Dieu existe-t-il ou critiques de la théorie de l’évolution…

Depuis plus de deux siècles, on assiste à une campagne d’endoctrinement incessante, cherchant à prouver que Dieu n’existe pas. Ce qui permet de modeler l’être humain à sa guise, de changer ses repères moraux et de le transformer en dieu lui-même.  Ce projet fait intrinsèquement partie des plans du Nouvel Ordre Mondial ! Et les médias aux mains de la haute finance défendent sournoisement cette idée. Tout est fait pour ridiculiser, supprimer l’étude des religions dans les écoles. Le veau d’or par contre réapparait. On veut faire en sorte que le but ultime de l’homme soit l’argent.

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Mais ont-ils raison ? Les croyants tels que les Chrétiens, les Musulmans et bien d’autres seraient-ils dans l’erreur selon les connaissances actuelles ? 

Notre monde a commencé par le Big Bang il y a 13 milliards d’années. La matière, l’énergie, l’espace et le temps ne sont donc pas éternels et furent créés à partir de rien et venant de rien. L’éloignement des galaxies observé pour la première fois par Edwin Hubble en 1929, confirme que notre univers continue sa phase d’expansion. Mais pourquoi donc cet univers est  soudainement apparu du néant ? Quel en peut bien être la cause ?  Une cause qui ne peut être qu’immatérielle puisque rien n’existait auparavant.  L’astrophysicien Sir Arthur Eddington (1882-1944) l’avait bien compris : « Le commencement de l’univers a l’air de présenter des problèmes insurmontables à moins qu’on accepte de le voir comme étant clairement surnaturel. » (the Expanding Universe page 178).  Allan Sandage (1926-2010), le premier découvreur des quasars,  a trouvé très improbable qu’un tel chaos puisse venir du néant. « Il doit y avoir un principe d’organisation. Dieu pour moi est un mystère mais c’est l’explication du miracle de l’existence… » (Willford, J. N. Sizing up the Cosmos).

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Il y a donc un Dieu immatériel, cause de notre univers. Mais d’où vient-il ?

En science, on n’est pas obligé d’avoir l’explication de l’explication pour qu’une chose soit juste.  Si des astronautes découvrent sur la lune une installation inconnue, ils n’ont pas besoin de connaître de quel peuple  extraterrestre  elle provient,  pour être persuadé qu’elle existe. Il en est de même de Dieu.

Les découvertes sur les nombres fondamentaux en physique atomique tels que la masse d’un électron, d’un proton ou d’un neutron, la constante d’Avogadro ou de Faraday, la vitesse de la lumière, les forces de gravité et du champ magnétique, le nombre Pi… démontrent que l’univers a un but. Cette vingtaine de nombres, ajustés à peine différemment,  entrainerait la disparition de notre univers.  Pour Bernard Carr, cosmologiste, ces ajustements extrêmes, soulèvent au moins la possibilité de l’existence de Dieu. Son diagramme, appelé la pyramide de la complexité,  a, à sa base, les quarks qui forment les atomes, qui eux-mêmes forment les molécules, qui donneront les cellules qui se transformeront en des organismes, qui auront ensuite un cerveau et éventuellement une conscience.  Difficile de parler là de hasard !

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D’où vient par exemple le carbone ?

L’univers primitif n’en avait pas. Il ne put être créé que grâce aux fourneaux nucléaires des étoiles.  Nous sommes donc faits de poussières d’étoiles, de cendres d’étoiles mortes. Le processus par lequel le carbone est fabriqué à l’intérieur d’une étoile, est un processus extrêmement délicat. Il n’est possible que grâce à la grande quantité de l’effet de renforcement qu’on appelle « résonance ». Une résonance qui est là, du fait d’une grande précision des lois de la physique nucléaire. Avec des lois légèrement différentes, de plus de 1%, il n’y aurait plus de résonance.  Une constante cosmologique  ajustée à 1 X 10 puissance 120 (à 120 décimales près) ne peut donc être due au hasard ! La densité de l’univers par exemple, doit être réglée à une précision de 10 puissance moins 60, c’est-à-dire égale à celle d’un archer, qui plante une flèche dans une cible d’1cm2, à la distance de 14 milliards d’années ! 

