L’effarante histoire du sionisme

.La première guerre mondiale de 14-18,  fut menée d’un coté par la Grande Bretagne, la France et la Russie, et de l’autre coté par l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie.

En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait remportée la guerre. Les sous marins allemands, qui furent une totale surprise, occasionnèrent de gros dégâts côté adverse. La Grande Bretagne se trouva sans munitions et sans ravitaillement pour ses soldats.  Au même moment l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’âge dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté, minée par les années de propagande anti tsariste. Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande. Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix honorable,  appelée par les juristes un ’’STATUS QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons aux conditions d’avant la guerre.»

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En 1916, l’Angleterre considéra sérieusement cette proposition afin d’éviter d’aller vers une défaite certaine. Tandis que cela ce discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British War Cabinet. Ils dirent : « Ecoutez nous, vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos cotés en tant qu’alliée…Nous vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne, si vous nous promettez la Palestine après la victoire ». En Octobre 1916, l’Angleterre accepta la proposition. Et on vit en très peu de temps, une Amérique pro-allemande devenir tout à coup vindicative à son égard. Les médias de l’époque, étaient pour la plupart, contrôlés par des financiers juifs, souvent d’origine  allemande ou russe, mais qui étaient contre le tsar, et ses alliés.  Aussi avaient-ils commencé à financer les Allemands. Mais devant la possibilité de s’accaparer de la Palestine, ils réussirent à faire en sorte que le président américain Wilson déclare la guerre à l’Allemagne. Il n’y avait aucune raison pour que l’Amérique soit mêlée à cette guerre et envoie ses soldats se faire tuer. Pourtant elle se laissa entrainer dans cette arnaque, tendue par le sionisme international, comme elle se laissa avoir en abandonnant quelques temps avant, sa banque centrale publique, au profit d’un conglomérat de banques privées essentiellement sionistes.

La fameuse ’’Déclaration Balfour’’ (courte lettre adressée à Lord Rothschild par le ministre britannique des Affaires étrangères, A.J. Balfour, envisageant « favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer National pour le peuple juif ») représentait la promesse anglaise faite aux sionistes de leur accorder la Palestine en échange de l’aide des USA.  L’Allemagne fut ainsi écrasée ; elle dut signer l’armistice  à la fameuse conférence de paix de 1919 à Versailles, entourée de 119 juifs représentant le sionisme international et avec à leur tête Bernard Baruch. Durant cette conférence où l’Allemagne fut découpée et l’Europe divisée, les sionistes réclamèrent leur part du gâteau: « Ne vous nous aviez pas promis la Palestine ? » C’est alors qu’ils produisirent leur preuve, révélant pour la première fois la déclaration Balfour devant des yeux allemands ébahis. C’est seulement à ce moment précis que les Allemands comprirent la cause des terribles conséquences et des réparations de guerre qu’on leur affligea.

ruines de la guerre gif.gif

Tous leurs malheurs venaient du fait que ces sionistes, pourtant souvent d’origine allemande,  voulaient la Palestine et étaient prêts à tout pour l’avoir !

Ces juifs avaient pourtant été bien reçus par les Allemands après leur exode de Russie. . Il y avait Mr Rathenau dans l’industrie et la finance, Mr Balin qui possédait les deux plus grandes lignes maritimes, la North German Lloyds et la Hamburg-American ; Mr Bleichroder qui était devenu le banquier de la dynastie impériale des Hohenzollern. Les Warburg à Hambourg qui étaient des grandes banques du négoce, peut être les plus importantes au monde. Sans aucun doute on pouvait  affirmer que les juifs avaient été comme chez eux en Allemagne ! Les Allemands ne digérèrent pas cette trahison.  Eux qui avaient été si généreux avec les juifs depuis 1905, date qui vit la première révolution communiste en Russie, tourner au désastre, et les juifs  fuir ce pays, pour trouver refuge dans une Allemagne qui les avait accueillis à bras ouverts… Pour les Allemands, ces juifs étaient donc les véritables responsables de la défaite. Et pour seule  raison, la Palestine !

Toutefois, aucun juif ne fut agressé. Il existait bien des camps de prisonniers politiques. Mais ces camps étaient remplis de communistes, dont la grande majorité s’avérait être juifs. Tout simplement du fait qu’en cette période, pas seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe, les communistes se trouvaient être composés à 98% de juifs. On y trouvait aussi quelques prêtres,  chefs syndicalistes, francs-maçons et autres affiliations internationales. Il ne faut pas oublier qu’entre 1918 et 1919, les communistes avaient réussis à prendre le contrôle de la Bavière durant un courte période : Rosa Luxembourg avec Karl Liebknecht à la tête d’un groupe d’autres juifs, gouvernèrent trois jours. En fait, à la fin de la guerre, le Kaiser s’était enfui en Hollande, tout simplement parce qu’il craignait que les communistes s’emparent de l’Allemagne comme ils l’avaient fait en Russie et qu’il lui serait réservé le même sort que le Tsar. Il prit donc la fuite par mesure de sécurité. Mais après que la menace communiste eut été balayée du sol allemand, les juifs étaient encore très actifs, essayant de recouvrer leur statut. Les allemands les combattirent en une lutte générale ; sans pour autant que ce soit physique. En ce temps là,  il y avait autour de 90 millions d’allemands pour seulement 460 000 juifs. N’empêche qu’ils contrôlaient tous les médias et les principaux rouages de l’économie. Ils étaient venus en Allemagne après la guerre avec beaucoup d’argent, et avaient profité de la dévaluation drastique du Mark pour tout acheter pour une bouchée de pain.

En juillet 1933, une conférence du sionisme international fut organisée à Amsterdam. Les juifs du monde entier y participèrent. Ils s’adressèrent à l’Allemagne en des termes impératifs : à savoir qu’ils la sommaient de limoger Hitler et de faire réintégrer tous les juifs dans leur fonction, eussent ils été communistes ou non. En aucun cas les sionistes ne permettraient aux allemands de les traiter de la sorte ; et en toute chose qu’il fallait considérer cet avertissement comme un ultimatum. On imagine aisément ce que fut la réponse des allemands. Mais c’est la réaction juive qui allait être des plus étonnantes. En 1933, quand l’Allemagne refusa de se plier aux exigences sionistes à la conférence d’Amsterdam qui se clôturera sans avoir entamé la résilience allemande, le président de cette conférence et chef de la délégation américaine, Samuel Untermeyer,  la quitta aussitôt pour retourner aux USA.  Du bateau, il transmit par le biais des studios de la CBS (Columbia Broadcasting System) un discours qui passa sur tout le territoire américain et fut publié le 7 Aout 1933 dans le New York Times : « le sionisme international maintenant appelle à la guerre sainte contre l’Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans une bataille sacrée contre les allemands. Nous allons les forcer à se rendre. Nous allons exercer un boycott international contre eux qui les détruira du fait qu’ils dépendent exclusivement de leurs exportations…. Ce boycott économique est notre moyen d’auto défense ; le président Roosevelt l’a soutenu dans le programme de l’administration de reprise nationale. »


C’est un fait que  2/3 des besoins alimentaire allemands devaient être importés. Ils devaient donc beaucoup exporter pour se les payer. . Sans çà,  l’Allemagne allait mourir de faim. Mais aux USA,  quiconque ne respectait pas les lois du New Deal se voyait aussi boycotté,  même si ces lois  furent déclarées inconstitutionnelles par la cour suprême américaine. Les juifs de par le monde déclarèrent donc un boycott contre l’Allemagne qui fut tellement efficace qu’il ne fut plus possible de trouver dans un  magasin un produit ’’ MADE IN GERMANY’’. Un représentant de la Woolworth Company rapporta qu’ils avaient du jeter des millions de Dollar en vaisselle dans la rivière ; parce que leurs magasins auraient été boycottés si quiconque avait trouvé des assiettes portant la mention ’’ MADE IN GERMANY’’. Ils auraient tout simplement subi des manifestations avec des slogans « Hitler assassin » .

Notre dernier espoir !

Au début, les Allemands ne surent comment réagir contre ceux qui les soumettaient à un boycott qui entraînait  tous les salariés au chômage. Ce fut  un total désarroi. Ils se mirent à dessiner des swastikas (croix gammée) sur les murs des magasins juifs. Car pourquoi diable un allemand irait donner son argent à un commerçant faisant partie d’un blocus international poussant l’Allemagne à la famine ? Se demandèrent-ils. Le boycott dura un certain temps ; mais en 1938, quand un jeune juif polonais fit irruption dans l’ambassade allemande à Paris pour tirer sur un diplomate allemand, le tuant de sang froid, les allemands devinrent alors réellement durs avec les juifs.  Quelques uns de leurs magasins furent alors attaqués.
Une confrontation devenait  inéluctable. Entre temps, il existait un autre danger oppressant !  L’Europe allait-elle rester  chrétienne, ou alors tomber dans le communisme ? Les allemands optèrent pour la première solution. Ils mirent en place un vaste programme de réarmement. C’est en novembre 1933, que les Américains reconnurent officiellement l’Union Soviétique.  Celle-ci commençait à devenir très puissante. L’Allemagne logiquement effrayée, se réarma donc, appréhendant une éventuelle confrontation avec elle, pour ne pas tomber dans le communisme.  Le nazisme servit ainsi de contrepoids contre le bolchevisme russe. Mais Hitler devint un problème quand il s’est mis à agir dans l’intérêt du peuple allemand et des peuples libres du monde en développant son propre système bancaire. Il avait créé un système financier libre de taux usuraires. Cela le clan Rothschild sioniste ne pouvait l’accepter. Mais qui était au pouvoir en URSS sinon une petite équipe de 4 000 juifs ! Alexandre Soljenitsyne fut un grand témoin de cette époque !

Soljenitsyne

Henri Ford avait compris lui aussi qui était à l’origine de la 1ère guerre mondiale. D’où son soutien dès le début à Hitler, d’autant plus que les filiales de General Motor et de Ford détenaient plus de 70% du marché automobile allemand à son arrivée au pouvoir. Lorsque Ford construisit son empire automobile, il s’était aperçu qu’un groupe de mystérieux manipulateurs essayait de lui voler son entreprise. Un groupe de détectives qu’il avait engagé découvrit qu’il s’agissait d’une clique de juifs. Dans son journal, le ‘Dearborn Independent’, il compara le projet juif de son époque aux ‘Protocoles des Sages de Sion’. Pour lui, leur but était bien de réduire le monde en esclavage.

ford

Pas étonnant que Ford ait accepté  de recevoir en 1938, la plus haute décoration civile du IIIe Reich !

L’histoire nous a démontré que les sionistes étaient capables de tout pour garder la Palestine en tant que tremplin de domination du monde.  On les a vus agir auprès du président Wilson avec la mise en place en 1913 de la Fed et de la taxe sur le revenu, pour payer les intérêts de la monnaie créée. Anthony C. SuttonLe professeur Antony Cyril Sutton explique dans son livre ‘Federal Reserve Conspiracy‘ comment cette institution privée est contrôlée par des banquiers afin de s’arroger le droit exclusif de battre monnaie aux États-Unis. Une telle organisation ne peut qu’être un danger pour une nation qui se voudrait démocratique et un peuple qui se croirait souverain. En France, cela commença à se mettre en place avec l’aide de l’ancien directeur de la banque Rothschild, un dénommé Pompidou.

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Mais ce qui est le plus remarquable, c’est que ces juifs d’Europe de l’est ne sont en fait à l’origine que des Khazars.  C’était une tribu belliqueuse vivant aux confins du territoire asiatique. Un peuple si hostile que même les asiatiques les chassèrent hors d’Asie vers l’Europe de l’Est, où ils établirent un grand royaume Khazar de plus de 1 300 000 kilomètre carré. En ce temps là, la Russie n’existait même pas ; pas plus d’ailleurs que la plupart des pays d’Europe. Le royaume Khazar était le plus grand pays d’Europe ; si grand et si puissant que les autres monarchies voulant entreprendre une guerre s’appuyaient sur les Khazars qui pouvaient leurs louer une armée de soldats.  Ils exerçaient un culte phallique aussi immonde et répugnant qu’à la fin ils résolurent d’adopter une religion plus convenable.  Leurs choix se portèrent sur le judaïsme.

Pumbedita

Ils envoyèrent des gens se former aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura pour ensuite ouvrir des synagogues et des écoles. Le peuple khazar devint ainsi juif sans être pour autant sémite.  Aucuns d’eux n’avaient d’ancêtres en Palestine. Mais cela ne les a pas empêché de demander aux peuples chrétiens de supporter une invasion armée en Palestine en prétendant : ’Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur foyer ancestral, n’est ce pas ? C’est votre devoir de chrétien. Nous vous avons donné un de nos enfants comme votre Dieu et Seigneur ; vous allez à l’église tous les Dimanches et vous vous agenouillez pour adorer un juif et nous sommes juifs’’. Ces Khazars, ces asiatiques, ces turcos finnois étaient une race à la base mongoloïde qui fut chassés d’Asie vers l’Europe de l’Est. CrucifixionCombien était-il  donc ridicule de voir les grandes nations chrétiennes du monde affirmer : « Nous nous engageons à utiliser notre pouvoir et notre prestige afin de rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur ancestral foyer. » Car Jésus-Christ, qui devait naître de la lignée d’Abraham, d’Isaac et de Jacob est la raison ultime pour laquelle Dieu a choisi Israël comme son peuple élu ! Mais qu’en a-t-il fait ? Il l’a crucifié !

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Leurs mensonges continuent à sévir, pour la simple raison qu’ils détiennent toujours les médias d’occident, les banques et une partie des partis politiques.  Il est bon de connaître ce que font les juifs le jour du « grand pardon » : Ils entrent dans une synagogue, puis ils se tiennent debout pour répéter trois fois une courte prière appelée ’’Kol Nidre’’.

Kol Nidre

Kol Nidrei, prière pour le jour des expiations d’après le tableau de Maurycy (Moshe) Minkowski.

