait était mal… mais elle le faisait si bien. Plus tard, j’ai compris que je lui devais mon salut. Un salut surprenant, inattendu et politiquement parfaitement incorrect. Elle a transformé mon pauvre petit minou en un coin de paradis. »

        Ces détraqués qui nous gouvernent :

        Le cas Hunter Biden avec une fille mineure :
        https://odysee.com/@vivreautrement:6/Hunter-Biden-par-lui-%C3%AAme-(-version-soft-une-seule-mineur):f

        Liste de membres de réseaux pédophiles français :

        Q SCOOP – Liste complète des menbres des réseaux pédophiles Français (Fin de Partie)

      • Engel dit :

        Effectivement, les désordres familiaux sont facteurs de désordres sexuels. Et cela se constate déjà sur le petit enfant. On sait qu’il se sert pour apprendre des personnes plus âgées que lui : des adultes, des frères et sœurs… Car il faut qu’il apprenne à apprendre au cerveau. Son cerveau va comme apprendre à créer des programmes pour entamer son processus de transformation. Il le fera jusqu’à sa mort, lui évitant ainsi de vieillir. La dualité du cerveau est une de ses caractéristiques fondamentale : une consciente et une subconsciente. Une réelle, une imaginée. Mais le cerveau ne fait pas de différence entre elles. D’où l’importance de son entraînement mental. Il est intéressant de noter que le cerveau n’est pas le centre de l’émotion (le ventre…), ni celui de la conscience. Le cerveau gauche traite l’information d’une manière plus linéaire, alors que le droit d’une façon plus anarchique. Que seulement 5% de son activité mentale est consciente, 25% subconsciente et 70% inconsciente. Il ne pense pas par lui-même et ne prend pas de décision. C’est la personne qui en prend. Il est très différent du cerveau d’un animal et son développement va à l’encontre de la théorie de Darwin. Par contre, la perception que l’on a du monde vient de l’esprit, cette force dynamique qui anime l’homme. En quelque sorte son énergie vitale, comme nous l’explique Bernard-Michel BOISSIER

        Les désordres familiaux, facteurs de désordres sexuels, sont responsables 7 fois sur 10 des actes de pédophilie. Selon les chiffres du SNATEM (Service National d’Accueil Téléphonique pour l’Enfance Maltraitée – Etude SNATEM 2001) 72% des auteurs de violences sexuelles sur mineurs signalés sont des personnes de la famille, et non pas, comme beaucoup ont à l’esprit, le fait de professionnels au contact de l’enfance ou du « pervers du coin du bois » :
        pour 32,3% par les pères ;
        pour 9,5% par les beaux-pères et concubins ;
        pour 6,1% par les grands-parents ;
        pour 4,3% par les frères et sœurs ;
        pour 2,8% par les mères ;
        pour 0,4% par les belles-mères et concubines ;
        pour 11,2% par les autres membres de la famille ;
        pour 4,6% par les amis de la famille.

        Ainsi dans environ 80% des cas l’agresseur est connu de l’enfant. Il peut s’agir d’une personne de la famille, d’un professeur, d’un éducateur, d’un ami des parents, d’un prêtre…
        https://www.e-sante.fr/pedophilie-7-fois-sur-10-ca-se-passe-dans-famille-0800-05-1234/actualite/1217
        La ministre de l’Éducation Ségolène Royal fut la première à dénoncer ouvertement la mise sous le boisseau des cas de professeurs pédophiles « Avant on les mutait discrètement et si possible dans les Outre-mer comme ça c’était loin et on n’en entendait plus parler ». Elle parlait à l’époque d’autant de dossiers semblables à traiter que de jours dans une année. Elle le rappelait le 3 janvier 2020 à Bourdin :l

        Mais un inconnu peut aussi très bien séduire un enfant. Gabriel Matzneff par exemple le démontre. Dans son livre ‘Les Moins de 16 ans’ paru chez Julliard en 1976, il prévenait déjà : « Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année… »
        Dans ‘Un galop d’enfer’ (journal intime paru en 1985) : « Journée délicieuse, entièrement consacrée à l’amour, entre ma nouvelle passion, Esteban, beau et chaud comme un fruit mûr, douze ans, le petit que j’appelle Mickey Mouse, onze ans et quelques autres, dont un huit ans… Il m’arrive d’avoir jusqu’à quatre gamins, âgés de 8 à 14 ans, dans mon lit en même temps, et de me livrer avec eux aux ébats les plus exquis. »

        Toujours dans ‘Les moins de seize ans’ (Julliard Collection Idée fixe, 1974, p. 31) : « Beaucoup de pédagogues (instits, moniteurs, chefs scouts) sont des pédérastes, — parfois actifs, le plus souvent refoulés. C’est un prof qui l’avoue : « Tout désir d’éduquer est désir pédérastique perverti » (René Schérer, Émile perverti, Paris, 1974.). Cependant, motus et bouche cousue, ce ne sont pas des trucs qui se disent dans une société, la nôtre, dont l’une des colonnes d’Hercule est l’illusion que les chères têtes blondes (et brunes) ne peuvent être ni tentantes ni tentées. »
        ‘Les moins de seize ans’, (Julliard, Collection Idée fixe, 1974, p. 56-57) : « Ce qui m’impressionne chez les très jeunes, c’est au contraire leur capacité de don total de soi, leur abandon sans réserve à l’être aimé. Un adolescent amoureux ne compose pas avec l’amour, il a foi en l’absolu de la passion, il s’y livre entièrement. Cela est si vrai que le seul argument sérieux contre l’amour des moins de seize ans me paraît être que lorsque nous allumons un feu dans le cœur de l’un d’eux, nous ne savons pas si, passée la frénésie sensuelle des premiers jours ou des premières semaines, nous aurons encore envie d’alimenter ce feu, nous ne savons pas davantage si nous serons alors capables de l’éteindre. Détacher un/une gosse de soi est parfois plus difficile que de se l’attacher. Une femme, à la rigueur, on la prend, puis on la jette ; mais c’est un jeu qu’à moins d’être un salaud on doit s’interdire avec les très jeunes. Quinze ans est l’âge où l’on se tue par désespoir d’amour, ne l’oublions pas. »
        https://www.boywiki.org/fr/Les_moins_de_seize_ans_(citations)