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Une perfection que l’on retrouve dans la nature :

La suite de Leonardo Fibonacci (1175-§1250) consiste à créer une liste de nombres que l’on obtient en additionnant  les deux nombres précédents : 2,4,6, 10, 16, 26, 42… Cette élégante suite décrit de nombreuses choses dans la nature, comme les pétales de fleurs (le nombre de pétales sur une marguerite ne pourra jamais être de 27, car ne correspondant pas à la suite de Fibonacci). Ou encore les vagues qu’amènent la marée. Elles se courbent en formant une spirale qui peut être retranscrite de façon mathématique avec des nombres qui suivent la suite de Fibonacci.  A environ 100 000 années lumière de nous, mêmes les spirales des galaxies sont formées suivant le même principe.

Cet autre chiffre : 1,618 appelé le nombre d’or et qui est un ratio de Fibonacci,  est une formulation mathématique qui apparaît partout, y compris dans un cycle d’une double hélice d’ADN (ou code de la vie) :

34 angstroms de long/ 2& angstroms de large = 1,618

Il est présent dans la forme du corps humain. La distance entre le sol et notre nombril / celle entre notre nombril et notre tête = 1,618 (si on est bien proportionné). La largeur de la bouche sur un beau visage est 1,618 fois plus grande que celle du nez.  Dans les muscles du cœur, dans les bronchioles, dans les potentiels électriques des neurones ce ratio existe.

Le nombre d’or a même été découvert dans le monde quantique. Les chaînes d’atomes sont alignées ensemble pour former une sorte de corde et cela résonne sous forme de fréquence ou ton (et ce ton possède un ratio de 1,618).

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La théorie de l’évolution, celles d’univers aléatoires ne font pas le poids devant ces preuves accablantes. 

Selon la théorie de Darwin, les espèces animales n’ont pas été créées par un Dieu mais par le processus du hasard (L’origine des espèces, 1859), de plus,  elles descendent d’un ancêtre commun. Ces idées eurent un grand succès, car elles confortaient les matérialistes ou athées qui étaient nombreux en cette fin du XIXème siècle . Karl Marx ne dédia-t-il pas  son livre « Le Capital » à Darwin ? Pourtant, elles ne répondaient pas à cette question : Comment la première cellule vivante a-t-elle pu apparaître ? Louis Pasteur comprit rapidement le non fondement de sa théorie : « La matière peut-elle s’organiser seule ? Non. Des êtres microscopiques ne sont pas apparus en leur état sans parents. » Le biologiste russe Alexander Oparin, chercha comment une première cellule vivante pouvait apparaître d’une matière inerte.  Mais il ne trouva rien. « L’origine de la cellule reste l’aspect le plus trouble de toute la théorie de l’évolution » écrira-t-il dans son livre (Origin of Life Page 196).

Jeffrey Badda, professeur de géochimie, avoua en 1998, que l’on n’avait toujours pas trouvé comment la vie était apparue sur terre.  Une cellule vivante est effroyablement complexe mais pourtant d’une taille équivalente à 1/100ème de mm.  Chacune d’elle possède comme des moteurs pour se déplacer,  une centrale électrique, des usines de haute technologie, des systèmes de stockage, des raffineries de pointe et une membrane cellulaire assez intelligente pour contrôler ce qui rentre et sort.

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Quelle est la probabilité qu’une protéine (les éléments essentiels à la cellule) émerge par chance avec tous les acides aminés qui interagissent les uns avec les autres dans cette soupe cellulaire sur un milliard d’années ?