Dans cette prière, ils lient un pacte avec leur Dieu tout puissant ; où, quelque soit le serment, l’agrément, ou bien l’accord qui se ferait dans les douze mois à venir,  se verrait être nul, sans effet, caduc, et ne sera en aucune condition honoré. Le serment n’a pas lieu d’être respecté ; l’accord ne sera pas suivi ; la parole donnée ne sera en aucune mesure tenue. Tout engagement n’aura ni effet ni force. Par ailleurs le Talmud stipule que, quelle que soit la parole d’honneur donnée, ou bien l’accord entrepris, on doit se rappeler le ’’Kol Nidre’’, la prière récitée le jour du grand pardon. Ainsi, automatiquement celui qui la récite se verra totalement absout de toute conséquence et sera de ce fait déchargé de toute obligation de respecter sa parole.

Difficile après çà de croire en leur loyauté ! De plus, n’ont-ils pas créé un réseau dans le monde entier, qui collabore avec le Mossad ? Ces juifs de la diaspora, se nomment les « Sayanim » , c’est-à-dire les informateurs en hébreu. D’après Jacob Cohen, ils seraient dans les 3.000 en France et se recruteraient au sein du Bnaï Brit (une franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales comme le CRIF.  Un livre est paru sur ce sujet : « Le printemps des Sayanim » aux éditions l’Harmattan.

http://jacobdemeknes.blogspot.com/

http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-le-printemps-des-sayanim-recit-de-jacob-cohen-50005415.html

C’est ainsi que de nombreux attentats ont pour origine le Mossad, mais exécutés avec l’aide des Sayanim, ils sont bien plus difficiles à détecter. Les attentats de Buenos-Aires par exemple :

https://www.voltairenet.org/article141896.html

benjamin-freedman-hotel-willard

Pour plus d’informations sur le sionisme, on se doit d’écouter le discours de Freedman (1890-1984) en 1961, à l’hôtel Willard de Washington DC.

-https://www.dailymotion.com/video/xiphun

https://www.dailymotion.com/video/xipiaa

Renan

.Il confirme ce que déjà Ernest Renan écrivait dans Le Judaïsme comme race et religion’ en 1883 : « Les conversions massives à l’époque grecque et romaine enlèvent au judaïsme toute signification ethnologique, et coupent tout lien physique (mais non pas spirituel) avec la Palestine… La plupart des Juifs de Gaule ou d’Italie, sont le produit de ces conversions. Quant aux Juifs du bassin du Danube, ou du Sud de la Russie, ils descendent sans doute des Khazars. Ces régions contiennent de nombreuses populations juives qui probablement n’ont rien à voir, du point de vue ethnologique, avec les Juifs d’origine. »

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Eran ElhaïkLe juif Khazar représente en fait à l’heure qu’il est, la plupart des juifs sur terre. Par le biais de l’analyse ADN, un juif peut vite constater qu’il est en fait un « Gentil » et non de la lignée directe d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. C’est principalement le Dr. Eran Elhaik, généticien moléculaire israélien, de l’Institut McKusick-Nathans de l’Université Médicale Johns Hopkins, qui a effectué ce que la plupart appellent l’étude définitive sur les origines des Juifs. La conclusion selon laquelle les gens se réclamant d’être « Juifs » sont des Khazars et n’ont aucune lien d’apparenté à l’ancien Israël, est étayée par de nombreuses années de recherches scientifiques, historiques et archéologiques.Gefilte Fish Il a également été découvert que même des artefacts « juifs » tels que le Gefilte Fish (carpe farcie, plat ashkénaze typique), les chapeaux de fourrure ronds (schtreimel), schtreimelet le symbole de l’étoile à six branches proviennent de Khazarie (repris par la franc-maçonnerie) ! étoile à 6 branchesLe Dr. Dan Graur, un généticien juif de renommée mondiale qui a travaillé à la faculté de l’Université de Tel-Aviv et à l’Université de Houston, a confirmé ces dires. En 2001, les recherches génétiques du Dr. Ariella Oppenheim de l’Université de Tel-Aviv ont produit des résultats similaires. L’étude d’Oppenheim a également trouvé que l’origine des Juifs actuels est en Khazarie, et d’ascendance Turkmène (génome mongol à 40 % et génome turc à 40 % aussi). Elle a également rapporté que certains Palestiniens possèdent par contre les chromosomes dans leur sang qui indiquent qu’ils sont Cohanim et Israélites. https://jeminformetv.com/2022/08/21/la-descendance-juive-des-hebreux-bibliques-est-un-autre-canular/

Pour le Dr. Shlomo Sand, professeur d’histoire à l’Université de Tel-Aviv et auteur du best-seller du New York Times,  ‘Comment le Peuple Juif fut Inventé’ , « l’étude définitive d’Elhaik tombe sous le sens.  Comment un quelconque scientifique peut-il le nier ? »
http://www.texemarrs.com/092013/jews_deny_being_khazars.htm

Martin RichardsMartin Richards, archéogénéticien à l’Université de Huddersfield en Angleterre, constate de son côté que si les Juifs ashkénazes vivent en Europe depuis de nombreux siècles, les résultats d’une étude de 2013 démontrent que la plupart d’entre eux descendent de personnes locales qui ne se sont pas reproduits en dehors de leur communauté. 80% de la lignée maternelle de ces juifs ashkénazes vient d’Europe, alors que du côté paternel, on constate pour moitié une origine orientale. Des hommes juifs du Proche et Moyen Orient ont donc émigré pour épouser une femme d’Europe de l’est. Par contre, aucune ne venait du Caucase du Nord. Comme on est juif par la mère, combien d’entre eux peuvent se dire réellement sémites et réclamer ainsi les terres d’Israël ?
http://www.ancient-origins.net/human-origins-science/ashkenazi-jews-their-origins-may-surprise-you-009924

Nationalités de quelques figures s’étant réclamées de Palestine, tout en fermant les yeux sur le génocide des sémites  arrivés en « terre promise » après guerre !

Ben GourionGolda Meir, née à Kiev (Ukraine) ; Shimon Perez né à Wiśniew (Biélorussie) ; Davis Ben Gourion, né à Plonsk (Pologne) ; Emmanuel Zisman, né en Bulgarie ; Yigael Yadin, né aux USA ; Pinhas Rosen, né en Allemagne ; Aharon Tzizling, né en Biolorussie ; David Remez, né en Russie…

Même les sportifs israéliens viennent d’ailleurs : Aleksander Averbukh, né en Russie ; Donald Sanford, né aux USA ; Niki Palli, né en Moldavie…

A lire aussi :

https://effondrements.wordpress.com/2012/06/06/lintelligentsia-sioniste-responsable-de-la-seconde-et-troisieme-guerre-mondiale/

https://effondrements.wordpress.com/2012/06/26/il-ny-a-pas-de-pires-antisemites-que-les-sionistes/

171 commentaires sur “L’effarante histoire du sionisme

  1. […] Aussi se débarrasser des religieux (Sépharades) c’était se débarrasser des arabes. Les sionistes ne sont pas des sémites alors que les arabes et les juifs sépharades […]

  2. Haïm dit :


    Le livre ‘Rise and Kill First’ : The Secret History of Israel’s Targeted Assassinations, écrit par le chroniqueur militaire israélien Ronen Bergman, est un bestseller des livres vendus par le New York Times. Il raconte comment, dans les années 1979-1982, le gouvernement israélien a créé au Liban une organisation qui a commis de très nombreux attentats terroristes.

    Un agent du Mossad cité dans ce livre témoigne des choses terribles qui ont été faites avec le soutien de Sharon. « J’ai soutenu et même participé à quelques-unes des opérations d’assassinats effectuées par Israël. Mais là nous parlons d’extermination de masse, juste pour tuer et pour semer le chaos et l’effroi chez les civils. »

    De 1979 à 1983, précisément durant la période qui sépare les conférences de Jérusalem et de Washington, Israël fit organiser une campagne à large échelle d’attentats à la voiture piégée qui tua des centaines de Palestiniens et de Libanais, civils pour la plupart. Plus remarquable encore, un des objectifs de cette opération secrète était précisément de pousser l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à recourir au terrorisme pour fournir à Israël la justification d’une invasion du Liban. Dans le New York Times du 23 janvier 2018, Ronen Bergman, chroniqueur du quotidien israélien Yedioth Ahronoth, a décrit comment, le général Rafael Eitan, alors chef d’état-major, lança avec le général Ben-Gal, commandant de la région nord, la mise en place d’un groupe dont le rôle serait de mener des opérations terroristes en territoire libanais. Avec l’accord du général Eitan, le général Ben-Gal recruta le général Meir Dagan (le plus grand expert en opérations spéciales d’Israël et futur chef du Mossad), et tous les trois mirent en place le Front pour la libération du Liban des étrangers [FLLE].

    Ronen Bergman cite le général David Agmon : « Le but était de créer le chaos parmi les Palestiniens et les Syriens au Liban, sans laisser d’empreinte israélienne, pour leur donner l’impression qu’ils étaient constamment sous attaque et leur instiller un sentiment d’insécurité. »

    Ce FLLE a revendiqué des dizaines d’attentats à la voiture piégée ciblant les Palestiniens et leurs alliés libanais. Ces attentats furent largement couverts par la presse américaine de l’époque. Le plus souvent, les journalistes américains décrivirent le FLLE comme un mystérieux ou insaisissable groupe d’extrême droite. Au début, décrit Ronen Bergman, l’opération utilisait surtout des explosifs cachés dans des bidons d’huile ou des boîtes de conserve fabriqués dans un atelier de tôlerie du kibboutz Mahanayim où résidait le général Ben-Gal.

    Le vice-ministre israélien de la Défense, Mordechai Tzippori, fut informé d’une attaque en avril 1980 durant laquelle des femmes et des enfants avaient été tués par l’explosion d’une voiture piégée au Sud-Liban. En juin, une réunion eut lieu dans le bureau du Premier ministre Menahem Begin. Tzippori accusa le général Ben-Gal de mener des actions non autorisées au Liban durant lesquelles des femmes et des enfants avaient été tués. Mais Menahem Begin défendit le général Ben-Gal et mit fin à toute contestation contre l’opération secrète menée par les généraux Eitan, Ben-Gal et Dagan.

    Le 16 juillet 1981, des roquettes palestiniennes Katioucha tuèrent trois civils israéliens dans la bourgade de Kiryat Shmonah. Le jour suivant, les forces aériennes israéliennes ripostèrent par des bombardements massifs ciblant les quartiers généraux de l’OLP au centre de Beyrouth ainsi que plusieurs ponts autour de Sidon, tuant entre 200 et 300 personnes, principalement des civils libanais, et en blessant plus de 800. Le 5 août 1981, Begin choisit Ariel Sharon pour le remplacer comme ministre de la Défense. Ainsi que des historiens et chroniqueurs israéliens comme Zeev Schiff, Ehoud Yaari, Benny Morris, Avi Shlaim ou Zeev Maoz l’ont depuis longtemps démontré, dans les dix mois qui suivirent, Israël s’engagea dans des nombreuses opérations militaires dans l’objectif clair de provoquer les Palestiniens et les conduire à commettre des actes qu’Israël pouvait ensuite présenter comme une attaque terroriste justifiant une offensive majeure au Liban.
    http://www.medias-presse.info/un-journaliste-israelien-devoile-les-attentats-commis-par-israel-au-liban/93622/

    • Lluis dit :

      Actuellement, Israël manipule l’information pour inciter à la haine entre les peuples en encourageant le Grand Remplacement en Europe

      -https://www.youtube.com/watch?v=7z_obhFDckw
      et en incitant des attentats pour mettre les chrétiens contre les musulmans :

      Mais eux en Israël, n’acceptent pas de migrants :

      Publié dans le journal « La Vieille France » du 21 Octobre 1920 N° 195, le ‘Discours sur la tombe’ du grand rabbin Siméon-ben-Jéhouda en 1869 par le Rabbi Reichhorn : « Merci au pouvoir de la terrible puissance de nos banques internationales, nous avons forcé les chrétiens a rentrer dans des guerres sans nombre. Les guerres ont une valeur spéciale pour des juifs, puisque les chrétiens se massacrent et font plus de place à nous les juifs. Les guerres sont la moisson des juifs, les banques juives grossissent grâce aux guerres chrétiennes. Plus de cent millions de chrétiens ont été balayés de la surface de la terre par les guerres, mais ce n’est pas encore la fin. » Selon le journal, l’oraison funèbre et les protocoles des Sages de Sion proviendraient d’une seule et même origine.