        Gabriel Matzneff a fait sienne le slogan soixante-huitard « Jouissez sans entrave ». La révolution sexuelle pensait délivrer les désirs humains de leurs contraintes naturelles ou sociales. Elle aura surtout passablement abimé la qualité de leur réalisation. L’ère de la contraception, de l’amour libre et de la décontraction morale a opéré un bouleversement anthropologique majeur dans les relations humaines, et dans ce qu’elles ont de plus intime. Mais toutes les révolutions ont leur retour de bâtons. Pour l’ancienne actrice de film pour adultes dans les années 70, Brigitte Lahaie « Aimer son conjoint, aimer son pays, aimer sa famille, aimer son Seigneur imposent des sacrifices et réclament fidélité. » Plutôt que de jouir sans entrave, il est temps de rappeler qu’il s’agit plutôt d’aimer sans limite. Jusqu’à l’oubli de soi. Jusqu’au don de sa vie. Et parfois même son sacrifice. Selon saint Jean de la Croix et bien d’autres, ne serons-nous pas jugés selon la manière dont on a aimé ?


        Une mère est la première femme dans la vie d’un homme. C’est un fait, la relation mère-fils est unique et privilégiée. Mais sans le vouloir, cet amour inconditionnel de la mère peut tourner à l’obsession. Créer plusieurs problèmes vécus par son fils, notamment son manque d’autonomie, d’engagement ou encore des accès de colère et une source de rivalités entre belle-mère et belle-fille.

        L’inverse, une mère qui n’éprouve pas d’amour pour son fils, peut l’handicaper plus tard dans ses rapports avec le sexe opposé. La confiance étant rompu, le garçon se tournera vers des amitiés masculines…


        Reste qu’un enfant gâté mais souvent seul, peut lui aussi tomber dans des travers sortant de la normalité comme dans ‘Alex and The Handyman’. Alex, un garçon précoce de neuf ans, a le béguin pour le bricoleur de vingt-cinq ans qui bricole dans son manoir où il vit :

        https://odysee.com/@Pedopolis.com:1/pedolandlafindusilence:4?src=embed&t=2122.410212

    • Xavier dit :

      La professeur croyait entrer dans l’appartement d’une élève :
      https://www.bilibili.com/video/BV1A7411P7jA/?spm_id_from=333.788.videocard.1

      Dans ‘Fragile’, Alix se complait dans la peau d’une fille :

      ‘Boy’ est un petit film sur le désarroi d’une fille se sentant garçon :

      Les publicitaires et les services « marketing » des grands groupes sont obsédés par la fausse « diversité » et la tolérance « LGBT ». Tant que les consommateurs ne décideront pas de sanctionner les marques qui font la promotion de toute cette fange cosmopolite et homosexualiste, les multinationales pousseront le vice toujours plus loin.


      Par exemple sur Marie-Claire : Hari Nef, it-girl et mannequin américaine de 24 ans continue son ascension. La top promeut le nouveau fond de teint de L’Oréal Paris, mais surtout la diversité et l’acceptation de soi dans le dernier spot publicitaire du mastodonte de la beauté. Elle est la première égérie transgenre à représenter l’une des marques phares du groupe L’Oréal aux Etats-Unis.
      http://www.marieclaire.fr/,hari-nef-mannequin-transgenre-devient-le-nouveau-visage-de-l-oreal-paris,837817.asp
      Ici Renault qui vante le lesbianisme :


      Un jeune de 22 ans voulait par contre devenir un extra-terrestre asexué !
      https://fb.ru/post/plastic-surgeries/2019/1/20/52590

      De tout temps l’homosexuel avait une phobie par rapport à l’autre sexe :

      Il y avait l’androphobie, ce sentiment de mépris ou d’hostilité à l’égard des hommes que ressentaient les femmes lesbiennes.
      La gynéphobie ou gynécophobie, ce sentiment de mépris ou d’hostilité à l’égard des femmes que ressentaient les hommes homos.

      Maintenant il y a :

      L’hétérophobie c’est à dire la peur ou l’hostilité envers l’hétérosexualité ou les hétérosexuels.
      La gérontophobie qui est la peur ou le rejet des personnes âgées. Celle-ci mène à l’amour sexuel des enfants.

      Bref, le vocabulaire change avec le temps, c’est un miroir parfait de l’évolution d’une societé qui veut sortir de l’hétérosexualité. Pour les féministes, il faut se passer des hommes, car coucher avec le dominant, c’est coucher avec l’ennemi :
      https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2020/02/09/l-heterosexualite-c-est-termine_6028942_4497916.html

  5. Ursule dit :

    Les rêves érotiques

    ou rencontres comme dans ‘Great Expectations’ (1998) :

    (https://www.bilibili.com/video/BV1Ux411M7Ap/?spm_id_from=333.788.videocard.13)

    peuvent nous conduire à la masturbation. Qu’en penser ?

    Platon qui condamnait très fermement l’homosexualité, dans La république et dans Les lois notamment, tant féminine que masculine, était pour un «amour platonique» ! Pour lui, la continence sexuelle est supérieure aux relations charnelles. Il condamnait ainsi fermement le plaisir sexuel quand il est cherché pour lui-même, indépendamment de toute dimension amoureuse. Cela dit, dans l’œuvre platonicienne, il y a les discours des protagonistes du Banquet. Et il y est question de l’amour pédérastique, autrement dit entre un homme adulte (l’éraste) et un jeune garçon (l’éromène).

    Dans cette coutume codifiée, si la sodomie était interdite, la copulation pouvait être intercrurale !