La probabilité est de 1/10 puissance 74. Mais il existe d’autres obstacles à surmonter. Car si nous voulons construire une protéine, les acides aminés doivent être attachés ensemble avec ce qu’on appelle des liaisons peptidiques. Mais dans la nature, une liaison semblable se produit une fois sur deux. Donc pour former une protéine (150 acides aminés de longueur) on a une chance sur deux  de chaque côté, d’obtenir le bon type de liaison. C’est-à-dire une chance sur deux, multiplié par une chance sur deux,  multiplié par une chance sur deux etc……jusqu’à 150 liaisons = ou 10 puissance 45. De plus, lors de la construction d’une protéine, un acide aminé peut être de deux versions, une conformation isomérique droite  et une gauche (les isomères optiques). Seule la gauche peut être utilisée pour construire une protéine. Donc au total, la probabilité pour obtenir par chance une protéine fonctionnelle  est 10 puissance 74 X 10 puissance 45 X 10 puissance 45 = 10 puissance 164 !

Pourtant il n’y a que 10 puissance 80 de particules élémentaires dans l’univers. Et il s’est passé seulement 10 puissance 16 secondes depuis le Big Bang.  Devant cette probabilité, on ne peut qu’être sceptique  sur le fait que la vie ait pu apparaître par chance.  Aucun scientifique sérieux ne peut défendre ce genre de théorie.

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La biochimie moderne nous dévoile aujourd’hui,  l’inimaginable complexité de la molécule d’ADN :

Le professeur Anthony Flew (1923-2010) était durant de nombreuses années un athéiste convaincu. Un de ses articles « Théologie et Falsification » eut d’ailleurs beaucoup de succès parmi les évolutionnistes et autres athées. Mais aujourd’hui, les progrès de la science le firent changer d’avis. Il croit maintenant en un Dieu créateur de l’univers. La retranscription du code de la vie, écrit dans la molécule d’ADN, et la retranscription de l’ADN en ARN, et de l’ARN en protéines, puis son processus de repliement de protéine, constitue l’argument le plus déterminant de son changement de pensée.  La structure de l’ARN parait simple. Mais en réalité non. Chaque bloc le composant est constitué de 2 parties : une molécule de sucre et une base azotée.  Chacune d’elles peut être créée en laboratoire. Mais on n’arrive pas alors à les joindre ensemble. C’est  curieusement chimiquement impossible.

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Certains évolutionnistes aiment dire que notre ADN est 98% similaire à celui du singe.

Mais ils oublient d’ajouter que chaque humain possède 3 milliards de lettres d’information ADN dans chaque cellule. Une différence de 2% représente donc une différence de 60 millions. Soit 20 livres de 500 pages.  Ce qui n’est pas rien. A titre de comparaison, 50% de notre ADN est similaire à celui d’une banane. Serions-nous pour moitié une banane ?

Tous les détails physiques et physiologiques d’un être humain sont codés dans cette double hélice. La structure de nos organes internes, la couleur de nos yeux, la forme de nos cellules sont programmés dans des sections appelées gènes.  Le code de l’ADN est composé d’une séquence de 4 différentes bases. Si on représente chacune de ces bases avec une lettre, l’ADN peut être relié à une base de données faite d’un alphabet composé de 4 lettres. Toutes les informations sont stockées dans cette base de données.

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Si on trouvait une ancienne tablette d’argile avec d’étranges lettres dessus. On pourrait la lire si quelqu’un arrivait à la déchiffrer.  Et cela sans avoir besoin de connaître l’auteur du message, non ?

Il en est de même avec l’ADN. Il représente lui aussi un langage qu’il faut comprendre : 4 unités de base appelées nucléotides qui se combinent pour former 20 acides aminés. Et à partir de ces 20 acides aminés, le corps forme environ 100 000 protéines. Chaque minuscule cellule de notre corps renferme environ 1 mètre d’ADN compacté : 3 milliards de nucléotides. La similarité entre l’ADN (le langage de la vie) et le langage humain n’est-elle pas troublante ?  Là aussi, sans en connaître l’auteur, on devrait pouvoir  complètement le déchiffrer.   La recherche de la source intelligente, créatrice de ce langage,  est un problème différent.