      — 1. Tous les cent ans, nous, les Sages d’Israël, nous sommes habitués à nous réunir à Sanhédrin afin d’examiner nos progrès vers la domination du monde que Jéhovah nous a promis et nos conquêtes sur l’ennemi, le christianisme.
      — 2. Cette année, unis sur la tombe de notre révérend Simeon ben-Ihuda, nous pouvons affirmer avec fierté que le siècle dernier nous a rapprochés de notre objectif et que cet objectif sera bientôt atteint.
      — 3. L’or a toujours été et sera toujours le pouvoir irrésistible. Géré par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus utile pour ceux qui le possèdent et l’objet d’envie pour ceux qui ne le possèdent pas. Avec de l’or, nous pouvons acheter la plupart des consciences rebelles nous pouvons fixer le taux de toutes les valeurs, les prix actuels de tous les produits, subventionner tous les emprunts d’État et tenir ainsi les États à notre merci.
      — 4. Déjà les principales banques, les échanges du monde entier, les crédits de tous les gouvernements sont entre nos mains.
      — 5. L’autre grande puissance est LA PRESSE. En répétant sans cesse certaines idées, la presse réussit à les faire accepter comme des vérités. Le théâtre nous rend des services analogues. Partout, la presse et le théâtre obéissent à nos ordres.
      — 6. Par l’éloge incessant de la RÈGLE DÉMOCRATIQUE, nous diviserons les chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous sèmerons la discorde partout. Réduits à l’impuissance, ils se prosterneront devant la LOI DE NOTRE BANQUE, toujours unie et toujours dévouée à notre cause.
      — 7. Nous forcerons les chrétiens dans des guerres en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se massacreront et nettoieront le terrain sur lequel nous pourrons mettre notre peuple.
      — 8. La possession de la terre a toujours eu une influence et un pouvoir. Au nom de la justice sociale et de l’égalité, nous allons diviser les grandes propriétés ; nous donnerons les fragments aux paysans qui les convoitent de toutes leurs forces et qui bientôt vont nous être redevables par le coût de les exploiter. Notre capital fera de nous leurs maîtres. Nous deviendrons à notre tour les grands propriétaires, et la possession de la terre nous assurera le pouvoir.
      — 9. Essayons de remplacer la circulation de l’or par du papier-monnaie ; nos coffres absorberont l’or, et nous réglerons la valeur du papier qui nous rendra maîtres de toutes les positions.
      — 10. Nous comptons parmi nous beaucoup d’orateurs capables de feindre l’enthousiasme et de persuader les foules. Nous les répandrons parmi le peuple pour annoncer les changements qui assureraient le bonheur du genre humain. Par l’or et par la flatterie, nous gagnerons le prolétariat qui se chargera d’annihiler le capitalisme chrétien. Nous promettrons aux ouvriers un salaire qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous augmenterons également le prix des produits de première nécessité afin que nos profits soient encore plus importants.
      — 11. De cette manière, nous préparerons les révolutions que les chrétiens feront eux-mêmes et dont nous récolterons les fruits.
      — 12. Par nos moqueries et nos attaques contre eux, nous rendrons leurs prêtres ridicules, puis odieux, et leur religion aussi ridicule et odieuse que leur clergé. Nous serons alors maîtres de leur âme. Pour notre pieux attachement à notre propre religion, à notre propre culte, prouvera la supériorité de notre religion et la supériorité de nos âmes.
      — 13. Nous avons établi nos propres hommes à tous les postes importants. Nous devons nous efforcer de doter les Goyim d’avocats et de médecins ; les avocats sont au courant de tous les intérêts; les médecins, une fois à la maison, deviennent confesseurs et directeurs de conscience.
      — 14. Mais surtout, monopolisons l’éducation. Par ce moyen, nous diffusons des idées qui nous sont utiles et façonnons le cerveau des enfants comme il nous convient.
      — 15. Si l’un de nos membres devait malheureusement tomber entre les mains de la justice parmi les chrétiens, nous devons nous dépêcher de l’aider; trouver autant de témoins qu’il le faut pour le sauver de ses juges, jusqu’à ce que nous devenions nous-mêmes juges.
      — 16. Les monarques du monde chrétien, gonflés d’ambition et de vanité, s’entourent de luxe et de nombreuses armées. Nous leur fournirons tout l’argent que leur folie exige, et nous les tiendrons ainsi en laisse.
      — 17. Veillons à ne pas entraver le mariage de nos hommes avec des chrétiennes, car grâce à elles, nous mettrons notre pied dans les cercles les plus fermés. Si nos filles épousent des Goyim, elles ne seront pas moins utiles, car les enfants d’une mère juive sont des nôtres. Encourageons l’idée de l’amour libre, afin que nous puissions détruire chez les femmes chrétiennes l’attachement aux principes et aux pratiques de leur religion.
      — 18. Depuis des siècles, les fils d’Israël méprisés et persécutés s’emploient à s’ouvrir la voie du pouvoir. Ils vont droit au but. Ils contrôlent la vie économique des maudits chrétiens ; leur influence est prépondérante sur la politique et sur les mœurs. .
      — 19. À l’heure souhaitée, fixée à l’avance, nous lancerons la Révolution qui, en ruinant toutes les classes du christianisme, asservira définitivement le chrétien à nous. Ainsi sera accomplie la promesse de Dieu faite à son peuple.
      https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-carnavalet/oeuvres/leur-plan-en-1869-a-prague-le-rabbin-reichhornprononca-une-oraison-sur-la#infos-principales
      https://numidia-liberum.blogspot.com/2018/10/le-discours-du-rabbin-reichhorn.html
      http://truedemocracy.net/hj32/28.html

      Il faut dire que les juifs ont une conception raciste particulière . Comme le rappela le Rabbin Joel Kahn en 1989 :

      « L’écart qui sépare le peuple juif de l’ensemble de l’espèce humaine, n’est pas moindre que l’écart entre l’être humain et l’animal »

      Cela rejoint les pensées du plus grand philosophe juif de l’histoire, Moïse Maïmonide. Dans un passage essentiel de la fin du Guide (livre III, chapitre 51) il examinait la prédisposition des différentes familles humaines à s’élever à la valeur religieuse suprême et au vrai culte de Dieu. « Parmi les groupes incapables, ne serait-ce que de s’en approcher, figurent une partie des Turcs (les Mongols) et les nomades du nord, les Noirs et les nomades du sud, et ceux qui leur ressemblent sous nos climats. Leur nature est semblable à celle des animaux muets, et selon mon opinion, ils n’atteignent pas au rang d’êtres humains. Parmi les choses existantes, ils sont inférieurs à l’homme mais supérieurs au singe car ils possèdent dans une plus grande mesure que le singe, l’image et la ressemblance de l’homme. »
      Ce qui peut expliquer certaines réactions juives :

      mais aussi d’un Jacques Attali pour qui « un être humain est un juif » :

      Il disait aussi que « mon temps historique est l’histoire du peuple juif, pas celui du peuple français. »

      « Mon temps historique est l’histoire du peuple juif, pas celui du Peuple Français. » Jacques Attali.


      Ce que certains juifs pensent des goyim :
      https://odysee.com/@SanctuaireDeVid%C3%A9os:8/David-Duke—Ce-que-les-J-pensent-de-vous:d?src=embed

      Esdras 2,13 : « Dans la liste des Juifs qui revinrent en Palestine après l’Exil, il y a les fils
      d’Adinicâm, au nombre de 666 hommes »
      .

      Selon le dictionnaire encyclopédique de la bible d’Augustin Calmet, Adonicam revint de Babylone avec six cents hommes de sa famille. [en fait ce n’est pas Adonicam qui revint de la captivité ; ce furent les descendants de ce chef de famille qui revinrent dans leur patrie au nombre de six cent-soixante-six ou sept (Esdras 2.13 ; Néhémie 7.18)]. Esdras, ou Ezra, est un personnage du livre d’Esdras et du livre de Néhémie, qui font partie de la Bible hébraïque. Il est issu de la tribu de Lévi et descend d’Aaron. Ce prêtre et scribe juif a mené environ 5 000 exilés Judéens de Babylone à Jérusalem en 459 av. J.-C.


      A ce sujet, le magazine israélien Jerusalem Report s’est séparé le 26 juillet 2018 d’un caricaturiste qui avait représenté en porcs le Premier ministre Benjamin Netanyahu et des députés célébrant le vote d’une loi controversée sur l’ »Etat-nation juif » (pourquoi donc un état est dit juif ?). Le dessin était accompagné de la citation «Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres», extrait du livre ‘La ferme des animaux’ de George Orwell, qui raconte la révolte des animaux contre les hommes.
      http://www.sudinfo.be/id66865/article/2018-07-26/israel-un-caricaturiste-licencie-apres-avoir-dessine-netanyahu-en-porc


      On comprend mieux vu sous cet angle pourquoi le ministre israélien de l’Éducation, le rabbin Rafi Peretz, a affirmé le 1er juillet 2019 que « le taux de mariages mixtes chez les Juifs américains était comme une seconde Shoah ! » Ancien grand-rabbin de l’armée israélienne, il est le dirigeant du bloc de l’Union des partis de droite.
      https://fr.timesofisrael.com/rafi-peretz-les-mariages-mixtes-des-juifs-americains-une-nouvelle-shoah/

      La censure sioniste est très importante en occident. En France par exemple, il suffit de voir comment elle intervient avec une écrivain tel que Marion Sigaut :

      Mais elle est nécessaire car sans cette censure comment manipuler les peuples lors d’attentats false flag ? D’ailleurs que disait déjà Raymond Barre

      « le lobby juif est capable de monter des opérations qui sont indignes. » (à partir de 3 mn10) :

      « Israël, peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur. »
      (Charles De Gaulle, conférence de presse, novembre 1967)

      « Notre sympathie pour les Juifs est indiscutable, mais faudrait-il encore que certains ne se sentent pas plus israéliens que français. Leurs prises de position en faveur de l’État d’Israël sont inadmissibles. »
      (Charles De Gaulle : entretien avec le rabbin Kaplan, janvier 1968)

      « Vous reconnaissez là l’influence puissante et nocive du lobby juif en France… »
      (François Mitterrand : entretien avec Jean d’Ormesson, 1993)

      L’essayiste d’extrême droite Alain Bonnet dit Soral a été condamné le 18 septembre 2020 à 90 jours-amendes de 60 euros (5 400 euros) avec possibilité de prison en cas de non-paiement, notamment pour avoir imputé aux juifs l’incendie de Notre-Dame de Paris, les 17 et 18 avril 2019, sur le site Egalité et Réconciliation
      https://www.nouvelobs.com/justice/20200918.OBS33507/alain-soral-condamne-apres-avoir-impute-aux-juifs-l-incendie-de-notre-dame.html
      Dieudonné eut le droit à de la prison ainsi que le physicien français François Roby qui a le malheur de défendre la cause palestinienne :

      https://aitia.fr/erd/
      Et l’écrivain Hervé Ryssen :
      https://lbry.tv/@Ryssen:d/Lecrivain-Herve-Ryssen-emprisonne—-faceala-censure-soutenir-ou-perir-xJKhVymr1Q4:7

      Le Shah d’Iran, Mohammad Reza Pahlavi, ne disait-il pas que « Le lobby juif aux États-Unis est trop puissant. Ils contrôlent les médias, la finance, les banques… »
      https://t.me/HocineLeDZ/8868

      • Manfred dit :


        Le massacre commis le 15 mars 2019 dans deux mosquées de Christchurch par un ressortissant australien de 28 ans, Brenton Harrison Tarrant, fut terrible (une cinquantaine de morts) et curieux. Parmi les victimes, 19 Palestiniens, 5 Tunisiens, 5 Bengalies , 4 Marocains , 3 Yéménites , deux Jordaniens et deux Irakiens, un Syrien, un Iranien, un Afghan et un Saoudien). Cet individu, dit-on non connu par les services de renseignement du pays, avait pourtant été en Israël (octobre 2016), au Pakistan, en Turquie et dans les Balkans, notamment en Bulgarie du 9 au 15 novembre 2018 : Des zones géographiques particulièrement sensibles où les tentatives de réactiver les « plaques tectonique ethnique » se multiplient. On se rappelle en effet comment l’ex-Yougoslavie a éclaté en mille morceaux à la faveur d’un plan bien rodé des Américains et de l’OTAN dans les années 90. Le choix de la Nouvelle Zelande n’est peut-être pas anodin. La dernière crise israélo-zélandaise remonte à 2017 quand le pays a voté en faveur de la Résolution 2334 du Conseil de sécurité contre l’extension des nouvelles colonies sionistes. D’autre part, il existe un plan mondialiste de trouver tous les prétextes possibles pour désarmer les populations. Justement, le tireur utilisa 5 armes (deux fusils semi-automatiques, deux fusils de chasse et un fusil à pompe). La Première ministre néo-zélandaise s’est justement engagée à durcir les lois sur le port d’armes dans le pays.
        http://parstoday.com/fr/news/world-i76953-nouvelle_z%C3%A9lande_tarrant_agent_du_mossad

  3. Haïm dit :

    Un mauvais présage…

    Un rocher de 100 kilos faisant partie du Mur des Lamentations (mur de la plateforme où se situait le deuxième Temple juif détruit par les Romains en l’an 70 ou Kotel en hébreu) est tombé le 23 juillet 2018 au sein de l’espace de prière mixte, entraînant la fermeture d’une partie du site, alors que des milliers de personnes s’étaient rendues sur le site le dimanche à l’occasion des commémorations de Tisha Beav marquant la destruction des deux Temples de Jérusalem. Pour le rabbin du Mur, Shmuel Rabinovitch, il s’agissait «d’un incident extrêmement rare et incompréhensible».
    https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/societe/180069-180723-jerusalem-une-partie-du-mur-des-lamentations-s-effondre-dans-l-espace-de-priere-mixte

    Cela risque d’inquiéter ceux qui préparent leur Bar Mitzvah près des murs :

    Pourtant des archéologues ont découvert sous le Mur des Lamentations les vestiges d’un théâtre romain, et des pièces romaines datant du vivant de Jésus… Cette découverte, qui remet en cause la datation de la construction du Mur signifie qu’il a été érigé sur une Jérusalem romaine. Ce n’est donc pas un reste du temple juif !
    -https://www.dailymotion.com/video/x8030xu

    Encore de nos jours, l’aspect très traditionnel juif nous permet ne serait-ce qu’un instant de nous reporter à des siècles antérieurs :

    Autre mauvais présage, le 31 octobre 18, un serpent s’est faufilé des pierres au-dessus de la section occidentale du mur de Jérusalem où les femmes prient. Indique-t-il la nuisance satanique des sionistes, adeptes d’un peuple élu maitrisant toutes les richesses du monde ?
    https://www.thesun.co.uk/news/7649298/snake-israel-western-wall-messiah-prophecy/

  4. Quentin dit :

    L’ex-policier Guy Sibra, soupçonné par l’antiterrorisme de préparer des attentats antimusulmans, fait pourtant allégeance aux obédiences maçonniques et au peuple d’Israël.

    Quel est donc l’intérêt des sionistes de créer une guerre civile en France après avoir encouragé par tous les moyens l’arrivée massive des musulmans ?