    « Killer » de Matt Kazman : Dustin, est un garçon blond introverti. Un camarade croit que se masturber entraîne la mort de quelqu’un. Il va pourtant essayer, non pas en pensant à une amie mais pour grandir :

    https://www.bilibili.com/video/BV1cs411e7Ky/?spm_id_from=333.788.videocard.4

    Caught masturbating by a GHOST :
    -https://www.youtube.com/watch?v=RWDTumjye5k

    Zmory (1979) : L’histoire se passe avant la première guerre mondiale, dans une partie de la Pologne occupée par l’Autriche. Un jeune garçon de l’école primaire grandit pour devenir un adolescent rebelle et poète , alors qu’un mouvement national de libération est en marche. C’est aussi la dénonciation d’un pays où l’église et l’État travaillent ensemble pour façonner idéologiquement l’esprit humain.
    https://vk.com/wall423312915_98


    Le gouvernement australien encourage les jeunes gens à se masturber par des campagnes d’intérêt public !
    https://www.theguardian.com/australia-news/2021/nov/04/give-yourself-a-hand-queensland-health-encourages-masturbation-in-cheeky-social-media-post

    Alors qu’avant …

  6. Horacio dit :

    https://lesalonbeige.fr/wp-content/uploads/2024/01/capture-decran-2024-01-08-a-072358-1050×1539.png

    En 1995, Victor Manuel Fernandez, devenu le 1er juillet 2023 préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi et auteur d’une note autorisant les bénédictions des “couples” irréguliers ou homosexuels, avait publié un ouvrage ‘Guéris-moi avec ta bouche : l’art du baiser’ :

    http://www.belgicatho.be/archive/2023/08/10/les-poemes-erotiques-de-l-archeveque-fernandez-public-contexte-commentaires.html

    Puis en 1998 ‘La Passion mystique, spiritualité de la sensualité‘. Dans la première partie du livre, Víctor Manuel Fernández parle des expériences intimes ou sensuelles des saints et des mystiques. Mais les chapitres 7, 8 et 9 de cet ouvrage ne sont-ils pas à la limite de la pornographie ?

    https://lesalonbeige.fr/wp-content/uploads/2024/01/Tucho-Fernandez.-La-pasion-mistica.-Caps-7-8-y-9-ESPANOL-FINAL.pdf

    Chapitre 7. Orgasme masculin et féminin

    On se demande maintenant si cette expérience mystique, où l’être tout entier est emporté par Dieu, si cette sorte d’« orgasme mystique », est vécue par chacun selon sa sexualité. Autrement dit, si l’homme le vit en tant qu’homme et la femme de manière féminine. Pour cela, regardons d’abord comment les hommes et les femmes vivent l’orgasme, et quelle est la différence entre un orgasme masculin et un orgasme féminin.

    Normalement, les femmes, plus que les hommes, considèrent le sexe sans amour comme très insatisfaisant et ont besoin de conditions adéquates pour se sentir sexuellement excitées. Elle est moins attirée que les hommes par le visionnage de photos comportant des scènes sexuelles violentes, des images d’orgies, etc.

    Mais cela ne veut pas dire qu’elle se sent moins excitée par la pornographie hardcore, mais plutôt qu’elle l’apprécie et la valorise moins et, dans certains cas, cela suscite la peur.

    Elle aime davantage les caresses et les baisers, et a besoin que l’homme joue un peu avant de la pénétrer. Mais lui, en somme, s’intéresse plus au vagin qu’au clitoris.

    Aux moments d’orgasme, il émet généralement des grognements agressifs ; elle, un babillage enfantin ou des soupirs.

    N’oublions pas que les femmes possèdent un riche plexus veineux autour du vagin, qui maintient une bonne circulation sanguine après l’orgasme. C’est pourquoi elle est généralement insatiable. Elle a besoin de soulager la congestion pelvienne, et en attendant que cela se produise, après l’orgasme, elle peut avoir envie de plus. Les femmes ont besoin de plus de temps, de plus de dévouement ; elle a besoin que l’homme lui donne quelque chose en plus une fois qu’il a atteint sa propre satisfaction. Mais il se sent bien libéré normalement lors de l’éjaculation et il est satisfait et épuisé. Il termine et passe à une autre chose, comme s’il se serait vidé à l’intérieur. Après l’éjaculation, il veut se reposer ou cherche de la tranquillité ailleurs. Elle, en revanche, reste comme coincée, dans un mélange de repos et de joie qui a besoin de la compagnie attentive de l’être aimé. Lorsque l’homme atteint le climax, son intérêt pour elle chute brusquement, il est épuisé, alors qu’elle a plus que jamais besoin de lui. Avant l’éjaculation, il fait un grand effort, et dans le processus vers l’orgasme, il est de plus en plus maître de la situation, jusqu’à ce qu’il arrive un moment où elle cède complètement, cesse d’être maître d’elle même et perd conscience de sa liberté. C’est pourquoi les femmes, au fond, ont peur de la possession totale et n’acceptent pas toujours facilement cet abandon. Elle a un sombre respect pour le pouvoir masculin et est perturbée par la pornographie violente.

    L’homme, qui produit constamment du sperme, est capable de profiter d’une pluralité de femmes, tandis que la femme, qui émet peu d’ovules et seulement pendant une certaine période, valorise davantage l’intimité sécurisée. Elle met tout dans chaque enfant qui est en gestation dans son corps ; alors qu’il peut féconder des centaines d’utérus supplémentaires.

    Mais n’oublions pas que sur le plan hormonal et psychologique, il n’existe pas de pur mâle ni de pure femelle.

    Demandons-nous maintenant si ces particularités des hommes et des femmes pendant l’orgasme se retrouvent également d’une manière ou d’une autre dans la relation mystique avec Dieu.

    On pourrait dire que les femmes, parce qu’elles sont plus réceptives, sont aussi plus disposées à se laisser prendre par Dieu, elles sont plus ouvertes à l’expérience religieuse. C’est peut-être la raison pour laquelle les femmes prédominent dans les temples.

