Au dessus de l’océan arctique, à 1500 km du pôle nord, se trouve plusieurs îles appelées Svalbard et administrées par la Norvège.
Survol en aout de la zone :
Aucun arbre n’y pousse et la température est ordinairement de moins 30°. Sur l’ une d’elle, fut construit un abri géant de 9 millions de dollars et inauguré en 2008, juste pour conserver autour d’un milliard et demi de graines ! Sa construction fut payée par la Norvège et Bill Gates finança leur transport. Si un astéroïde frappait la terre, on pourrait relancer notre agriculture.
Les plantes que nous consommons depuis plus de 10 000 ans, sont en voie d’extinction. Car la culture intensive actuelle n’est pas propice, pour des raisons de profits, à la diversification des espèces. Avant, les graines étaient passées de père en fils dans les fermes. Aujourd’hui, les agriculteurs utilisent des semences industrielles. Les variétés familiales s’éteignent donc peu à peu, laissant la place à la marchandisation de la nature par le biais des brevets. Et avec les OGM, ne va-t-on pas jusqu’à vendre des semences stériles ?
Le monde n’est pas à l’abri d’un fou, voulant utiliser l’alimentation pour dominer ses semblables !
Pour en savoir plus sur notre agriculture libérale :
https://effondrements.wordpress.com/2012/06/04/bref-apercu-de-notre-agriculture-neo-liberale/
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On peut trouver des coffres-forts qui n’ont rien d’apocalyptique sur le site http://www.infosafe.fr/
[…] Le coffre-fort de l’Apocalypse « Effondrements de civilisation […]
Bill Gates finance le transport des graines, mais il a aussi acheté des actions chez Monsanto (spécialiste de l’OGM !).
A Thomas
Il s’agit d’un mariage entre deux monopoles des plus cyniques de l’histoire de l’industrialisme : Bill Gates contrôle plus de 90 pour cent de part du marché de l’informatique propriétaire et Monsanto environ 90 pour cent du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde. Il n’existe aucun autre monopole aussi vaste de secteurs industriels. Leur existence même est une négation du fameux principe du capitalisme de « concurrence de marché. » Gates et Monsanto sont tous deux très agressifs dans la défense de leurs monopoles mal acquis.
Bien que Bill Gates puisse être tenté de dire que sa Fondation n’a aucun rapport avec son entreprise, tout prouve le contraire : la plupart de ses dons finissent par favoriser les investissements commerciaux du magnat. Quoi que ce soit, ce ne sont pas vraiment des « dons, » puisque au lieu de payer des impôts à l’État, la Fondation investit ses bénéfices là où c’est favorable économiquement.
Ses « dons » financent au contraire des projets aussi destructeurs que la géo-ingénierie ou le remplacement des médicaments de la communauté naturelle par des médicaments brevetés de haute technologie dans les régions les plus pauvres du monde. Quelle coïncidence ! L’ancien ministre [mexicain] à la Santé Julio Frenk et [l’ancien président du Mexique] Ernesto Zedillo sont des conseillers de la Fondation.
Comme Monsanto, Gates est aussi engagé dans une tentative de destruction de l’agriculture rurale dans le monde, principalement à travers l’« Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA). Il fait office de cheval de Troie dans le but de déposséder les agriculteurs pauvres africains de leurs semences traditionnelles, afin de les remplacer d’abord par des semences de leurs compagnies, et ensuite par des semences génétiquement modifiées. À cette fin, en 2006 la Fondation a embauché Robert Horsch, le directeur de Monsanto.
Un article paru dans The Nation le 15 septembre 2010, a révélé que la plus grande armée de mercenaires du monde, la compagnie de services clandestins d’intelligence Blackwater (aujourd’hui appelée Xe Services) a été vendue à la multinationale Monsanto. Blackwater a été rebaptisée en 2009, après que de nombreux rapports de débordements, dont des massacres de civils, en Irak l’aient rendue célèbre dans le monde. Elle reste le plus grand prestataire privé de « services de sécurité » du ministère des Affaires étrangères zunien à pratiquer le terrorisme d’État, offrant ainsi au gouvernement la possibilité de nier sa pratique.