    Liste des 120 parlementaires membre de l’intergroupe LICRA (lobby juif) à l’Assemblée Nationale :
    Dpt Circonscription Nom Parti
    1 4ème circonscription M. TROMPILLE Stéphane REM
    2 2ème circonscription M. DIVE Julien LR
    2 5ème circonscription M. KRABAL Jacques REM
    6 2ème circonscription M. DOMBREVAL Loîc REM
    7 1ère circonscription M. SAULIGNAC Hervé SOC
    7 2ème circonscription M. DUSSOPT Olivier SOC
    9 2ème circonscription M. LARIVE Michel FI
    11 3ème circonscription Mme ROBERT Mireille REM
    12 1ère circonscription M. MAZARS Stéphane REM
    13 3ème circonscription Mme LOUIS Alexandra REM
    13 5ème circonscription Mme RACON-BOUZON Cathy REM
    13 8ème circonscription M. ZULESI Jean-Marc REM
    13 9ème circonscription M. DEFLESSELLES Bernard LR
    13 11ème circonscription M. LAQHILA Mohamed MDM
    13 14ème circonscription Mme PETEL Anne-Laurence REM
    16 1ère circonscription M. MESNIER Thomas REM
    16 2ème circonscription Mme MARSAUD Sandra REM
    17 5ème circonscription M. QUENTIN Didier LR
    21 1ère circonscription M. MARTIN Didier REM
    21 3ème circonscription Mme KHATTABI Fadila REM
    22 5ème circonscription M. BOTHOREL Eric REM
    25 4ème circonscription M. BARBIER Frédéric REM
    30 1ère circonscription Mme DUMAS Françoise REM
    30 5ème circonscription M. GAILLARD Olivier REM
    30 6ème circonscription M. BERTA Philippe REM
    31 1ère circonscription M. CABARE Pierre REM
    31 2ème circonscription M. LAGLEIZE Jean-Luc MDM
    31 4ème circonscription M. NOGAL Mickaël REM
    31 5ème circonscription M. PORTARRIEU Jean-François REM
    31 6ème circonscription Mme IBORRA Monique REM
    31 9ème circonscription Mme MÖRCH Sandrine REM
    31 10ème circonscription M. NADOT Sébastien REM
    32 2ème circonscription Mme BIÉMOURET Gisèle SOC
    33 2ème circonscription Mme FABRE Catherine REM
    33 6ème circonscription M. POULLIAT Eric REM
    33 12ème circonscription Mme DUBOS Christelle REM
    34 3ème circonscription Mme DUBOST Coralie REM
    34 4ème circonscription M. ELIAOU Jean-François REM
    34 5ème circonscription M. HUPPÉ Philippe REM
    35 8ème circonscription M. BACHELIER Florian REM
    37 1ère circonscription M. CHALUMEAU Philippe REM
    37 2ème circonscription M. LABARONNE Daniel REM
    37 5ème circonscription Mme THILLAYE Sabine REM
    38 1ère circonscription M. VERAN Olivier REM
    38 3ème circonscription Mme CHALAS Emilie REM
    38 10ème circonscription Mme MEYNIER-MILLEFERT Marjolaine REM
    42 1ère circonscription M. JUANICO Régis SOC
    42 2ème circonscription M. MIS Jean-Michel REM
    42 3ème circonscription Mme FAURE-MUNTIAN Valéria REM
    42 5ème circonscription Mme SARLES Nathalie MDM
    44 5ème circonscription Mme EL HAÏRY Sarah MDM
    44 6ème circonscription M. DANIEL Yves REM
    47 1ère circonscription M. LAUZZANA Michel REM
    47 3ème circonscription M. DAMAISIN Olivier REM
    49 1ère circonscription M. ORPHELIN Matthieu REM
    49 5ème circonscription M. MASSEGLIA Denis REM
    51 3ème circonscription M. GIRARDIN Éric REM
    51 4ème circonscription Mme MAGNIER Lise LR
    54 2ème circonscription M. GARCIA Laurent MDM
    56 5ème circonscription M. ROUILLARD Gwendal REM
    59 4ème circonscription Mme LISO Brigitte REM
    59 8ème circonscription Mme OSSON Catherine REM
    59 10ème circonscription M. LEDOUX Vincent LR
    59 17ème circonscription M. HOUBRON Dimitri REM
    62 2ème circonscription Mme MAQUET Jacqueline REM
    62 6ème circonscription Mme BOURGUIGNON Brigitte REM
    64 3ème circonscription M. HABIB David SOC
    67 2ème circonscription M. WASERMAN Sylvain REM
    67 3ème circonscription M. STUDER Bruno REM
    67 9ème circonscription M. THIEBAUT Vincent REM
    68 1ère circonscription M. STRAUMANN Eric LR
    68 3ème circonscription M. REITZER Jean-Luc LR
    69 2ème circonscription M. JULIEN-LAFERRIERE Hubert REM
    69 3ème circonscription M. TOURAINE Jean-Louis REM
    69 4ème circonscription Mme BRUGNERA Anne REM
    69 6ème circonscription M. BONNELL Bruno REM
    69 7ème circonscription Mme KHEDHER Anissa REM
    69 10ème circonscription M. GASSILLOUD Thomas REM
    74 5ème circonscription Mme LENNE Marion REM
    75 3ème circonscription M. GUERINI Stanislas REM
    75 6ème circonscription M. PERSON Pierre REM
    75 8ème circonscription Mme AVIA Laetitia REM
    75 11ème circonscription Mme DE SARNEZ Marielle MDM
    75 15ème circonscription Mme PAU-LANGEVIN George SOC
    75 18ème circonscription M. BOURNAZEL Pierre-Yves LR
    76 1ère circonscription M. ADAM Damien REM
    78 1ère circonscription M. BAICHÈRE Didier REM
    78 2ème circonscription M. BARROT Jean-Noël REM
    78 3ème circonscription Mme PIRON Béatrice REM
    78 12ème circonscription Mme GRANJUS Florence REM
    79 2ème circonscription Mme BATHO Delphine SOC
    80 2ème circonscription Mme POMPILI Barbara REM
    81 3ème circonscription M. TERLIER Jean REM
    83 1ère circonscription Mme LEVY Geneviève LR
    84 3ème circonscription Mme POIRSON Brune REM
    85 2ème circonscription Mme GALLERNEAU Patricia MDM
    86 1ère circonscription M. SAVATIER Jacques REM
    86 4ème circonscription M. TURQUOIS Nicolas MDM
    87 1ère circonscription Mme BEAUDOUIN-HUBIERE Sophie REM
    91 1ère circonscription M. VALLS Manuel DVG
    91 2ème circonscription M. MARLIN Franck LR
    91 6ème circonscription Mme DE MONTCHALIN Amélie REM
    91 9ème circonscription Mme GUÉVENOUX Marie REM
    91 10ème circonscription M. RAPHAN Pierre-Alain REM
    92 2ème circonscription M. TAQUET Adrien REM
    92 4ème circonscription Mme FLORENNES Isabelle REM
    92 5ème circonscription Mme CALVEZ Céline REM
    92 9ème circonscription M. SOLÈRE Thierry LR
    92 11ème circonscription Mme ROSSI Laurianne REM
    93 3ème circonscription M. ANATO Patrice REM
    93 8ème circonscription Mme CHARRIÈRE Sylvie REM
    94 4ème circonscription Mme PETIT Maud MDM
    94 6ème circonscription M. GOUFFIER-CHA Guillaume REM
    94 11ème circonscription Mme GAILLOT Albane REM
    95 4ème circonscription Mme MOUTCHOU Naïma REM
    95 7ème circonscription M. DA SILVA Dominique REM
    95 9ème circonscription Mme PARK Zivka REM
    ZZ 8ème circonscription M. HABIB Meyer UDI
    ZD 1ère circonscription Mme BAREIGTS Ericka SOC
    ZS Saint-Pierre-et-Miquelon Mme GIRARDIN Annick RDG


    A Paris, un Ex-adjoint d’Anne Hidalgo, ex-président de la LICRA, Pierre Aidenbaum a été mis en examen pour « viol » par personne ayant autorité. C’est donc le deuxième ex-maire adjoint d’Anne Hidalgo mis en examen dans une affaire sordide.
    https://www.lefigaro.fr/politique/paris-pierre-aidenbaum-ex-adjoint-d-anne-hidalgo-mis-en-examen-pour-viol-et-agressions-sexuelles-20201009

    Ici, la chevalière qu’arbore Guy Sibra, le chef de l’AFO, est frappée de deux insignes maçonniques. Et, autour du cou, Guy Sibra porte en pendentif le Haï (ou Hayi), un mot hébraïque billitère, c’est-à-dire composé de deux lettres, le het (ח) et le youd (י), décrit par Wikipédia comme « un cri à la vie ou de ralliement Am Israël Hayi! (עם ישראל חי, « Le peuple d’Israël vit ! ». En tant que tel, il est devenu un symbole, souvent aperçu sur les articles de bijouterie, au même titre que le Magen David et la Mezouza, ou la Hamsa chez les Juifs originaires des pays arabes.

    Le 9 avril 2019, verra-t-on la fin du rêve sioniste de Netanyahou arriver ? Cet homme politique né à Jérusalem, mais ayant fait ses études au MIT (Massachusetts Institute of Technology), de nombreux membres de la CIA y ont été recruté, a su mettre avec lui les chrétiens évangéliques des USA, du Brésil et de Hongrie. Chose étonnante, les juifs orthodoxes les plus pauvres d’Israël votent pour lui alors qu’il est le candidat des riches.

    La judéocratie aux USA :
    https://www.unz.com/article/confronting-the-judeocracy-the-six-stages-of-enlightenment/

    Les 50 Juifs qui ont le plus d’influence en 2022 :
    https://www.jpost.com/50-most-influential-jews-2022

  5. Haï dit :

    L’enquête en quatre parties menée par Al Jazeera sur les campagnes d’influence secrètes d’Israël aux Etats-Unis a été empêchée par le Qatar, pourtant propriétaire d’Al Jazeera, au nom d’Israël. On y expose les efforts d’Israël et de ses lobbyistes pour espionner, salir et intimider les citoyens étatsuniens qui soutiennent les droits de l’homme palestiniens, en particulier le BDS – le mouvement de boycott, de désinvestissement et de sanctions. On y montre que l’agence gouvernementale d’opérations semi-secrètes d’Israël, le ministère des Affaires stratégiques, mènent cet effort en collusion avec un vaste réseau d’organisations basées aux États-Unis. Il s’agit notamment de la Israel on Campus Coalition et du Project and the Foundation for Defense of Democracies. Mais dans une démocratie, a-t-on le droit d’espionner les citoyens sur la base de leurs convictions ? Est-il normal que le gouvernement israélien participe et orchestre ces campagnes sur le sol de pays dits « alliés » ?

    Trump et Poutine, des agents du Chabad-Loubavitch ?
    http://redefininggod.com/trump-and-putin-agents-of-chabad-lubavitch/
    https://numidia-liberum.blogspot.com/2017/12/donald-trump-agit-sous-linfluence-dune.html
    Trump serait-il un sioniste pro talmudiste ?

    Donald Trump juif sioniste


    La dissidence ne serait-elle pas vérolée avec les Loubavitch messianiques ?
    https://odysee.com/@davidladent:e/LADISSIDENCELOUBAVITCH%E2%80%9320MINUTESPOURCOMPRENDRE:8

    Steven Cohen :

    En novembre 2018 on apprenait que la banque Rothschild & Co allait céder son activité de services fiduciaires à l’un de ses gérants, Richard Martin, pour se concentrer sur le développement de la gestion de fortune. Alexandre de Rothschild, qui a repris cette année la présidence exécutive de la banque, a déclaré : « Suite à un examen stratégique de nos activités de gestion de patrimoine privé, nous avons décidé de nous concentrer sur la croissance de nos activités de gestion de patrimoine… Dans un environnement changeant, nous pensons que les activités fiduciaires peuvent mieux fonctionner dans une structure indépendante. » Les services gérés par les activités fiduciaires de Rothschild comprenaient la création et l’administration de structures qui détiennent tous les actifs d’un client fortuné, depuis les sociétés et la propriété intellectuelle jusqu’aux collections d’art et aux avions. Ces activités fiduciaires correspondent à des activités de trusts nécessitant des trustees. Les trusts sont des sociétés où les propriétaires restent totalement anonymes et qui ont à leur tête un trustee, c’est à dire un prête-nom. C’est une manière d’échapper à l’impôt et à blanchir de l’argent. Mais voilà, vu la chasse à la fraude fiscale actuelle, un scandale pourrait un jour ou l’autre ternir la famille Rothschild, d’où cette séparation.
    https://www.capital.fr/entreprises-marches/rothschild-cede-ses-activites-fiduciaires-a-un-de-ses-dirigeants-1312641

  6. Pierre dit :

    Manuel Valls, en tant que Premier ministre, disait que « la communauté juive était à l’avant-garde de la République et de ses valeurs et que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».
    https://www.liberation.fr/planete/2015/01/22/l-antisemitisme-chretien-de-droite-nourrit-indirectement-l-antisemitisme-islamiste_1186501
    Ce qui peut expliquer les dires de Soral :
    https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/Alain-Soral-La-France-est-la-putain-d'Isra%C3%ABl:d
    https://odysee.com/@KontreKulture:c0/Alain-Soral-C'est-la-liste-de-Schindler-!:5


    D’où sans doute l’inauguration par Macron, le 29 octobre 2019, du Centre européen du judaïsme, à deux pas de la porte Champerret (XVIIe), avec à l’intérieur, une synagogue de 600 places. Le terrain a été cédé par la Ville de Paris. Trois millions proviennent des pouvoirs publics – 2 millions par l’Etat sous le quinquennat Sarkozy et 1 million de la région.
    http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-le-centre-europeen-du-judaisme-inaugure-par-emmanuel-macron-27-10-2019-8181246.php


    L’abbé Olivier Rioult, catholique traditionaliste, a signé une synthèse sur ce thème, abordant les aspects historique, idéologique, politique et bien sûr religieux. Son essai va de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations.

    Matthieu 4,8-10 :  » Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, 9et lui dit: Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m’adores. 10Jésus lui dit : Retire-toi, Satan ! « 

    Deutéronome 28,1 :  » Si tu obéis à la voix de l’Eternel, ton Dieu, en observant et en mettant en pratique tous ses commandements que je te prescris aujourd’hui, l’Eternel, ton Dieu, te donnera la supériorité sur toutes les nations de la terre. « 

    On pourrait en conclure que le Yahvé de l’Ancien Testament est Satan….

    Sa conférence à Québec le 21 juin 2014 :
    http://www.lasapiniere.info/archives/2675

    Il a certainement lu l’histoire et la religion juive expliquées par Israel Shahak :
    https://ifamericansknew.org/cur_sit/shahak.html
    tout du moins dans les grandes lignes comme nous les donne ici Ron Unz :
    https://lesakerfrancophone.fr/la-pravda-americaine-singularites-de-la-religion-juive
    avec des suites très intéressantes :
    https://www.unz.com/author/ron-unz/
    ou écouté la conférence de Philippe Ploncard d’Assac enregistré le 5 septembre 2020 sur « Le rôle du Eretz Israël dans le plan du mondialisme messianique » :

    Selon l’abbé Rioult, « la bête dont la blessure mortelle a été guérie » a un rapport avec la nation israélienne, puisque du temps de Jean, l’empire romain était encore loin de disparaître (p°417).