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La théorie de l’évolution est aussi morte,  du fait du concept appelé « série de gènes minimum » :

Les scientifiques ont pris un mycoplasme (bactérien), le plus petit organisme vivant qui existe. Il possède 468 gènes (un gène est un complexe protéique pouvant avoir entre 1 000 et 10 000 acides aminés). On essaya en l’an 2000  de les réduire.  Car pour prouver la théorie de Darwin, il faut débuter avec zéro gène.  Il se trouve qu’il fut impossible d’aller en dessous de 200 gènes. Le 6 janvier 2006, dans la revue Nature, on apprit qu’il fut impossible d’aller en dessous de 397 gènes.  En fait, la cellule a besoin d’un certain nombre de composants spécifiques pour pouvoir fonctionner. Elle a une membrane qu’il faut alimenter. Donc il faut des mitochondries, un moyen de marquer les protéines, de l’ADN…Bref 397 gènes au minimum.

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La science de la génétique a prouvé qu’il ne s’agissait pas de caractères acquis mais uniquement des gènes qui étaient transmis aux générations suivantes.

Un scenario suggérant que des caractères acquis transmis d’une génération à une autre pouvant générer des espèces différentes était impossible. Autrement dit, il n’y avait aucune variation héréditaire possible dans le mécanisme de sélection naturelle de Darwin. Le mécanisme de sélection naturelle n’a aucun pouvoir d’évolution.  Ce qui fait dire par un paléontologue anglais, Colin Patterson (1933-1998), que « Personne ne peut créer une espèce par le moyen de la sélection naturelle. » (BBC 4 mars 1982)

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Les évolutionnistes ont alors ajouté le mécanisme de mutation :

Les mutations sont des altérations  ou distorsions qui se créent dans l’ADN d’un être vivant, la plupart du temps, dues à des effets externes comme les radiations ou des actions chimiques. La théorie de l’évolution prétend donc maintenant que les êtres vivants se différencient les uns les autres et se sont développés par le biais de mutations. Cela ne peut pas être vraies, car les mutations ne font qu’endommager l’information présente dans l’ADN et ne génèrent que des effets négatifs sur un être vivant. Les mutations n’ajoutent pas de nouvelles informations génétiques.  Dr Warner Gitt dans son livre écrit (Au début était de l’Information, pages 64, 67, 79 et 107) : « Un système de code est toujours le résultat d’un processus mental, cela requiert une source d’intelligence… La matière est incapable de générer n’importe quel code. Toutes les expériences démontrent, qu’un être ayant une pensée et qui volontairement exerce son propre choix, ainsi que sa propre cognition et créativité, est requis. Il n’y a aucune loi naturelle connue, aucun processus connu et aucune séquence d’événements connue qui peuvent causer de l’information à émerger toute seule à partir de la matière. »

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La science  de la biologie moléculaire, la paléontologie (science des fossiles) ,  réfutent  la théorie de l’évolution.

Les fossiles ne montrent pas l’évolution graduelle du simple au complexe sur des centaines de millions d’années.  De plus,  on ignore « l’explosion cambrienne ». La couche terrestre la plus ancienne dans laquelle des fossiles d’êtres vivants ont été découverts, est celle de l’époque cambrienne, qui remontre entre 500 et 530 millions d’années.  Dans les couches précédant cette période, aucun fossile n’a été retrouvé à part quelques organismes unicellulaires.  En revanche, durant la période cambrienne de nombreuses espèces furent découvertes. Plus de 30 espèces d’invertébrés tels que des méduses, des étoiles de mer, des trilobites et des escargots apparurent. Dans l’arbre de l’évolution de Darwin, en bas se trouve l’ancêtre commun puis différentes espèces dans les arbres. On aurait une première forme qui divergerait ensuite vers d’autres formes d’une manière graduelle, jusqu’à arriver vers les formes modernes  d’aujourd’hui. Le problème, toutes ces différences apparaissent déjà pendant la période cambrienne.