    Mais dit ainsi, nous affirmerions que l’expérience mystique est typiquement féminine et serait interdite aux caractères nettement masculins. Et précisément cette question nous oblige à repenser ce que nous appelons masculin, et si nous devons réellement identifier le masculin avec la tendance active qui cherche à posséder la femme. Ne connaît-on pas des situations dans lesquelles une femme extrêmement féminine est capable de posséder et de dominer complètement un homme ? Le pape Jean-Paul II, dans son document sur la dignité de la femme, constate une sorte de « supériorité » des femmes en raison de leur capacité à contenir et à soutenir les hommes :

    La force morale de la femme, sa force spirituelle, rejoint la conscience du fait que Dieu lui confie l’homme d’une manière spécifique… La femme est forte par la conscience de ce qui lui est confié… Cette conscience et cette vocation fondamentale disent à la femme la dignité qu’elle reçoit de Dieu lui-même, et cela la rend «forte»… devient un soutien irremplaçable et une source de force spirituelle pour les autres qui se rendent compte de l’énergie considérable de son esprit (Mulieris Dignitatem, 30, df).

    Jean Boudrillard [sic. Baudrillard, NDMJ] soutenait que l’homme a créé ses institutions et son pouvoir pour contrecarrer les pouvoirs originels supérieurs de la femme, notamment sa fécondité, sa force d’intuition et de séduction et sa persévérance. Donc ça n’a pas l’air sérieux d’affirmer que l’homme est celui qui domine, celui qui tient les rênes.

    Mais disons que Dieu a une puissance infinie et une créativité surnaturelle, de sorte qu’il est capable de s’adapter à la psychologie de chaque être humain en particulier et de donner à chacun une expérience  d’amour, une rencontre avec Lui qui l’emmène complètement, corps et âme, sans faire violence aux inclinations propres de leur psychologie féminine ou masculine. Mais une attitude de réceptivité sera toujours nécessaire. En fait, dans tout véritable amour humain, les deux parties, chacune à sa manière, doivent être réceptives. Si l’homme n’est pas réceptif et veut seulement être actif et dominant, il ne peut pas expérimenter pleinement la richesse de l’amour. Dieu utilise donc cet aspect réceptif, qui ne manque pas à l’homme, pour lui faire vivre l’expérience de son amour. En fait, tout homme a fait l’expérience d’être réceptif et dépendant d’une autre personne, lorsqu’il restait serein dans les bras de sa mère. D’un autre côté, il peut aussi arriver qu’une femme, par peur, renie son attitude réceptive et résiste à l’amour divin. C’est pourquoi, répétons-le, quiconque souhaite vivre une expérience pleinement heureuse de l’amour divin doit demander à Dieu la grâce de se laisser aimer. En effet, Carlo Carretto, un homme aux caractéristiques nettement masculines, nous raconte que lors de sa rencontre la plus merveilleuse avec Dieu, il s’est senti comme une petite fille confiante, et cela ne l’a pas dérangé, il ne l’a pas vécu comme une expérience  contraire à ses inclinations les plus profondes, mais plutôt comme quelque chose douce et merveilleuse :

    A vingt-trois ans, lorsque Dieu a fait irruption en moi avec son Esprit, ma relation avec lui a complètement changé ma vie… Dieu est intervenu en amoureux. Au début, cela semblait être quelque chose de si beau et de si chaleureux que je le considérais comme une présomption sentimentale… J’avais peur de devenir la proie d’un romantisme bon marché… Mais ce n’était pas comme ça. L’intimité qu’il m’a donnée était si vraie, si forte, qu’elle a laissé des traces, et il les a laissées là où le doute n’était pas possible… Je n’oublierai jamais l’émergence de son Esprit en moi. C’était vraiment l’émergence d’un amant fou, qui me demandait de lui rendre la pareille de toute ma folie… Puis j’ai compris par expérience que chacun de nous, même s’il est masculin, est appelé féminin par Dieu. Quand je suis chez lui avec lui, je me blottis à côté de lui comme une petite fille qui attend tout de lui et sans prétention de tout savoir… Toute la spiritualité de l’homme biblique est féminité : réceptivité, disponibilité, attente, désir de petitesse, service, adoration… Pour une raison quelconque, les femmes sont les plus accessibles à la religion (He buscado y he encontrado, Bs. As., 1985, 59-61.70).

    Mais disons plus précisément que dans l’expérience mystique, Dieu touche le centre le plus intime de l’amour et du plaisir, un centre où peu importe que nous soyons un homme ou une femme. Et dans ce centre, nous sommes tous réceptifs et vivons une expérience dans laquelle nous ne sommes pas pleinement maîtres de nous-mêmes. C’est pour cette raison que les scientifiques disent souvent que les différences entre les hommes et les femmes se manifestent dans la phase précédant l’orgasme, mais pas tellement dans l’orgasme lui-même, où les différences entre le féminin et  le masculin ne sont plus aussi claires et semblent disparaître.

    Nous pouvons donc dire que dans l’expérience mystique, ce que Dieu touche est un centre d’amour dont l’être humain ne peut que dépendre. Parce que l’être humain n’est pas un dieu tout-puissant, mais une créature, et c’est pourquoi la partie la plus intime de sa réalité est la dépendance, c’est « recevoir » l’être, c’est vivre de Dieu même s’il l’ignore, c’est boire de sa source de vie. Et c’est précisément pour cette raison que, dans l’expérience mystique, l’éminemment actif est Dieu, et la créature, qu’elle soit mâle ou femelle, se plaît à dépendre entièrement du Dieu aimant, à « se laisser aimer » par lui avec confiance. C’est précisément la grande étape spirituelle.