De nombreux militaires et anciens officiers de la CIA travaillent pour Blackwater ou des entreprises assimilées ou créées pour détourner l’attention de leur mauvaise réputation et rendre plus lucrative la vente à d’autres gouvernements, banques et compagnies multinationales de leurs infâmes services, allant de l’information et du renseignement à l’infiltration, en passant par le lobbying politique et la formation paramilitaire. Selon Scahill, les affaires avec les multinationales comme Monsanto et Chevron, et des géants de la Finance tels que Barclays et Deutsche Bank, sont conduites par deux sociétés appartenant à Erik Prince, le propriétaire de Blackwater : Total Intelligence Solutions et Terrorism Research Center. Leurs fonctionnaires et administrateurs ont en commun Blackwater.
L’un d’eux, Cofer Black, l’un des directeurs de la CIA connu pour sa brutalité, est celui qui, en tant que directeur de Total Intelligence, a pris contact avec Monsanto en 2008 pour conclure un contrat avec la compagnie pour espionner et infiltrer les organisations de militants des droits des animaux et des anti-OGM, et accomplir les autres sales boulots du géant de la biotechnologie.
A noter que la Fondation Bill et Melinda Gates a acheté 500.000 actions de Monsanto, pour plus de 23 millions de dollars.
On est en train de mettre en place depuis l’automne 2012 en Alaska, une installation de stockage alimentaire, de produits de première nécessité à grande échelle ainsi que des unités de purification d’eau et générateurs dans 2 villes possédant des bases militaires sur Anchorage et Fairbanks en vue d’une éruption volcanique importante ou d’un énorme tremblement de terre:
http://www.businessweek.com/ap/2012-08-29/remote-alaska-to-stockpile-food-just-in-case
Sur l’île du Spitzberg, dans l’archipel du Svalbard, à 1 000 kilomètres du pôle Nord, un coffre-fort abrite plus de 600 000 échantillons de graines et de semences.
À terme, 4,5 millions d’échantillons seront entreposés.
Le Svalbard Global Seed Vault (Chambre forte mondiale de graines du Svalbard) est une chambre forte souterraine sur l’île norvégienne du Spitzberg destinée à conserver dans un lieu sécurisé des graines de toutes les cultures vivrières de la planète et ainsi de préserver la diversité génétique en cas de grand malheur… Elle a été inaugurée en 2006.
Cette Chambre forte est gérée par un accord tripartite entre le gouvernement norvégien, l’organisation internationale Global Crop Diversity Trust et la banque génétique nordique (une coopération des États scandinaves sous l’autorité du Conseil des ministres nordiques).
La Chambre forte a reçu une récolte exceptionnelle en mars 2011, créant un bond en avant dans les efforts de préservation des plants en culture dans le monde.
Le scandale, les paysans n’ont plus aucun droit sur les semences. Elles ont été privatisées par les industriels. Mais chaque pays peut y stocker ses graines. elles lui appartiennent. Donc un pays peut les vendre à un autre.
https://www.laminutedericardo.com/LMDR/urgent-ce-laboratoire-paysan-qui-fait-peur/
L’université d’Etat de Moscou vient de se voir remettre la seconde subvention publique la plus importante de tous les temps : 194 millions de dollars, pour recueillir l’ADN de tous les êtres vivants et les conserver dans une banque de données unique en son genre, une « arche » de 430 km2 qui trouvera place sur le campus de l’université. Les matériaux cellulaires y seront conservés par cryogénisation, et devront pouvoir servir à la reproduction ; l’« arche » conservera aussi des systèmes d’information.
http://rt.com/news/217747-noah-ark-russia-biological/
Ailleurs on prélève de plus en plus l’ADN des gens. Par exemple sur les talons des bébés pendant leur séjour à l’hôpital ! Des millions de nouveau-nés ont eu leur ADN stocké par les hôpitaux sans le consentement approprié de leurs parents (Angleterre) :
http://www.telegraph.co.uk/health/7756320/DNA-database-created-from-babies-blood-samples.html
Ici avec les bébés australiens :
http://www.abc.net.au/catalyst/stories/s867619.htm
Aux Etats-Unis, 98% des 4,3 millions de bébés nés chaque année, ont un petit échantillon de sang prélevé sur leurs talons. « Ce dépistage néonatal » est censé prévenir contre des maladies futures.
http://jonrappoport.wordpress.com/2013/02/27/explosive-report-98-of-newborn-babies-are-genetically-screened/
Pourquoi donc alors en prélever sur des détenus aux USA ?