    Les secrets choquants dévoilés par cet incroyable documentaire mettront en lumière ceux qui se cachent depuis toujours derrière l’État d’Israël. Il expose quelque chose de si néfaste, de si maléfique, de si époustouflant que beaucoup auront du mal à y croire. Mais il peut porter un coup fatal aux élites sataniques, qui veulent établir un gouvernement mondial pour asservir toute l’humanité (voir avec un VPN à cause de la censure) :
    https://rumble.com/v3pr62s-must-see-the-mystery-of-israel-solved.html

    L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare :
    https://www.profession-gendarme.com/lhistoire-cachee-de-leffroyable-mafia-khazare/
    https://www-veteranstoday-com.translate.goog/2022/03/10/the-hidden-history-of-the-incredibly-evil-khazarian-mafia/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en
    L’histoire cachée de la mafia Khazar ou l’effroyable imposture :

    Israël : Proposition de loi visant à emprisonner les Chrétiens faisant l’apologie de Jésus-Christ
    https://lemediaen442.fr/israel-proposition-de-loi-visant-a-emprisonner-les-chretiens-faisant-lapologie-de-jesus-christ/

    Par contre, pour Shaul Stampfer, professeur spécialisé dans le judaïsme des pays soviétiques et d’Europe de l’est, il manque des sources fiables concernant leur conversion :
    https://www.ffhu.org/index.php/actualites/archeologie/221-khazar

    Une chose est sûre, la haine des juifs envers le Christ continue ! France Inter, une radio contrôlée par les sionistes,
    https://herveryssen.wordpress.com/2012/02/06/99-des-employes-de-france-inter-sont-juifs/
    semble ne pas avoir de limites dans sa lutte contre l’identité française, l’ordre naturel, la religion catholique et Dieu lui-même.

    L’un des chroniqueurs, Frédéric Fromet, après une pitoyable chanson concernant l’incendie de Notre-Dame de Paris,

    se mit à prêter pendant plusieurs minutes des mœurs contre-nature au Christ dans un langage ordurier « Jésus est pédé ».
    https://www.franceinter.fr/emissions/la-chanson-de-frederic-fromet/la-chanson-de-frederic-fromet-10-janvier-2020

    • Naomi dit :

      Le philosophe juif et musicien de jazz Gilad Atzmon répond point par point à la diffamation de Charlie Falconer, un politicien du parti travailliste britannique sioniste dont la mère était Anne Mansel :

      Gilad Atzmon a expliqué comment s’est constituée et reproduite l’élite juive, et plus largement l’oligarchie financière, par la méthode de l’appropriation cognitive ! Capitalisme, libéralisme, sionisme : Gilad Atzmon démontre en quoi les oppositions à ces idéologies sont en réalité les preuves d’une confiscation du débat et d’un « continuum tribal ». Aux problèmes juifs ne sont proposées que des alternatives juives… Une stratégie de survie dévoilée par le philosophe qui nous aide à mettre en perspective la domination oligarchique : « La meilleure façon de contrôler l’opposition, est de la diriger soi-même.. » disait déjà Lénine.

      « Permettez-moi de résumer pour vous les points de vue les plus controversés, et vous déciderez vous-même si je suis un raciste ou une personne qui travaille intensément à la recherche de la vérité :

      Ma politique : Je ne me suis jamais identifié à un parti politique ou à une quelconque institution.

      Mon engagement moral et idéologique : Je suis profondément antiraciste. Cependant, je critique également toutes les formes d’identifications politiques définies par des facteurs biologiques tels que le sexe, la race, l’orientation sexuelle, etc. Je crois que pour améliorer le monde et nous sauver de la dystopie actuelle, nous devons réapprendre à rechercher ce qui nous unit en tant que peuple au lieu d’inventer des idéologies qui nous divisent. Ainsi, je critique autant la gauche que la droite identitaire.

      L’holocauste, l’histoire et la religion : Je n’ai jamais nié et je ne nie pas non plus l’holocauste ni aucun autre chapitre de l’histoire. Cependant, je suis contre toutes les lois mémorielles. Dans mes écrits, je soutiens que l’histoire est la tentative de raconter le passé, à mesure que nous avançons. Par conséquent, l’histoire devient une aventure qui a du sens, une fois que nous avons revisité et révisé le passé. Lorsque l’histoire se transforme en un chapitre scellé et intouchable, elle est réduite à une religion. À l’instar de quelques penseurs israéliens éminents (Adi Ophir, Yishayahu Leibovitz…), je crois que l’holocauste a été réduit à une religion. Si tel est le cas, nous nous réservons également le droit d’être agnostiques.

      Les juifs, le judaïsme, la judéité : Si Israël se définit comme « L’État juif » (et il se définit comme tel), les premières questions que nous devons nous poser sont les suivantes : Qu’est-ce que le judaïsme ? Qui sont les juifs ? Qu’est-ce que la judéité ? Nous devons découvrir comment ces éléments s’opposent les uns autres, quel est leur impact sur la politique israélienne, la politique du lobby juif, etc. Dans mon travail, je distingue les juifs (le peuple), le judaïsme (la religion) et la judéité (idéologie et culture). Je ne critique pas les juifs, je touche à peine au judaïsme et, lorsque je le fais, je suis très prudent et je m’occupe des interprétations. Je crois que les idéologies, la culture et la politique doivent être soumises à un examen critique.

      Finalement : J’ai immigré en Grande-Bretagne il y a 25 ans. C’était un endroit merveilleux et libre. J’ai élevé ma famille ici. J’aime ce pays. J’aime les gens et je me sens aussi aimé par tant de gens qui m’ont toujours soutenu, surtout en ce moment, et je parle vraiment de plusieurs milliers de personnes. Mes lecteurs et ceux qui me suivent savent pertinemment qu’il n’y a pas un seul élément de vérité dans ce qui est dit de moi en ce moment, principalement dans la presse juive. La Grande-Bretagne, à l’instar d’autres sociétés occidentales, devient rapidement un endroit très sombre. La liberté d’expression est réduite à la nostalgie. De manière assez désastreuse, certains éléments du parti travailliste jouent un rôle clé dans cette catastrophe naissante. On me punit ici parce que je suis probablement l’une des dernières voix qui résiste de manière permanente dans ce royaume. Je me tiens debout, alors que, malheureusement, les politiciens, les universitaires, les journalistes, et les autres artistes, s’inclinent très rapidement. »

      Pour Sylvain Cypel qui a écrit ‘l’État d’Israël contre les Juifs’, l’extrême droite représentée par Benyamin Netanyahou va trop loin, surtout depuis l’arrivée de Trump au pouvoir. Si aux USA il y a autant de juifs qu’en Israël, ils sont par contre en grande majorité démocrates. Ceux qui ne votent pas Trump sont les juifs et les noirs. En France, le Crif est pro-Extrême droite, c’est à dire qu’il est ethniciste, raciste et particulièrement belliqueux envers les Palestiniens.

      Le très proche conseiller de Klaus Schwab, Yuval Harari, compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes : « Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »
      https://rumble.com/v1oijbo-yuval-harari-compare-les-territoires-palestiniens-un-laboratoire.html

  7. Yûsuf dit :

    Les Argentins comme les Chiliens sont alarmés : ils estiment à 8 000 ou 10 000 par an les militaires israéliens qui viennent « faire du tourisme » en Patagonie, et ce depuis 40 ans ! Les implantations israéliennes se trouvent dans les provinces de Chubut, Río Negro, Neuquén et Santa Cruz. Sur ces immenses étendues, il est difficile d’approcher les propriétés terriennes israéliennes, reconnaissables en ce qu’elles sont fortifiées avec des barbelés, et que l’entrée y est impossible pour le commun des mortels : les chemins d’accès sont bloqués, les voies d’eau également. Une nouvelle Palestine occupée est-elle sur le point de voir le jour ?

    Voit-on éclore un territoire juif comme au Birobidjan, une République autonome juive, installée en 1934 par la volonté de Staline, sur un territoire inhabité de l’extrémité orientale de la Russie ?
    https://www.historia.fr/le-birobidjan-l%C3%A9tat-juif-du-bout-du-monde
    Il faut dire que le fondateur du communisme, Karl Marx était juif et qu’une grande partie des commissaires directeurs de la Russie léniniste l’étaient aussi.
    http://israelmachiah.over-blog.com/article-11238246.html

  8. Chaïm dit :



    Pratiquer la gratitude à travers la prière, le partage, un élément majeur dans notre vie :

    ‘Mabul’ (également connu sous le nom de The Flood) est un film dramatique israélien de 2012. La vie de Yoni qui a presque 13 ans, est compliquée. Il lutte quotidiennement pour devenir un homme pour sa prochaine Bar Mitzvah. Ses camarades de classe l’intimident chaque fois qu’ils en ont l’occasion et ses parents se disent à peine un mot. Et comme si tout cela ne suffisait pas, son frère autiste, Tomer, 17 ans, enfermé depuis des années dans une institution, rentre chez lui juste avant la cérémonie. Étant le seul véritable adulte de sa famille, Yoni finit par s’occuper seul de lui qu’il n’a pas vu depuis dix ans et qui devient obsédé par l’extrait de la Torah de Yoni sur l’arc de Noé…

    [video src="https://i.imgur.com/77NAzc2.mp4" /]

    ‘A Different Kind of War’ (Milhama A’Heret) de Nadav Gal (2004) : En 2000, au début de l’Intifada d’El Aqsa, les Palestiniens de Beit Jala tirent régulièrement sur le quartier de Gilo au sud de Jérusalem. De jeunes adolescents, Zahi et ses amis, grimpent au sommet du mur séparant Gilo de Beit Jala et crient des injures aux Arabes qui, à leur tour, tirent sur les garçons. Le frère cadet de Zahi est Nuni, un garçon qui préfère se maquiller comme sa mère plutôt que de jouer au soldat. Bien que Nuni ait été choisi pour jouer le rôle principal (le roi David) dans sa pièce de théâtre à l’école primaire de Jérusalem, il préfère secrètement jouer le rôle de princesse à la place…

  9. Albert dit :

    Israël Shamir est un Juif de grande sagesse converti au christianisme orthodoxe et vivant en Suède :





    Il connait bien l’histoire de Don Isaac Abravanel (né en 1437) qui est d’ailleurs le sujet d’un livre de Benzion Netanyahou, le père du Premier ministre israélien. Selon un rédacteur de Haaretz, Abravanel aurait lancé l’ère du messianisme juif. Son idée, absorbée et acceptée par Benyamin Netanyahou, était d’appeler à une catastrophe apocalyptique, une « guerre des monstres » entre Gog et Armilus – symbolisant les Ismaélites (musulmans) et la chrétienté (comme il le décrit dans son ouvrage MayaneiYeshua). Cette guerre devrait se terminer par un affaiblissement des deux camps et par l’ascension des juifs vers la domination mondiale, symboliquement appelée « la fête du Léviathan ».

    Le philosophe Carl Schmitt déclarait en 1942 que les juifs jouissaient de la lutte mondiale colossale entre les monstres, le Léviathan (Grande-Bretagne et États-Unis) et Behemoth (l’Allemagne) : « Ils se frottent joyeusement les mains en attendant l’attrition mutuelle qui permettra aux juifs de dominer le monde, autrement dit « la fête du Léviathan ». » La guerre entre l’islam et la chrétienté qui se prépare en France sera-t-elle l’occasion de la prochaine fête du Léviathan ? Avner Ben-Zaken, un penseur israélien, a écrit sur ce sujet que Benyamin Netanyahou, donc grand adepte du messianisme catastrophique et croyant en la guerre d’Édom et d’Ismaël comme clef du salut des juifs, s’était rendu en France à la suite du premier épisode de Charlie pour encourager les dirigeants juifs français à agir en les qualifiant de « nouvel Isaac Abravanel collectif ». Deux ans plus tard, les dirigeants juifs français dont Alain Minc, Serge Weinberg, Jacques Attali, Bernard Mourad, nommèrent avec David de Rothschild, Emmanuel Macron comme président. Ne devra-t-il pas livrer la guerre entre la chrétienté et l’islam, pour la plus grande gloire d’Israël ? Actuellement, on en est même à soupçonner Eric Zemmour d’être un agent double, qui serait au service du choc des civilisations. Une chose est sûre, les opposants aux musulmans ne sont pas chrétiens. Le magazine Charlie Hebdo est par contre explicitement anti-chrétien et anti-musulman. Un gouvernement chrétien agirait comme les Russes l’ont fait après les profanations dans l’église Saint-Sauveur de Moscou par les Pussy Riots. Il leur a infligé jusqu’à deux ans de prison et a modifié le droit pénal russe pour inclure le « sacrilège » parmi les crimes ordinaires.

    ‘Filiae maestae Jerusalem’ d’Antonio Vivaldi (1678-1741) : Cette œuvre chante la tristesse des « femmes affligées de Jérusalem » qui pleurent la souffrance du Christ et sa mort sur la croix…

  10. Larry dit :

    Les 8 familles très influentes dans le Monde :

    Napoléon Bonaparte (1769-1821) : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit… L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

    Actuellement, on a affaire à une élite mondialiste qui ne représente même pas 1% de la population mondiale et qui cherche à dominer les peuples et les nations. Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup et Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Ils sont aussi parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500.