    Évidemment, il peut y avoir certaines caractéristiques secondaires qui montrent que l’homme le vit d’une manière différente de la femme, mais cela ne change pas l’essence de l’expérience, où tant le les hommes comme les femmes sont fondamentalement réceptifs. Et c’est seulement parce qu’ils acceptent de recevoir de Lui, de dépendre de son élan d’amour, qu’ils peuvent aussi se sentir actifs, qu’ils peuvent sentir qu’ils participent personnellement et de manière créative à cette expérience d’amour. En même temps, ils expérimentent ce contact divin sans se sentir forcés, car la grâce de Dieu a le pouvoir divin de nous faire accepter son initiative d’amour en toute liberté.

    Chapitre 8. Le chemin vers l’orgasme

    Tout ce que nous avons vu nous montre que Dieu n’est pas l’ennemi de notre bonheur, qu’il ne mutile pas notre capacité d’aimer, car Il est l’amour, l’amour passionné, l’amour qui fait le bien, qui libère, qui guérit.

    Mais nous pouvons nous demander si nous sommes tous appelés à une expérience passionnée de Dieu, comme celles qu’ont vécues les mystiques dont nous avons parlé.

    Tout d’abord, il faut dire que tout dépend de ce que Dieu veut donner à chacun. Nous ne pouvons jamais exiger que Dieu se donne à nous d’une manière ou d’une autre, car si nous ne pouvons exiger à personne de se conformer à tous nos désirs, si nous ne pouvons forcer personne à nous aimer d’une manière particulière, encore moins à Dieu. D’un autre côté, nous pouvons voir que Dieu a toujours donné son amour de manières très différentes. Certains saints ont commencé à avoir des expériences enivrantes de Dieu peu de temps après leur conversion, ou lors de la conversion elle-même ; d’autres, comme sainte Thérèse d’Avila , ont réalisé ces expériences après de nombreuses années de sécheresse spirituelle. Sainte Thérèse de Jésus, même si elle se sentait tendrement aimée de Dieu, n’a jamais eu d’expériences très « sensuelles » de son amour, et il semble qu’elle n’ait atteint une joie débordante et passionnée qu’au moment de sa mort, lorsque son visage fut transfiguré et qu’elle a dit ses derniers mots : “Je t’aime, oh mon Dieu, je t’aime !”

    Mais nous devons aussi dire que si cette expérience amoureuse et passionnée de la présence de Dieu est quelque chose d’épanouissant , quelque chose qui harmonise et apaise merveilleusement notre affection et notre sensualité, alors nous avons tous au moins le droit de la désirer. Si cette expérience passionnée de Dieu libère notre psychologie de tant de sentiments d’insatisfaction, de tant de blessures que nous avons reçues par manque d’amour, alors nous avons le droit d’aspirer à ce que Dieu nous accorde cette expérience libératrice . Si nous savons que notre émotivité blessée et insatisfaite nous conduit souvent à faire du mal aux autres, à ne pas nous consacrer avec joie au service des autres, alors il nous est permis d’être attirés par cette expérience de Dieu qui nous permettrait d’être plus disponible, plus serein, plus généreux, moins soucieux de nous-mêmes.

    Mais avec cela tout n’est pas dit non plus. Parce que nous croyons que Dieu prend en compte le chemin que nous essayons de suivre et veut que nous soyons personnellement impliqués dans notre chemin de libération. L’initiative est toujours de sa grâce ; mais une fois qu’il nous l’a donné, il nous prend tellement au sérieux qu’il nous permet d’apporter un peu de nous-mêmes pour que cette grâce atteigne tous les recoins de notre être. Par exemple, si quelqu’un est malade parce qu’il a une rancune dans son cœur, un manque de pardon envers son père, alors il semble que le simple fait de demander pardon à Dieu et de recevoir sa grâce ne suffit pas à le libérer de ces blessures qui ils le conditionnent. Ce qu’on appelle « coopération » avec la grâce reçue, une prière « adéquate », est également requise.

    Une bonne prière est plus que prier un Notre Père demandant à Dieu de me libérer de ma maladie. C’est une prière où j’essaie de guérir, avec la grâce de Dieu, la racine de ma maladie, ce manque de pardon que j’ai envers mon père, par exemple.

    Alors, chaque jour, je demande à Dieu la grâce de pouvoir comprendre et pardonner à mon père. Et si je réalise que je ne veux même pas lui pardonner, alors pendant un moment je demande à Dieu la grâce de « vouloir » lui pardonner. Et dans cette mystérieuse combinaison de l’initiative de sa grâce et de mes pauvres tentatives, le moment viendra où surgit spontanément en moi le désir sincère de pardon, puis une forte impulsion pour accorder ce pardon, pour dire, au moins en moi-même : « Papa, je te pardonne et je te remercie parce que tu m’as donné la vie ».

    Une fois ce pardon accordé, il est très possible que beaucoup de choses commencent à se résoudre, que la maladie devienne plus supportable et peut-être guérie. Nous voyons alors qu’il existe une « manière » plus appropriée de faire une prière, qui facilite l’action de la grâce dans une dimension de mon être où elle n’est pas encore arrivée.

    La même chose peut se produire dans mon expérience de l’amour de Dieu. Il se peut que mon expérience de Dieu soit vraie, même si je la vis au milieu d’une aridité émotionnelle. Il se peut que Dieu me purifie à travers cet abandon sans sentiments ni passion et que ma foi soit très profonde. Mais si en même temps mon affectivité n’est pas saine, cela veut dire que cette expérience n’est pas suffisante. Par exemple, s’il ne me suffit pas pour être fidèle à ma femme, ou pour être heureux dans mon mariage, ou pour vivre mon célibat avec joie, ou pour travailler avec enthousiasme, ou pour bien traiter les autres, cela signifie que la façon dont je trouve Dieu est encore très pauvre.

    Je peux alors me demander si je ne suis pas, pour différentes raisons, en train de fuir de l’amour de Dieu ; s’il n’y a pas quelque chose en moi qui me pousse à résister à l’amour de Dieu, à me méfier de lui, etc.

    Alors, je peux commencer à lui demander chaque jour de me donner sa grâce pour lui donner cette peur, pour me jeter dans ses bras, pour le laisser entrer là où je ne le lui permets pas.