http://www.cambrienetdarwin.com/fossiles.html

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Selon les recherches du paléontologiste chinois J. Y. Chen,  qui possède quelques uns des fossiles les mieux préservés au monde datant de l’ère cambrienne, « le darwinisme expliquerait peut être qu’une partie de l’histoire de l’évolution. »

Les fossiles qu’il a découverts,  ont retourné l’arbre de Darwin de haut en bas. Pour lui, « l’arbre de Darwin ne serait en réalité qu’un cône renversé. Les lignées d’espèces majeures ont commencé au début du cambrien. La base de l’arbre est large puis se resserre graduellement. »  Mais Darwin ne disait-il pas « que si de nombreuses espèces appartenant au même genre ou à la même famille sont réellement apparues soudainement, alors ce fait serait fatal à la théorie de l’origine avec des modifications lentes à travers la sélection naturelle. » (the Origin of Species page 302).

Bref, aucun fossile supportant l’évolution n’a été retrouvé sur la planète.  Tous les groupes biologiques,  qui vont des bactéries, des algues vertes à l’être humain, apparaissent brusquement dans le registre des fossiles sans aucun lien qui les relient ensemble. Pourquoi donc tant de gens pensent que les fossiles prouvent l’évolution ?  Pourquoi cette théorie est-elle toujours présentée aux jeunes ?  Pourquoi donc les musées, n’ont-ils pas de fossiles démontrant clairement les transitions entre les divers groupes biologiques ?

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Et l’homme,  a-t-il évolué à partir du singe ?

On répertorie  6500 différentes espèces de singes ayant vécu jusqu’à présent. Mais la majorité d’entre elles ont disparues. Les crânes de ces espèces, grands ou petits, constituent une grande ressource pour les évolutionnistes. En arrangeant ces crânes, en y ajoutant des crânes de races humaines disparues, les évolutionnistes ont concocté le scénario de l’évolution humaine. 

L’espèce de singe disparu appelé australopithèque (il y a 3 à 4 millions d’années)  a eu leur faveur. Le premier découvert  fut en 1924 par Raymond Dart. Il ressemble à l’être humain. Cependant, si on compare ses os avec ceux  d’un chimpanzé, il semble y avoir très peu de différences entre eux. Les évolutionnistes en ont déduit que l’australopithèque a marché verticalement sur ces deux pieds différemment des autres singes. Cependant, deux anatomistes connus, Sally Zukerman et Charles Oksnard ont contesté cette allégation.  L’australopithèque (Lucie) avancé comme l’ancêtre de l’homme par les évolutionnistes, est simplement une espèce de singe disparue. D’un autre côté, les fossiles qui sont inclus par les évolutionnistes sous des classifications imaginaires, tel que « Homo Erectus », « Homo Ergaster », « Homo Sapiens archaïque », appartiennent en réalité à différentes espèces humaines. Lorsque ces fossiles sont examinés, leurs squelettes ont l’air d’être essentiellement les mêmes que les personnes qui vivent aujourd’hui.  Les seules dissimilitudes, sont de petites différences au niveau de la structure du crâne. Mais des différences comme celles-ci, peuvent se trouver dans différentes races humaines vivantes aujourd’hui.

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Résumé des fraudes imaginées pour tenter de faire accepter la théorie de l’évolution  :

La plus célèbre d’entre elles, est celle du fossile Piltdown introduit en 1912 par l’évolutionniste Charles Dawson. Il était présenté comme la forme transitionnelle la plus importante entre le singe et l’homme. Il a été exposé pendant plus de 40 ans dans les musées.  Des experts en 1949 l’examinèrent et s’aperçurent qu’il s’agissait en fait, d’une fabrication qui avait été produite,  en attachant une dent d’orang-outan sur un crâne humain. Il fut discrédité en 1953.  Il y a aussi l’homme du Nebraska, présenté comme forme transitionnelle, mais inventé en 1922 avec une seule dent, provenant d’un cochon sauvage. L’homme de Neandertal fut présenté comme preuve en 1856, mais discrédité en 1960.  Le ramapithèque fut présenté en 1964, puis discrédité en 1979.

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