    80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, sont détenus par juste huit familles.
    – Goldman Sachs, (élite financière juive ashkénaze)
    – Rockefellers, (élite financière protestante)
    – Lehmans et (élite financière juive ashkénaze)
    – Kuh Loebs de New York, (élite juive ashkénaze)
    – les Rothschild de Paris et de Londres, (élite juive ashkénaze)
    – les Warburg de Hambourd, (élite juive ashkénaze)
    – les Lazards de Paris et, (élite juive ashkénaze)
    – les Israëliens Moses Seifs de Rome. (élite juive ashkénaze)

    10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale :
    – N.M Rothschild de Londres, (banque juive)
    – Rotshschild Bank de Berlin, (banque juive)
    – la banque Warburg de Hambourg, (banque juive)
    – la banque Warburg d’Amsterdam, (banque juive)
    – Lehmans Brothers de New York, (banque juive)
    – Lazard Brothers de Paris, (banque juive)
    – la banque Kuhn Loeb de New York, (banque juive)
    – la banque Israel Moses Seif de Rome, (banque juive)
    – Goldman Sachs de New York et (banque juive)
    – la banque JP Morgan Chase de New York. (banque protestante)

    William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff (élite juive ashkénaze) et James Stillman (élite juive ashkénaze) sont les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale.
    https://reseauinternational.net/les-8-familles-qui-gouvernent-le-monde/

    Le but que semble essayer d’atteindre cette élite bancaire, l’appropriation de tous les biens allant de paire avec la fin de la propriété privée :
    https://geopolitique-profonde.com/2021/01/03/2021-grand-reset-et-fin-de-la-propriete-privee/


    Pas étonnant que le président Biden se sente obligé de se mettre à genoux devant le président israélien Reuven Rivlin et son chef de cabinet, la femme-rabbin « ultra-orthodoxe » Rebecca Ravitz !
    https://nationalfile.com/goofy-joe-biden-kneels-before-israeli-president-in-white-house-pledges-unquestionable-commitment-to-israel/
    Ce qui semble donner raison au président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko, quand il déclara « les Juifs ont mis le monde à genoux devant eux ».
    https://fr.timesofisrael.com/le-bielorusse-loukachenko-affirme-que-les-juifs-ont-mis-le-monde-a-genoux/

    Géants antiques, rituels et l’élite de Jekyll Island par Robert Sepehr

    Jekyll Island est située au large des côtes de l’État américain de Géorgie, où, en 1910, certains des banquiers les plus influents d’Amérique se sont réunis pour une réunion secrète afin de planifier la politique monétaire du pays et d’établir un système bancaire central, ce qui a abouti au projet de loi pour ce qui finalement est devenu la création de la Federal Reserve Act. L’un des documents les plus influents et les plus populaires exposant la formation du système bancaire central FED est un livre intitulé ‘The Creature From Jekyll Island’, qui raconte une réunion secrète qui a eu lieu en 1910 sur l’île de Jekyll, une étendue de plages de sable blanc au large de la Géorgie.

    Le Titanic et la Federal Reserve Bank :

    Tout au long de l’histoire de l’Amérique du Nord, les récits abondent sur la découverte de restes d’humains préhistoriques anormalement grands et même «géants» ! Le président Abraham Lincoln aurait même prononcé devant le Congrès cette phrase en 1848 «les yeux de cette espèce de géants éteints, dont les os remplissent les monticules américains, ont regardé Niagara comme nos propres yeux le font maintenant». Mais qui sont ces géants dont il parle ?

    La chute de la cabale par Janet Ossebaard :
    https://odysee.com/@FlowerPower:b/la-chute-de-la-Cabale–1:8

    La Suite de la Chute de la Cabale VF 1 à 19 (sur la dépopulation voir à partir de 1h48) :
    https://odysee.com/@PhilippeBirien:9/DOC-La-suite-de-la-Chute-de-la-Cabale–(01-%C3%A0-16)–16.9:d?

    Le site :
    https://odysee.com/$/invite/@FlowerPower:b

    Le Deep State de la Cabale Rothschild implose :
    https://numidia-liberum.blogspot.com/2023/03/le-deep-state-de-la-cabale-rothschild.html?m=1


    Projet pour construire à Tel Aviv un remake de la Tour de Babel ? La tour en spirale Azrieli s’élèvera à une hauteur de 350 mètres et s’étendra sur 91 étages et une fois achevée, elle deviendra le plus haut bâtiment d’Israël.

    Israël : Tel Aviv autorise la construction d’un remake de la Tour de Babel. Préparation du troisième temple ?

    Rabbi Alon Anava sur les chefs d’états qui ne sont que des marionnettes des familles les plus riches du monde :
    https://t.me/trottasilvano/31027

    Pierre Hillard sur l’histoire du monde qui n’est que religieux :
    https://odysee.com/@Impellobel.odysee:b/JIM-LEVEILEUR—LIVE-AVEC-MR-PIERRE-HILLARD:e

  11. Aaron dit :


    Dans son nouveau livre ‘The Unspoken Kennedy Truth’, l’auteur français Laurent Guyénot réunit de nombreuses sources dans l’élaboration de son argument impliquant les plus hauts niveaux du leadership israélien (vers 1960-63) dont David Ben Gourion, comme principaux suspects dans l’assassinat de JFK. Il a fait une conférence le 20 janvier 2024 à Paris sur ‘Le droit divin de massacrer’ dans la bible :

    Pour Peter Janney, auteur d’un livre explorant l’implication de la CIA, intitulé ‘Mary’s Mosaic : The CIA Conspiracy to Murder John F. Kennedy, Mary Pinchot Meyer, and Their Vision for World Peace’ (2012), « Laurent Guyénot nous emmène là où peu ont osé s’aventurer – le rôle du Mossad et d’Israël dans les meurtres des deux frères Kennedy, et très probablement dans l’événement du 11 Septembre lui-même. » Peter Janney mentionne James Jesus Angleton (qui a deux monuments en Israël en son honneur), parce qu’il occupe une place particulière dans le meurtre de Mary Pinchot (une amie très proche de John Kennedy car ils se connaissaient depuis l’adolescence ; elle eut une influence probable sur sa politique d’apaisement avec Khrouchtchev ; elle fut retrouvée morte près de chez elle, le 12 octobre 1964 ;

    Mary Pinchot était divorcée de Cord Meyer, qui était un haut gradé de la CIA), dans l’assassinat de John Kennedy, et dans la collusion entre la CIA et le Mossad. Le lendemain du meurtre de Mary, Angleton fut surpris par Ben Bradlee dans la maison de Mary, à la recherche de son journal. Bradlee était directeur exécutif du Washington Post et un ami de longue date de JFK, ainsi que de Mary Pinchot. Il trouva le journal de Mary peu après et le remit à Angleton, qui le détruisit. L’apparition d’Angleton dans l’histoire tragique de Mary Pinchot est significative, parce que toutes les enquêtes sur le rôle de la CIA dans l’assassinat de Kennedy convergent vers Angleton. C’est Angleton, en particulier, qui semble avoir mis en scène les visites et les appels téléphoniques, début novembre 1963, d’un homme se présentant comme Lee Harvey Oswald, à l’ambassade soviétique et au consulat cubain à Mexico. Au téléphone, ce faux « Oswald » (car il ne s’agissait pas d’Oswald) évoquait un arrangement passé avec Vladimir Kostikov, qui était connu du FBI comme l’officier en charge des assassinats sur le territoire américain. Ces visites et ces appels étaient, bien sûr, surveillées par la cellule locale de la CIA, et constitueraient, après le 22 novembre, la preuve d’un complot castriste ou communiste. La CIA avait ainsi planifié de faire accuser Cuba et l’Union soviétique de l’assassinat du président. Le motif était de créer un prétexte pour envahir Cuba, chose que Kennedy avait interdite après la débâcle de la baie des Cochons et le limogeage d’Allen Dulles. Mais cette thèse présente un défaut rédhibitoire : il n’y a pas eu d’invasion de Cuba après l’assassinat de Kennedy.
    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Mossad-James-Angleton-et-l-assassinat-de-JFK-67708.html

  12. Saïf dit :

    En ces temps de covid parcourus de guerre en Ukraine, Youssef Hindi explique la visée d’un messianisme actif qui tend vers l’utopie du Nouvel Ordre Mondial. La guerre en Ukraine introduira le pass-alimentaire comme le covid le pass-sanitaire. Mais ce covidisme est en fait un messianisme actualisé, la forme nouvelle du projet universel, totalitaire et messianique de la bible hébraïque. L’idée est un effondrement de l’histoire pour nous faire entrer dans les temps messianiques. Si chez les chrétiens et les musulmans, le Messie doit revenir, du côté juif, il apparaitra pour la première fois afin d’apporter la domination universelle du peuple juif sur l’humanité. Pour certains juifs, le Messie attendu n’est rien d’autre que leur peuple, véritable moteur de l’histoire. Attali voyait déjà lors d’un meeting en 2013 que la pandémie H1N1 allait permettre d’instaurer un gouvernement mondial (synonyme pour lui de temps messianique). Celle du coronavirus allait, selon Kissinger début 2020, modifier à jamais l’ordre mondial. Les élites juives n’ont jamais hésité à sacrifier leur propre peuple comme durant la 2nde guerre mondiale. Le rabbin Ron Chaya est par exemple persuadé que l’état d’Israël a pu être mis en place que grâce aux victimes de l’holocauste (la shoa). Le sacrifice permet d’obtenir quelque chose. C’est ainsi que Roch Hachana de Bennett (1er ministre israélien) affirma que si les gens ne se faisaient pas vacciner contre le covid ils n’entendraient pas le Shofar (la corne annonciatrice du Messie). Israël était devenu le laboratoire modèle de Pfizer. Sa population fut une des premières avec la Grande Bretagne vaccinée et à utiliser un pass-vert et autres moyens de traçage. Comme l’explique BHL, les juifs sont une escorte silencieuse et secrète pour les autres peuples. Mais c’est là où quelques semaines après on vit une explosion de la contamination. On avait oublié il y a quelques années la vaccination obligatoire des immigrées juives falashas éthiopiennes. Celles-ci découvrirent après coup qu’on leur avait injecté un contraceptif à leur insu. Pourtant les prophètes de l’Ancien Testament interdirent les sacrifices rituels humains. Même s’ils servaient à se faire pardonner. C’est le Christ qui par son sacrifice a permis le pardon de tous les êtres humains. Plus besoin de tuer un animal et encore moins une personne. Même dans le coran il est dit que ce ne sont pas les sacrifices d’animaux qui atteignent Dieu mais les oeuvres pieuses. Même le suicide y est interdit. Avec l’effondrement du christianisme en occident, il n’est pas étonnant de voir ressurgir le sacrifice d’enfants (20% des grossesses se terminent par un avortement) mais par contre l’abolition de la peine de mort. Avec le covid n’a-t-on pas là aussi un sacrifice de masse avec la destruction de l’hôpital, la vaccination des femmes enceintes ? etc…. Mais ce projet de gouvernement mondial est utopique (voir la cité parfaite d’Utopia du livre de Thomas More de 1518). Il ne se réalisera pas. Par contre il provoquera beaucoup de souffrances et de catastrophes. Cette restauration de l’Eden (du paradis sur terre) décrite notamment dans Esaïe 11 où le loup habitera avec l’agneau est irréalisable. Pourtant, et c’est là le danger, il y a un messianisme actif, composé d’une minorité, voulant le mettre en place sans attendre que Dieu le fasse. Déjà il est question qu’Israël soit du Nil à l’Euphrate et que la capitale de la planète soit Jérusalem (dixit Attali). Puis comme il est écrit dans Esaïe 61 « Les étrangers feront paître tes troupeaux, leurs fils seront vos laboureurs et vos vignerons. Vous mangerez les richesses des nations… » Pour cela il faut que toutes les nations disparaissent sauf une, Israël ! Le philosophe Yeshayahu Leibowitz parle de judeo-nazis (qui relève d’un comportement assimilable à celui des nazis, mais de la part des juifs). Pas étonnant qu’Israël soutienne donc les nazis ukrainiens et que l’Otan orchestre depuis février 2014 les troubles à Kiev. Selon Ron Chaya, Israël deviendra vainqueur par une guerre globale à la fin des temps. Il l’explique sous forme d’une parabole, celle d’un combat des coqs. Avec l’Ukraine on retrouve la théorie du Heartland (1904) de Halford Mackinder (1861-1947) suivie par Zbigniew Brzeziński : Il ne faut en aucun cas qu’un bloc se forme liant l’Europe de l’ouest avec la Russie. « Qui gouverne le Heartland commande l’île-monde. Qui gouverne l’île-monde commande le monde. » (Mackinder, 1919, p.194). En arrivant à effondrer économiquement la Russie, on éviterait alors cette guerre globale. On s’attaque donc à tous les Russes patriotes en bloquant leurs comptes bancaires situés à l’étranger. Mais pas qu’eux. Ainsi ceux professionnel et privé de la BNP du rédacteur en chef de Faits et Documents, Xavier Poussard, ont été aussi fermés. La lutte contre cette dictature va être difficile depuis l’effondrement des religions, des valeurs traditionnelles ou de « common decency » selon George Orwell.
    https://rumble.com/v1dtldd-youssef-hindi-quand-le-messianisme-et-le-nouvel-ordre-mondial-se-rencontre-.html
    https://ras-nsa.ca/fr/mackinder-les-modeles-et-la-nouvelle-route-de-la-soie-un-outil-fallacieux/

    Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars :
    https://www.profession-gendarme.com/les-verites-bien-cachees-sur-la-guerre-dukraine-orchestree-par-les-khazars/

  13. patriote2020 dit :

    Il y a 16 millions de juifs sur 8 milliards d’undividu soit 0.002 %.
    Et sur ces 16 millions de juifs, seuls à la rigueur 100 personnes dirigent le monde de l’argent.
    Et donc 100 personnes font peur à la planète entière ?
    Trés bien, qu’on fasse une loi spéciale internationale et on place ces 100 personnes dans un camp spécial.
    Et ensuite, ils vont surement être remplacés, non ?

    Et les pétromonarchies arabes qui ont acheté la moitié de Paris, de New York et de Londres, etc… ? Que fait-on avec elles ?