    Quelqu’un pourrait penser qu’en fait, il serait préférable maintenant de profiter de cette courte vie et, en tout cas, de laisser cette expérience de l’amour divin jusqu’après la mort, puisque nous aurons toute l’éternité pour cela. Mais cela est absurde si l’on pense que chaque créature, chaque chose belle de ce monde, si précieuse soit-elle, n’est qu’un pâle reflet de la beauté infinie de Dieu. Lui seul est beau, et les autres choses ne sont belles que dans la mesure où elles reçoivent quelque beauté de cette source infinie qu’est Dieu. C’est pourquoi tous les attraits de ce monde devraient désormais nous élever à la rencontre de la source divine, pour boire à cette source inépuisable de bien et de beauté. Autrement, ce serait comme si nous passions quatre-vingts ans à sentir l’arôme d’une nourriture délicieuse au lieu de nous asseoir à table et de l’apprécier avec plaisir . Mais par ailleurs, attendre la mort pour faire l’expérience de Dieu va à l’encontre de la logique de l’amour. Aucune personne véritablement amoureuse ne serait capable de passer quatre-vingts ans à essayer d’autres plaisirs et de laisser à plus tard l’étreinte merveilleuse de l’être aimé. Tout simplement Il ne serait pas capable de supporter l’attente, ces années lui sembleraient éternelles, et toutes les autres beautés ne le satisferaient jamais, elles ne feraient qu’éveiller de plus en plus sa soif de l’embrasser. Il en va de même pour ceux qui ont goûté à l’amour divin, comme saint Augustin, saint François d’Assise, etc.

    Cela ne veut pas dire que Dieu me donnera bientôt l’expérience d’Angèle de Foligno ou les blessures de saint François d’Assise. Il me donnera ce dont mon cœur a besoin et ce qu’il veut me donner librement. Il existe également des tempéraments naturellement mieux prédisposés à ce type d’expériences et d’autres qui le sont moins. Mais il est très possible qu’en suivant un chemin adéquat, nous puissions tous vivre une expérience plus complète de l’amour de Dieu, une expérience qui guérit notre affectivité malade, notre émotivité blessée, qui nous rend plus joyeux dans notre dévouement quotidien, qui nous rend plus libres et heureux.

    Mais cela ne veut pas nécessairement dire que cette expérience joyeuse de l’amour divin, si j’y parviens, me libérera de toutes mes faiblesses psychologiques. Cela ne veut pas dire, par exemple, qu’un homosexuel cessera nécessairement d’être homosexuel. Rappelons-nous que la grâce de Dieu peut coexister avec les faiblesses et aussi avec les péchés, lorsqu’il existe un conditionnement très fort. Dans ces cas-là, la personne peut faire des choses qui sont objectivement pécheresses, mais sans être coupable et sans perdre la grâce de Dieu ni l’expérience de son amour. Voyons comment le dit le Catéchisme de l’Église catholique :

    L’imputabilité et la responsabilité d’un acte peuvent être diminuées et même supprimées en raison de l’ignorance, de l’inadvertance, de la violence, de la peur, des habitudes, des affections désordonnées et d’autres facteurs psychiques et sociaux ( CEC 1735).

    Il peut y avoir une religieuse qui doit faire de grands sacrifices pour être fidèle à sa virginité, parce que sa psychologie a de forts conditionnements dans cet ordre, et pourtant, en même temps, vivre une belle expérience de l’amour de Dieu qui est très authentique , ce qui la rend heureuse.

    Disons enfin que, pour vivre une expérience joyeuse et passionnée de l’amour divin, il existe une coopération extrêmement importante : les actes d’amour envers le frère. Chaque acte généreux, chaque service d’amour que nous rendons aux autres nous assure que notre expérience de Dieu est sur la bonne voie. Voici ce que dit la Bible :

    Celui qui aime son frère marche dans la lumière et ne trébuche pas. Mais celui qui n’aime pas son frère est dans les ténèbres, il marche dans les ténèbres, il ne sait pas où il va, parce que les ténèbres l’ont rendu aveugle (1 Jn 2, 10-11).

    De plus, tout acte d’amour sincère envers notre frère ouvre notre cœur, l’adoucit et le libère de l’égoïsme. Et ainsi le cœur est mieux disposé à se laisser aimer par Dieu.

    C’est pourquoi saint Bonaventure disait que les œuvres de miséricorde facilitent la contemplation divine et nous préparent à aimer pleinement Dieu :

    Il y a une certaine action qui, unie à la contemplation, ne l’empêche pas, mais la rend plutôt plus facile, comme les œuvres de miséricorde et de piété (IV Envoyé ., 37,1, 3, ad 6) .

    Celui qui veut être un parfait amoureux de Dieu doit s’exercer avant tout dans l’amour du prochain (III Sent ., 27, 2 , 4 ).

    En ce sens, il est bon de noter que, lorsque la Bible parle de Dieu comme époux, elle ne se réfère pas au Seigneur comme époux du cœur de chaque être humain, mais comme époux de son peuple ou de l’Église (Os 2,21-25 ; Eph 5,25 ; Apo 21,2-3). Cela signifie que je ne peux vivre une expérience authentique et passionnée de l’amour de Dieu que si je me sens partie de son Peuple , si je rejoins son Église, si je ne m’isole pas et ne me sépare pas des autres.

    Chapitre 9. DIEU dans l’ orgasme du couple.

    Jusqu’à présent, nous avons parlé de la possibilité d’atteindre une sorte d’orgasme épanouissant dans notre relation avec Dieu ; ce qui n’implique pas tant de modifications physiques, mais simplement que Dieu parvient à toucher le centre âme-corporel du plaisir, de sorte qu’une satisfaction qui englobe la personne entière soit ressentie. Cela nous amène à une autre conséquence importante : cela nous invite à découvrir que, si Dieu peut être présent à ce niveau de notre existence, il peut aussi être présent lorsque deux êtres humains s’aiment et atteignent l’orgasme ; et cet orgasme, vécu en présence de Dieu, peut aussi être un acte sublime d’adoration de Dieu.