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2005/09/23/AR2005092301665.html
Tout cela ne risque-t-il pas de servir à mettre en place un programme eugénique ? Ou de créer des créatures hybrides homme-animal ?
http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2017818/Embryos-involving-genes-animals-mixed-humans-produced-secretively-past-years.html#ixzz1SuPdxzeh
http://www.douglashamp.com/how-the-mark-of-the-beast-will-rewrite-the-human-genome-part-three-corrupting-the-image/
D’autre part, on continue à fabriquer des sortes de bunkers de luxe :
http://www.terravivos.com/
Et des entrepôts géants de réserve de nourriture comme en Alaska :
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2012/08/des-entrepots-geants-dentreposage-de.html
Pour les espèces en danger, il existe à Nottingham (Royaume-Uni), la Frozen Ark ! Elle sauvegarde l’ADN et les cellules des espèces en danger avant que celles-ci ne disparaissent alors que la Terre subit actuellement sa sixième extinction de masse en raison du changement climatique, selon les scientifiques.
Lancé il y a un peu plus de dix ans par un couple de scientifiques britanniques, Bryan Clarke, décédé en 2014, et sa femme Ann, le réseau Frozen Ark compte aujourd’hui 22 partenaires (des zoos, des centres de recherche, des universités) à travers le monde, qui ont recueilli un total de 48.000 échantillons appartenant à quelque 5.500 espèces.
http://www.la-croix.com/Ethique/Sciences-Ethique/Sciences/Une-arche-de-Noe-moderne-recueille-le-patrimoine-genetique-de-la-faune-menacee-2015-11-19-1382305
Le dernier de ces « zoos de glace » vient de naître dans le désert Al Wusta du sultanat d’Oman :
https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/des-cryobanques-de-genes-pour-sauver-la-biodiversite-1897009
Un second « bunker de l’apocalypse » a été construit en Norvège pour protéger les données de la planète. Concrètement, tous les types de documents qui représentent un pan de la mémoire de l’humanité pourront être transmis au « Artic World Archive ».
http://mashable.france24.com/monde/20170404-bunker-apocalypse-norvege-donnees-terre
Reste que la fonte des glaces peut créer des inondations dans les arches même :
http://www.zerohedge.com/news/2017-05-20/arctic-doomsday-seed-vault-save-world-has-flooded-thanks-global-warming
Le nucléaire fait peur ! Mettre en lieu sûr un stock de graines n’est pas une mauvaise idée !
Actuellement il est étonnant de voir le nombre centrales nucléaires abandonnées ! En Bretagne il y a celle de Brennelis :


Après six ans de retard sur le calendrier initial et un budget triplé à plus de 10 milliards d’euros, EDF ne sait pas encore quand l’EPR en construction à Flamanville (Manche) sera mis en service :
Dans le monde, quelque 90 projets ont déjà été abandonnés, dont 22 plus de dix ans après le lancement des travaux.
Ici celle de Lemoiz dans le nord de l’Espagne, commencée en 1972, puis le 5 février 1981, l’ETA enlèva l’ingénieur en chef de la centrale, José María Ryan, âgé de 38 ans, marié et père de cinq enfants. Le 6 février l’ingénieur est découvert assassiné par ses ravisseurs. Avant de l’exécuter, ETA avait exigé la destruction de la centrale. L’ETA tuera quatre autres personnes par la suite.