    • Liam dit :


      Ancien officier de la CIA, Philip Giraldi est actuellement directeur exécutif du Council for the National Interest (CNI), une organisation non partisane à but non lucratif qui cherche à encourager et à promouvoir une solution juste du conflit israélo-arabe. Son avis sur l’influence des juifs dans les différentes institutions américaines : « En politique étrangère, ils sont en général extrêmement puissants et on peut compter sur eux pour infléchir et contrôler les actions du gouvernement. C’est ce que nous voyons actuellement en Ukraine, une question qui n’a absolument rien à voir avec la sécurité ou les intérêts vitaux des États-Unis, mais ce sont les groupes juifs politiquement actifs et les médias qui font le plus pression pour affronter la Russie, qu’ils détestent pour de nombreuses raisons historiques. Et lorsqu’il s’agit de protéger et de nourrir Israël, le lobby juif-israélien, associé à des médias fortement influencés par eux, a un pouvoir total sur ce que font les Etats-Unis. Ce pouvoir a été obtenu par l’utilisation judicieuse des dons politiques aux deux grands partis, les contributeurs juifs occupant une place prépondérante. Les prétextes de l’exportation de la «démocratie», de la «liberté» et d’un «ordre international fondé sur des règles» servent de couverture aux Etats-Unis pour intervenir dans le monde entier pour diverses raisons, mais surtout pour dominer politiquement et économiquement. Cette pratique cessera lorsque l’argent s’épuisera après la mort du pétrodollar, ce qui pourrait arriver bientôt ! En attendant, je pense qu’Israël lancera une sorte de conflit armé avec l’Iran au cours de l’année prochaine et que les Etats-Unis soutiendront cet effort. Les Etats-Unis et Israël savent cependant que l’Iran ne menace pas vraiment l’un ou l’autre pays. Son programme nucléaire est loin de produire une arme. Il s’agit plutôt pour Israël d’établir une domination militaire sur sa région au Moyen-Orient. L’Iran est la seule nation qui puisse potentiellement défier la puissance israélienne, il faut donc l’éliminer. Il est temps qu’un monde multipolaire, tel que décrit par Vladimir Poutine et d’autres, arrive car les États-Unis sont de plus en plus considérés comme un paria et même comme une menace par de nombreuses nations. »
      https://tribune-diplomatique-internationale.com/officier_de_la_cia-philip_giraldi/

      Pour l’ancien chef du Mossad, Tamir Pardo « Israël approche de sa fin. Cette autodestruction remonte à avant la formation de l’actuelle coalition israélienne, dirigée par Netanyahou, c’est-à-dire avant l’élaboration du plan d’amendement judiciaire. ». L’analyste israélien, Ari Shavit, a déclaré aussi : «Nous avons dépassé le point de non-retour, et Israël respire son dernier souffle, et il n’y a aucun goût à y vivre, et les Israéliens réalisent, depuis qu’ils sont venus en Palestine, qu’ils sont victimes d’un mensonge inventé par le mouvement sioniste».
      https://reseauinternational.net/ex-chef-du-mossad-israel-approche-de-sa-fin/?amp;utm_medium=rss&utm_campaign=ex-chef-du-mossad-israel-approche-de-sa-fin

      Rappel du projet impérialiste sioniste :
      https://les7duquebec.net/archives/290126

      Justement, une prophétie du temps de Moise révélée en 1948 par une vielle dame juive annonce la fin d’Israël pour 2024 :

      Pour Meyssan en mars 2024 « Nous vivons peut-être la fin du fascisme juif » :

      Un bref message du rabbin Yisroel Dovid Weiss : « Tuer, voler, occuper la terre d’autrui ou réprimer un peuple entier est totalement interdit dans la religion juive.”

      Caméra Cachée (Sionistes VS Palestinien) :
      -https://www.dailymotion.com/video/x21mnpr

      Au moment où les bombes israéliennes s’abattent sur la bande de Gaza avec un rythme et une intensité qui étonnent le monde, Paul Verbeke reçoit Pierre Jovanovic et Youssef Hindi pour percer l’embargo médiatique qui sévit en France et prendre la mesure historique, politique et eschatologique de l’événement :
      https://odysee.com/@erfm:4/ptdh_59:d?src=embed
      Ce qu’en pense aussi l’historien antisioniste juif Ilan Pappé :
      https://odysee.com/@Investig'Action:c/ilan-papp%C3%A9-historien,-juif-et:8?src=embed&t=1684.889125
      Quand la télé israélienne débunke les fakes news racontées par des Israéliens :

      Pour Rick Wiles, après s’être rendu en Palestine occupée en 2018, « Si nous n’arrêtons pas le sionisme, un jour nous serons tous des Palestiniens ».

      A partir de 35 mnn 45, Israël Rosen (décédé en 2017), ancien directeur de l’Institut Tsomet qui adapte les innovations technologiques pour permettre de respecter la halakha ou loi juive : « Selon la Torah, 6 milliards et demi de personnes n’ont pas le droit de vivre. » (notamment les chrétiens)
      https://odysee.com/@JeanDominiqueMichel:e/la-d%C3%A9shumanisation-messianique:d

      Un peu d’humour :

  14. Rachid dit :

    Sionisme

    Dès sa constitution, le Sionisme a promu la création d’un État-nation juif très proche de nombres des exemples établis ou promus dans l’Europe du XIXème siècle, État qui devait ensuite être peuplé par la plus grande partie des Juifs de la diaspora mondiale, et privilégiant pour son implantation l’ancienne terre juive de Palestine.

    La plupart des descriptions modernes du mouvement sioniste suggèrent qu’il est apparu en Europe en réaction au fort antisémitisme subi par trop de Juifs d’Europe durant le XIXème siècle, et c’est également comment le présentent mes manuels d’histoire en introduction.

    Theodore Herzl, universellement reconnu comme père du Sionisme, était un journaliste austro-hongrois, dont le nom marque fortement le pays moderne qu’il a inspiré, comme l’indique le nom de la ville de Herzilia, ou encore celui de la métropole de Tel Aviv, qui était à l’origine le titre de l’un de ses romans sionistes.

    La France révolutionnaire aura été le premier pays d’Europe à accorder la pleine citoyenneté à sa petite minorité juive, et durant les guerres napoléoniennes qui ont suivi, les armées françaises ont imposé la même réforme à de nombreux pays qu’elles sont occupé, libérant les Juifs de leurs invalidités juridiques traditionnelles. Durant un siècle, la France et sa population juive bien intégrée ont ainsi été considérées comme le firmament de la communauté juive européenne, dont la plus grande partie connaissait des conditions de vie bien pires en Europe de l’Est, surtout l’énorme population de Juifs opprimés qui souffraient au sein de l’Empire russe tsariste farouchement antisémite.

    Mais en approchant de la fin du XIXème siècle, la société française a été secouée durablement par l’un des incidents antisémites les plus notables de l’histoire, la condamnation injuste et le cruel emprisonnement d’Alfred Dreyfus, un officier juif de l’armée française, accusé à tort d’espionnage en raison de son origine ethnique, sur la base de preuves fabriquées.

    Herzl vivait et travaillait à Paris à l’époque et, selon le récit qu’il en a fait par la suite, l’épouvantable vague de haine française anti-juive à laquelle il a assisté durant le procès Dreyfus l’a convaincu qu’une assimilation des Juifs était impossible, et que seul un État-nation dirigé par des Juifs pouvait protéger les intérêts de son peuple si souvent persécuté. Cela l’a amené à publier ‘The Jewsih State’ en 1896, ouvrage fondateur du mouvement sioniste.

    Voilà le type de présentation rapide qu’en faisaient mes manuels d’histoire, et je l’avais toujours acceptée. La tristement célèbre affaire Dreyfus avait bouleversé la vie politique française durant plus d’une décennie, et on la considérait le plus souvent comme l’un des incidents antisémites les plus choquants de l’histoire du monde, si bien que son rôle centrale dans l’éclosion du mouvement sioniste faisait sens. Mais il y a plusieurs années, j’ai lu un récit salué de toutes parts sur l’antisémitisme, publié par un universitaire de premier plan, et j’ai découvert que les faits véritables étaient en réalité quelque peu différents.

    En 1991, Cambridge University Press a publié ‘The Jew Accused’, écrit par Albert Lindemann, un universitaire réputé pour son expertise des mouvements idéologiques européens, et son ouvrage était centré précisément sur cette ère et sur ce type d’incident. Bien que le corps du livre soit relativement court — il s’étale sur moins de 300 pages —, Lindemann a établi sa discussion sur un énorme socle de littérature secondaire, et ses notes de bas de page font référence à 200 ouvrages compris dans sa bibliographie étendue. Pour autant que je puisse en juger, il avait l’air d’un universitaire très minutieux, apportant le plus souvent les multiples récits, souvent contradictoires entre eux, d’un incident donné, et tirant ses propres conclusions avec une hésitation considérable.

    Cette approche est tout à fait prégnante dans la première de ses affaires majeures, la célèbre affaire Dreyfus dans la France de la fin du XIXème siècle, sans doute l’un des incidents antisémites les plus célèbres de l’histoire. Bien qu’il conclue que le capitaine Alfred Dreyfus fût très probablement innocent de l’accusation d’espionnage, il note que les éléments qui avaient amené à son arrestation et à sa condamnation avaient pu sembler très étayés, et il établit — contrairement au mythe créé par la suite par de nombreux auteurs — que rien n’indique que ses origines juives aient joué le moindre rôle dans cette situation difficile.

    Mais il note également le contexte social sous-jacent à cette dure lutte politique. Alors qu’un Français sur mille seulement était juif, quelques années auparavant, un groupe de Juifs s’était illustré comme coupable principal de plusieurs énormes scandales financiers qui avaient mis sur la paille de nombreux petits investisseurs, et les escrocs avaient ensuite échappé à toute punition en faisant usage d’influences politiques et de pots de vin. Au vu de cette histoire, une grande partie de l’indignation ressentie par les anti-Dreyfusards provenait sans doute de leurs craintes qu’un espion militaire juif issu d’une très riche famille pût s’en sortir en usant de tactiques semblables, et les affirmations publiques selon lesquelles le frère de Dreyfus offrait des pots-de-vin énormes pour assurer sa libération ont sans aucun doute renforcé ces préoccupations.

    La conclusion sans équivoque de l’analyse de Lindemann était que, dans le cas de l’affaire Dreyfus, si le défenseur n’avait pas été juif, il aurait subi la même arrestation et la même condamnation, mais faute de disposer d’une communauté juive riche et politique mobilisée autour de lui, il aurait reçu sa punition, juste ou injuste, et serait immédiatement tombé dans l’oubli. Mais comme en l’instance il était juif, le soutien massif que sa communauté à déployé autour d’une personne considérée par beaucoup comme un traître a fini par provoquer d’énormes retombées négatives dans la population non juive. Et comme le note Wikipédia, Herzl semblait croire en la culpabilité de Dreyfus, ce qui soulève d’importants doutes sur l’idée que cette affaire ait véritablement pu tenir lieu d’inspiration au sionisme.

    Bien que des Juifs d’Europe centrale, comme Herzl, aient lancé et ensuite dirigé le mouvement sioniste, ils ne sont pas parvenus à rallier un fort soutien populaire au sein de leurs propres communautés juives, qui étaient assez bien installées et prospères. L’affaire Dreyfus a pu dominer la politique française pendant une bonne dizaine d’années, mais les Dreyfusards ont fini par triompher, et l’officier juif emprisonné à tort a été libéré et a vu son honneur lavé, cependant que ses persécuteurs ont été brisés politiquement.

    Dans le même temps, les Juifs de l’empire tsariste, misérables et pauvres, restaient largement confinés à leur Zone de Résidence, et ils vivaient souvent dans la crainte de pogroms réguliers, et l’on pense que le gouvernement hostile a pu organiser ou encourager des massacres par la foule. Au vu de leur énorme mécontentement, ils ont rapidement pris une place importante dans la base populaire du mouvement sioniste, et après la mort de Herzl en 1904, ils ont fini par en prendre également la direction, avec Chaim Weizmann, le chimiste né en Russie, qui s’est illustré comme figure proéminente du mouvement. C’est Weizmann qui est parvenu à obtenir la Déclaration Balfour en 1917 de la part de la Grande-Bretagne, qui promettait la création d’une patrie juive en Palestine et il est finalement devenu le premier président d’un Israël indépendant, une fois l’État établi, en 1949.

    Mais ici également, le travail universitaire minutieux mené par Lindemann a décortiqué de nombreux mythes au sujet de l’antisémitisme tsariste, supposé avoir propulsé le mouvement sioniste à l’époque, et que j’avais toujours accepté sans sourciller.

    La discussion de Lindemann au sujet des relations souvent difficiles entre la minorité juive rétive de Russie et l’immense majorité slave du pays est également des plus intéressantes, et il montre que de nombreuses instances d’incidents majeurs, supposés démontrer l’attrait considérable d’un antisémitisme vicieux, se sont en réalité de manière très différente de ce qu’en a retenu la légende. Le célèbre pogrom de Kishinev, en 1903, a évidemment résulté de fortes tensions ethniques dans cette ville, mais contrairement aux accusations répétées des auteurs ayant traité l’incident plus tard, il ne semble exister strictement aucun élément d’une implication du gouvernement à haut niveau, et les affirmations généralisées de 700 morts qui terrifient le monde entier ont été largement exagérées, puisqu’on a compté 45 personnes tués dans les émeutes urbaines. Chaim Weizmann, futur président d’Israël, a par la suite promu le récit selon lequel lui-même et d’autres Juifs courageux avaient personnellement défendu leur peuple, revolvers à la main, alors qu’ils avaient sous les yeux les corps mutilés de 80 victimes juives. Ce récit est totalement inventé, car il s’est révélé que Weizmann se trouvait à des centaines de kilomètres au moment où les émeutes se sont produites.

    Il ne serait évidemment pas honnête d’affirmer que mensonges et exagérations seraient l’apanage exclusif des partisans politiques de la communauté juive de Russie, mais l’existence d’un puissant réseau international de journalistes juifs et d’organes de presse influencés par les Juifs ont assuré que des récits de propagande ainsi concoctés ont pu faire l’objet d’une immense distribution dans le monde entier, laissant la vérité pour le moins très à la traîne.

    Pour des raisons proches, l’indignation internationale a souvent été centrée sur le confinement juridique de la plupart des Juifs de Russie à la “Zone de Résidence”, ce qui suggérait une forme d’emprisonnement étroit ; mais cet espace était l’habitat traditionnel de la population juive, et englobait des territoires de la taille de la France et l’Espagne réunies. On a souvent supposé que l’appauvrissement croissant des Juifs d’Europe de l’Est durant cette ère était une conséquence de politiques gouvernementales hostiles, mais l’explication évidente réside dans l’extraordinaire fécondité des Juifs de l’époque, qui dépassait de loin celle de leurs compatriotes slaves, et les a rapidement amenés à déborder des occupations habituelles d’“intermédiaires”, une situation qui s’est empirée du fait de leur réticence totale à se mettre à l’agriculture et aux autres activités de production primaire. Les communautés juives ont exprimé leur horreur face au risque de perdre leurs fils avec l’enrôlement militaire tsariste, mais cela ne constituait que l’avers de la pleine citoyenneté russe qui leur avait été accordée, et leurs compatriotes non juifs n’étaient en la matière pas logés à meilleure enseigne.