    Cela est certain si l’on part d’un postulat élémentaire : Dieu aime le bonheur de l’homme, c’est donc aussi un acte d’adoration envers Dieu que de vivre un moment de bonheur.

    Certains textes de la Bible confirment cette vérité :

    Il n’y a pas de plus grand bonheur pour l’homme que de manger, de boire et de s’amuser au milieu de sa fatigue. Je vois que cela vient aussi de la main de Dieu, puisque quiconque mange et boit, cela vient de Dieu ( Eccl 2, 24-25).

    Que chacun mange, boive et s’amuse au milieu de ses soucis. C’est un don de Dieu ( Ecc 11,8).

    Fils, traite-toi bien avec ce que tu as… Ne te prive pas de passer une bonne journée, ne manque de satisfaire aucun désir légitime ( Sir 14,11.14).

    On voit ainsi que le plaisir est aussi quelque chose de religieux, car « c’est un don de Dieu ». Ainsi, celui qui est capable de jouir de la présence de Dieu peut plus facilement prendre conscience de l’amour de Dieu et ainsi s’ouvrir à l’amour des autres. Celui qui n’est pas capable de jouir des plaisirs de la vie, parce qu’il ne s’aime pas et ne s’accepte pas, sera difficilement capable d’aimer généreusement les autres. C’est pourquoi la Bible dit :

    Celui qui est mauvais envers lui-même ne peut être bon envers personne. Il ne trouve pas de contentement au milieu des trésors. Personne n’est pire que celui qui se torture ( Sir 14, 5-6).

    Nous pouvons donc dire que nous plaisons à Dieu et que nous l’adorons lorsque nous sommes capables de jouir des petits plaisirs légitimes de la vie. Ainsi, nous n’avons pas besoin d’échapper ou de nous cacher de Dieu lorsque nous jouissons, car c’est lui qui « a créé toutes choses pour que nous puissions en jouir » (1 Tim 6, 17). Lisons, par exemple, l’éloge du vin dans la Bible :

    Le vin est comme la vie pour l’homme, si on le boit avec mesure. Qu’est-ce que la vie pour ceux qui n’ont pas de vin , créé pour la joie des hommes ? C’est la joie du cœur et le contentement de l’âme… ( Sir 31, 27-28).

    Tout cela peut aussi être dit du plaisir sexuel, créé par Dieu pour le bonheur de l’homme. Pour cette raison, dans la même Bible, nous trouvons des louanges pour le corps de la femme, comme celles-ci :

    Comme tu es belle, comme tu es charmante, ô amour, ô fille des délices ! Votre taille est comme un palmier et vos seins sont comme des grappes. C’est pourquoi, comme je l’ai déjà dit, je grimperai sur le palmier et je prendrai ces grappes ( Cant 7,79).

    De plus, le plaisir sexuel a une noblesse particulière par rapport aux autres plaisirs du corps, car le plaisir sexuel se vit à deux, se partage et peut être une merveilleuse expression d’amour. Mais c’est précisément pour cette raison que le plaisir sexuel peut perdre toute sa beauté lorsqu’il n’est qu’une recherche de satisfaction personnelle et que l’autre n’est pas pris en compte, lorsque l’autre n’est utilisé que pour le bénéfice personnel de chacun.

    Le fait est qu’un être humain n’est pas une assiette de nourriture ou un verre de vin. Il est sacré et ne peut être utilisé, mais doit être un objet d’amour.

    Quand le plaisir sexuel s’obtient dans un acte d’amour, quand ceux qui font l’amour sont deux personnes qui s’aiment, qui s’accompagnent, qui s’entraident, qui ont décidé devant Dieu de tout partager pour toujours et malgré tout, alors le plaisir sexuel est aussi un acte d’adoration envers Dieu, qui aime le bonheur de ceux qui s’aiment. Dans cette rencontre d’amour, chacun ne recherche pas à tout prix son propre plaisir, mais traite l’autre avec une délicatesse et une tendresse qui reflètent l’amour divin, cherchant à ce que l’autre jouisse aussi le plus possible et soit immensément heureux. Ainsi, le plaisir de l’orgasme devient un avant-goût de la merveilleuse fête de l’amour qu’est le paradis. Parce qu’il n’y a rien qui anticipe mieux le ciel qu’un acte de charité.

    Il faut donc dire que Dieu n’aime pas l’attitude de certaines personnes faussement spirituelles qui refusent en permanence toute relation sexuelle avec leur conjoint, sous prétexte qu’elles recherchent un amour plus « parfait ». Car c’est précisément l’union sexuelle, en tant qu’expression de l’amour, qui manifeste le mieux l’amour des époux, celle qui le protège le mieux et qui le fait le plus grandir. Le Concile Vatican II le disait déjà :

    Cet amour, associant à la fois l’humain et le divin, conduit les époux au don libre et mutuel d’eux-mêmes, se manifestant par des sentiments et des actes de tendresse, et imprègne toute la vie… Cet amour s’exprime et se perfectionne particulièrement avec le acte matrimonial ( Gaudium et Spes , 49).

    Le plaisir sexuel n’entrave ni la spiritualité ni la contemplation, car si l’union sexuelle est un acte d’amour, elle ne fait qu’ouvrir le cœur, et facilite ainsi la contemplation de Dieu. Saint Bonaventure disait déjà que « nul n’arrive à la contemplation s’il ne s’exerce dans l’amour des autres » (III S. , 27, 2, 4 ; IV S. , 37, 1, 3, ad 6), et selon saint Thomas d’Aquin « l’affection humaine s’épanouit avec le plaisir » (Summa Th ., I- IIae , 31, 3).