A Cuba en 1982, des travaux pour la centrale nucléaire de Juragua, au bord de la mer des Caraïbes, à l’entrée de la baie de Cienfuegos, commencèrent. Dix ans plus tard, tout est arrêté, paralysé par l’implosion du pays qui développait ce projet, l’Union soviétique.
En 1982, en ex-RDA, à quelques kilomètres de Stendal, un projet était ambitieux : construire quatre réacteurs de 1 000 MW de conception soviétique, pour faire du site l’une des plus grandes centrales nucléaire d’Europe centrale et orientale. L’accident de Tchernobyl en 1986 fit naître des inquiétudes sur l’utilisation de la technologie russe. Avec la réunification allemande, le projet est abandonné au tournant des années 90.
Au Brésil, la centrale d’Angra fait tourner les deux seuls réacteurs nucléaires du pays. Dès 1984, des travaux ont démarré pour construire un troisième réacteur de forte puissance, mais le projet est vite gelé, sur fond de problèmes financiers et environnementaux. En 2013, Areva signe avec Eletronuclear le contrat que tout le monde avait oublié : 1,2 milliard d’euros pour assurer l’ingénierie et le pilotage de la centrale. Moins de deux ans plus tard, Areva se met en retrait, pour cause de « retard dans le financement ». En 2015, le scandale Petrobras éclabousse Eletronuclear. Fraude, corruption, favoritisme dans l’attribution de marchés de construction d’Angra 3 : le président d’Eletronuclear est condamné à 43 ans de prison. La mise en service d’Angra 3 est affichée pour 2022.
En Autriche en 1971, les travaux de la centrale de Zwentendorf commencent. La construction du réacteur à eau bouillante de 700 MW était totalement achevée quand le pays, sur fond d’opposition citoyenne et de calculs politiques, organise fin 1978 un référendum sur le nucléaire civil. Le « nein » l’emporte à une courte majorité (50,5%), scellant le destin de l’unique centrale du pays.
Aux USA, celle de Summer débute en 2013. Août 2017, Jeffrey B. Archie, senior vice-président de l’électricien américain SCE & G, écrit à la NRC, l’autorité de sûreté nucléaire : « L’objet de cette lettre est de notifier formellement à la NRC qu’au 31 juillet 2017, South Carolina Electric & Gas Company a stoppé les activités de construction des unités 2 et 3 de la centrale nucléaire de V. C. Summer. » L’ex-fleuron nucléaire était en faillite, fragilisé par des acquisitions hasardeuses et incapable de construire ses nouveaux réacteurs « on time and budget ». Neuf milliards de dollars ont été dépensés.
L’homme qui tente et réussit la permaculture au Pôle Nord :
https://wikiagri.fr/articles/lhomme-qui-tente-et-reussit-la-permaculture-au-p%C3%B4le-nord/20538
Dans la petite ville de Longyearbyen, des passionnés réussissent à cultiver des légumes…
L’ancienne mine de charbon de Longyearbyen, en Norvège, où 21 To de données GitHub seront stockées pendant plus de 1000 ans :

21 téraoctets de données open-source se trouvent maintenant sous le pergélisol norvégien pour être protégés et préservés. En cas d’apocalypse, les générations futures pourront alors les extraire pour les consulter.
En novembre 2019, l’entreprise GitHub Universe, spécialisée dans l’hébergement de code-source, présentait son programme Artic Code Vault. L’idée : préserver des logiciels open source pour les générations futures.
Dès lors, GitHub a listé tous les référentiels publics actifs sur sa plateforme à archiver dans le coffre-fort. Parmi eux figurent notamment des plans codés utilisés pour créer toutes sortes de technologies, des systèmes d’exploitation fondamentaux aux programmes d’apprentissage automatique complexes. Le coffre-fort contient aussi un certain nombre de dépôts de données des Archives nationales du Mexique et du Brésil, de la Bibliothèque du Vatican, du Musée national de Norvège, de l’Agence spatiale européenne, et d’un certain nombre d’autres organisations.

https://aphadolie.com/2020/08/05/en-cas-dapocalypse-21-teraoctets-de-donnees-ont-ete-mis-a-labri-en-arctique/