    C’est la mentalité grecque qui a influencé négativement le christianisme, lui transmettant un certain mépris du corps. Les Grecs n’avaient pas une vision de l’homme aussi unitaire que celle de la Bible ; ils comprenaient plutôt que l’homme était constitué de deux « parties », l’âme et le corps. Pour cette raison, ils passèrent facilement de l’exaltation du corps à son mépris total. S’ils étaient dédiés au corps, le corps était tout ; s’ils se consacraient aux choses spirituelles, ils méprisaient tout ce qui concernait le corps. Lorsque cette mentalité grecque a influencé le christianisme, elle a produit l’idée que pour être plus « spirituel », il fallait mépriser le corps. Cependant, nous savons que les pires péchés, comme l’orgueil ou la haine, ne sont pas exactement des péchés liés au corps ; ils sont plutôt « spirituels » ; et nous savons aussi que le corps intervient aussi dans les plus grandes œuvres d’amour et de dévouement.

    Évidemment, nous ne voulons pas dire que tout ce qui concerne le corps est sacré, car un couple peut retirer au sexe son but le plus précieux, et les amants peuvent devenir simplement deux égocentriques qui se masturbent. De plus, le sexe ne devrait être qu’une partie de la vie du couple, une manière agréable d’exprimer son amour et de se rendre heureux ; le sexe pour le sexe est une façon de rester dans l’adolescence et le manque de maturation. Le sexe juste pour le sexe est en fait la forme de sexualité la plus courante chez les adolescents qui se masturbent, car dans la masturbation ils obtiennent du plaisir et échappent à l’engagement envers les autres, ils se protègent des autres et ne donnent rien d’eux-mêmes. Il reste ainsi lié à ses parents et ne sort pas de la coquille familiale. La même chose arrive à ceux qui changent constamment de partenaire et échappent ainsi à leur engagement émotionnel. Et c’est finalement ce que propose la publicité : orner son propre corps et l’entourer de choses impressionnantes pour obtenir des objets de plaisir ; c’est ainsi que le corps est dépouillé de sa dignité d’instrument et d’expression de l’amour.

    Pour que le sexe ne soit pas seulement une manière de se servir et de se consommer, il est essentiel que le couple ait d’autres préoccupations et, surtout, que l’amour mutuel s’ouvre pour rechercher ensemble le bonheur des autres. Se battre ensemble pour quelque chose, sortir de l’enfermement étouffant des deux, évite au plaisir de tomber malade ou de mourir, car ainsi le cœur reste ouvert. En effet, à l’image chrétienne de Dieu, l’amour entre Dieu le Père et son Fils s’ouvre nécessairement à une troisième personne, le Saint-Esprit. Ainsi, tout amour authentique de couple, source des meilleurs plaisirs, est ouvert aux autres. Le plaisir qui non seulement produit une décharge momentanée, mais qui planifie et donne également le bonheur, est ce qui est uni à l’amour, et l’amour est la vraie sainteté.

    Et le plaisir est tellement lié à la sainteté que, selon saint Thomas, si l’homme était libre du péché, il y aurait bien plus de plaisir dans les relations sexuelles ( Somme Th., 1, 98, 2).

    Ainsi, dans la mentalité de saint Thomas, la relation sexuelle dans le mariage n’est plus un « péché permis », comme le disaient certains saints Pères de l’Église, mais elle peut aussi être un acte méritoire, qui fait grandir la perfection d’un être humain. aux yeux de Dieu. Il est intéressant de découvrir comment, dans d’autres religions, il existe également une profonde appréciation du plaisir sexuel. Danielou , à partir d’une analyse du shivaïsme, fait la réflexion suivante :

    La joie est le reflet de l’état de perfection, de l’état divin. L’homme oublie un instant ses intérêts, ses problèmes, ses devoirs, et participe au sentiment de bonheur qui est sa vraie nature, sa nature immortelle… On atteint mille fois plus facilement la perfection intérieure – dit cette ancienne religion – par la expérience de la joie des corps qu’à travers les austérités. De l’union érotique à l’union mystique il y a un pas facile à franchir (La sculpture érotique , Paris 1973,15 .

    Et un vénérable théologien égyptien du XVe siècle a rendu à Dieu la louange suivante :

    Louange à Allah, qui affermit les pénis aussi durs et droits que des lances pour faire la guerre aux vagins (Al Sonuouti ).

    N’oublions pas que la sexualité humaine fait partie de l’œuvre la plus parfaite de Dieu, celle du dernier jour, où Dieu, en contemplant ce qu’il a fait, « vit que c’était très bon » ( Gn 1, 31).

    Séparer Dieu du plaisir, c’est renoncer à vivre une expérience libératrice de l’amour divin. Vouloir se cacher de Dieu lorsque nous éprouvons du plaisir, comme cette femme qui cachait le crucifix lorsqu’elle avait des relations avec son mari, c’est croire en un faux Dieu qui, au lieu de nous aider à vivre, devient un persécuteur qui déteste notre joie.

    Tout comme un artiste peut offrir à Dieu, avec une immense tendresse, une merveilleuse œuvre d’art qu’il a réussi à créer, de même un couple peut offrir à Dieu un bel acte d’amour dans lequel ils parviennent à déborder de plaisir et de gratitude, se faisant mutuellement heureux. Dieu jouit aussi avec nous; Il est le plus merveilleux des poètes, car leur inspiration est aussi le reflet de la sublime poésie de Dieu.

    Pour une raison quelconque, lorsque les poètes ne trouvent plus de mots pour parler des excès de leur amour, ils utilisent des mots à fort contenu religieux. Par exemple, le mot « grâce » est l’un des termes les plus sacrés de la théologie chrétienne, car il exprime l’amour totalement libre de Dieu, qui ne peut être mérité ou acheté avec rien; qui ne peut être reçu que comme un don divin. Lorsque Pablo Neruda a voulu parler de ce que signifiait pour lui le corps de sa femme bien-aimée, il a dû recourir à ce mot :

    Corps de ma femme,

    Je persisterai dans ta grâce.

    Ma soif, mon désir illimité…

    (Poème 1).

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