    Il ne fait aucun doute que les Juifs de Russie ont fortement souffert de nombreuses émeutes et attaques de foule au cours de la génération qui a précédé la première guerre mondiale, et ces événements ont à l’occasion été substantiellement encouragés par le gouvernement, surtout au lendemain du rôle très important tenu par les Juifs lors de la Révolution de 1905. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’un conspirateur juif s’était trouvé impliqué dans le meurtre du Tsar Alexandre II, ni que des assassins juifs avaient également frappé plusieurs hauts ministres russes et de nombreux dirigeants gouvernementaux. Si les dix ou vingt dernières années avaient vu des Musulmans étasuniens assassiner un président étasunien en exercice, divers membres du Cabinet, ainsi qu’un grand nombre d’autres dirigeants élus ou nommés, il ne fait aucun doute que la situation des Musulmans aux États-Unis serait devenu très inconfortable.

    Lindemann, dans sa description fidèle des tensions entre la population juive de Russie en croissance rapide et les autorités gouvernementales, ne peut éviter de faire mention de la notoire réputation des Juifs en matière de pots-de-vin, de corruption et de malhonnêteté générale, et il cite de nombreux personnages de toutes obédiences politiques qui notent la propension remarquable des Juifs à commettre le parjure dans les tribunaux, et comment cela a produit de graves problèmes dans l’administration efficace de la justice. E.A. Ross, l’éminent sociologue étasunien, a décrit par écrit en 1913 le comportement habituel des Juifs d’Europe de l’Est selon des termes très similaires.

    Lindemann n’est absolument pas le seul à suggérer que l’antisémitisme rampant supposé de la Russie tsariste a souvent été grandement exagéré ou mal dépeint.

    Durant des décennies, la plupart des Étasuniens auraient classé Alexandre Soljenitsyne, le prix Nobel, parmi les plus grandes personnalités littéraires du monde, et son seul ouvrage ‘l’Archipel du Goulag’ s’est vendu à plus de 10 millions d’exemplaires. Mais son dernier ouvrage a été le récit en deux volumes de 200 années tragiques d’histoire commune entre les Russes et les Juifs, et malgré sa publication en 2002 en russe et sa traduction en de nombreuses autres langues, ce livre n’a encore jamais pu être publié en anglais, même si diverses éditions partielles ont pu circuler sur Internet sous forme de samizdat.
    https://archive.org/details/Solzhenitsyn200YearsTogether

    Le récit exhaustif livré par Soljenitsyne dépeint les efforts énormes entrepris par le gouvernement tsariste pour intégrer et satisfaire la population juive en croissance très rapide, allant jusqu’à lui mettre à disposition gratuitement les meilleures terres pour qu’elle s’y implante, tout en essayant de protéger la paysannerie slave vulnérable de l’exploitation juive à base d’usure, de vente d’alcool, et d’activités ouvertement criminelles.

    La misère et l’appauvrissement croissants de la communauté juive de Russie durant cette période les a également amené à pencher vers diverses solutions à leurs maux, comme le sionisme, le marxisme et l’émigration, mais le facteur principal derrière leur déclin économique restait leur croissance démographique colossale, de loin la plus élevée de tous les groupes européens, qui avait vu leur nombre s’accroître d’un facteur proche de 10 en à peine un siècle ;
    https://www.jewishhistory.org/jewish-russia-1800-1850/
    Weizmann lui-même est issu d’une fratrie de quinze enfants. En contraste, l’antisémitisme, réel ou imaginé, n’a sans doute constitué qu’un facteur relativement mineur à cet égard. Et même si l’idéologie sioniste est devenue très populaire parmi les Juifs de Russie, seule une petite fraction de la communauté a essayé d’agir en s’implantant en Palestine ; au lieu de cela, la vaste majorité des émigrés choisissaient les États-Unis, la Grande-Bretagne, ou d’autres nations occidentales développées comme destination préférée.

    De fait, parmi les Juifs de l’Empire russe, le sionisme a pu parfois sembler jouer davantage le rôle de véhicule idéologique assurant l’unité et la cohésion ethnique que manifester une véritable intention d’aller s’installer en Palestine. Et ceci met peut-être en lumière une inspiration centrale pour le sionisme, peut-être plus importante même que les provocations antisémites supposées sur lesquelles on insiste tellement dans nos récits standards.

    Mes manuels historiques mentionnent tous Herzl comme fondateur du sionisme, et omettent presque tous le nom de Max Nordau, son allié et collaborateur le plus proche dans la création du mouvement, un compatriote austro-hongrois qui vivait à paris et qui a également affirmé s’être trouvé radicalisé du fait de l’affaire Dreyfus. Nordau, médecin et auteur, était déjà un intellectuel public de premier plan, et sa pleine adhésion à la nouvelle cause sioniste a apporté à celle-ci un dynamisme considérable, en comparaison à un Herzl relativement obscur. En outre, c’est Nordau qui a organisé les congrès sionistes internationaux qui sont devenus la pièce maîtresse du mouvement, dont il a pris la direction après la mort de Herzl.

    Étant donné le rôle central joué par Nordau dans la création du sionisme, son nom aurait certainement dû être systématiquement cité de pair avec celui de Herzl dans tous nos récits historiques, mais il subit un facteur disqualifiant. Nordau est en fait mieux connu comme l’un des pères fondateurs du racialisme européen du XIXème, un courant idéologique qui livre sans doute un éclairage important sur les véritables racines du sionisme. Je soupçonne que son rôle central dans la création du sionisme a été soigneusement éludé de tous les récits populaires afin d’éviter d’attirer l’attention sur les liens très étroits qui existent entre ces deux mouvements intellectuels du XIXème siècle, qui sont désormais décrits suivant des termes totalement différents par les Juifs libéraux qui dominent notre vie universitaire et nos organes de presse.

    De fait, bien que peu d’Occidentaux contemporains puissent même le soupçonner, des Juifs européens comme Nordau ont bel et bien joué un rôle absolument central dans la naissance du racialisme moderne, dont le sionisme peut être considéré comme un simple mouvement rejeton.

    En 1911, Werner Sombart, l’éminent économiste politique allemand, avait publié ‘Les Juifs et le Capitalisme Moderne’, qui l’a rendu célèbre pour avoir affirmé que les racines de l’économie capitaliste européenne pouvaient être retracées jusqu’à l’influence de la population juive restreinte qui y habitait, et l’on pourrait également trouver des forts arguments pour avancer qu’il en est allé de même du racialisme européen.

    Dans ‘Les Larmes d’Esau’, une suite bien plus longue et bien plus complète à son premier livre sur l’histoire de l’antisémitisme, Lindemann a relevé le rôle par ailleurs peu reconnu de Benjamin Disraeli, premier ministre britannique né dans une famille juive, l’une des personnalités marquantes de la fin du XIXème siècle, et romancier de premier plan avant d’entrer en politique.

    Lindemann note également l’insistance de Disraeli sur l’extrême importance de la race et des origines raciales, un aspect central de la doctrine religieuse traditionnelle juive. Il suggère à raison que cela a sans doute dû présenter une énorme influence sur la montée de ces idées politiques, étant donné que le profil public et la stature de Disraeli étaient nettement plus considérables que les quelques auteurs et activistes que nos livres d’histoires positionnent le plus souvent au centre du jeu. De fait, Houston Stewart Chamberlain, un théoricien racial de premier plan, a de fait cité Disraeli comme source clé de ses idées. Des intellectuels juifs comme Max Nordau et Cesare Lombroso sont déjà reconnus comme des personnalités de premier plan dans la montée de la science raciale de cette époque, mais le rôle sous-évalué de Disraeli a sans doute été bien plus important. Les profondes racines juives des mouvements racialistes européens sont des éléments que les Juifs d’aujourd’hui préfèrent voir tenus écartés de la connaissance du public (La pravda américaine : la nature de l’antisémitisme.Ron Unz • The Unz Review • 30 juillet 2018)

    Le sionisme a toujours été reconnu comme mouvement nationaliste, et le nationalisme est cousin germain du racialisme. Mais le fait indéniable que le co-fondateur du sionisme était l’un des principaux racialistes d’Europe peut épargner des surprise vis-à-vis de certaines éléments de la trajectoire qu’il a ensuite suivie.

    Au lendemain de la première guerre mondiale, le mouvement sioniste a été fortement impacté par plusieurs développement politiques d’importance.

    La Grande-Bretagne avait pris la Palestine à l’Empire ottoman, et avait ouvert le pays à une immigration juive conséquente, sur la base de la déclaration de Balfour, ce qui avait permis un accomplissement des aspirations sionistes, mais avait évidemment provoqué des craintes et ressentiments parmi les habitants locaux arabes et palestiniens.

    Presque en même temps que la déclaration publique de Balfour, la Révolution bolchevique avait balayé des siècles de règne tsariste sur la Russie, et après des années d’une dure guerre civile, la direction écrasante des Juifs sur l’appareil bolchevique a consolidé leur pouvoir sur le pays le plus grand au monde et son immense population. Dans le même temps, des soulèvements bolcheviques dirigés par des Juifs avaient de peu échoué à prendre le contrôle de la Hongrie et de parties de l’Allemagne, si bien que le reste du monde a pris très peur de cette nouvelle menace révolutionnaires, dont la base de soutien dans la plupart des pays résidait dans leur petite minorité juive.

    Ces développements parallèles ont été le sujet d’un long article publié en 1920 par Winston Churchill, alors membre du cabinet des ministres, dans l’un des principaux journaux britanniques. Il a condamné le bolchevisme comme menace mondiale, et souligné la direction écrasante tenue par les Juifs sur ce mouvement. Mais il a également affirmé que sionisme et bolchevisme étaient bloqués dans une féroce lutte d’influence au sein de la communauté juive mondiale, et que la sécurité du monde dépendait du fait que la majorité des Juifs puissent s’orienter plutôt vers le premier mouvement que le second.

    Dans le même temps, Benito Mussolini avait été l’un des socialistes italiens de premier plan, mais durant la guerre, il avait rejeté cette doctrine, et partageant les préoccupations de Churchill vis-à-vis de la menace du bolchevisme, il a créé son propre mouvement fasciste, qui l’a porté au pouvoir en 1922. Nombre de ses premiers soutiens d’importance provenaient de la petite population juive très bien assimilée en Italie.

    Aussi, avec le bolchevisme soviétique et le fascisme italien tous deux considérés comme des mouvements idéologiques ayant réussi et connaissant un essor, ils ont bien entendu attiré leur lot d’admirateurs et d’imitateurs dans le monde entier, et le sionisme n’a pas été en reste. Les factions sionistes les plus importants ont suivi la voie du marxisme et ont été dominées par David Ben-Gourion, né en Russie, qui tenait Lénine pour une idole et a fini par devenir le premier premier ministre d’Israël. Mais des factions sionistes plus petites, et orientées à droite, ont quant à elles tiré leur inspiration du fascisme de Mussolini.

    Cette réalité historique se retrouve dans les recherches menées par Lenni Brenner, un anti-sioniste appartenant au mouvement trotskyste et ayant des origines juives, pour son ouvrage de 1983 ‘Le sionisme à l’âge des dictateurs’,

    ainsi que son livre compagnon, paru plus tard, ’51 documents : collaboration sioniste avec les Nazis’.

    Entre autres choses, Brenner apporte des preuves considérables du fait que la faction sioniste de droite plus importante, et devenue plus dominante, dirigée par la suite par Menachem Begin, futur premier ministre d’Israël, était presque invariablement considérée comme un mouvement fasciste durant les années 1930, même sortie de sa chaude admiration envers le régime italien établi par Mussolini. Cela n’était pas du tout un secret à l’époque, étant donné que les principaux journaux de Palestine publiaient un éditorial régulier par un dirigeant idéologique de haut niveau sous le titre “Journal d’un Fasciste.” Au cours de l’une des conférences sionistes internationales majeures, Vladimir Jabotinsky, le dirigeant d’une faction, est entré dans le bâtiment suivi de ses adeptes en chemises brunes, en formation militaire, ce qui a amené la présidence à interdire les uniformes afin d’éviter une émeute, et sa faction a rapidement décliné politiquement, et a fini par se faire expulser de l’organisation parapluie sioniste. Ce revers majeur a largement découlé de l’hostilité généralisée que le groupe s’était attirée après que deux de ses membres avaient été arrêtés par la police britannique pour l’assassinat récent de Chaim Arlosoroff, l’un des dirigeants sionistes de plus haut rang installés en Palestine.

    Et de fait, il y a quarante ans, le New York Times et d’autres grands journaux mondiaux ont révélé que durant la seconde guerre mondiale, la faction sioniste de droite dirigée par Yitzhak Shamir, premier ministre israélien en exercice, avait activement cherché à s’enrôler aux côtés des puissances de l’Axe :

    Apparemment, à la fin des années 1930, Shamir et sa petite faction sioniste étaient devenus de grands admirateurs des fascistes italiens et des nazis allemands, et après que la seconde guerre mondiale a éclaté, ils ont à plusieurs reprises essayé de prendre contact avec Mussolini et les dirigeants allemands en 1940 et en 1941, dans l’espoir d’enrôler la Palestine parmi les puissances de l’Axe, de mener une campagne d’attaques et d’espionnage contre les forces britanniques locales, puis de partager le butin politique après l’inévitable triomphe de Hitler.

    Entre autres choses, on trouve de longs extraits de lettres officielles envoyées à Mussolini dénonçant férocement les système démocratiques “décadents” britannique et français auxquels il était opposé, et assurant au Duce que ces notions politiques ridicules n’auraient aucune place à l’avenir dans l’État client totalitaire juif qu’ils espéraient établir sous ses auspices en Palestine.

    Il s’est trouvé que l’Allemagne comme l’Italie étaient préoccupées par des sujets géopolitiques plus vastes à l’époque, et au vu de la petite taille de la faction sioniste de Shamir, ces tentatives n’ont pas débouché sur grand chose. Mais savoir que le premier ministre israélien en exercice avait passé ses premières années de guerre à essayer de devenir un allié nazi, fût-ce sans y parvenir, est sans aucun doute quelque chose qui travaille les esprits, et fort peu conforme au récit traditionnel de l’époque que j’avais toujours accepté.

    Chose des plus remarquables, la révélation du passé pro-Axe de Shamir semble n’avoir eu qu’un impact relativement mineur sur sa stature au sein de la société israélienne. Je penserais que n’importe quelle personnalité étasunienne dont on découvrirait qu’elle avait soutenu une alliance militaire avec l’Allemagne nazie durant la seconde guerre mondiale aurait très fortement vu sa carrière politique compromise au vu de l’ampleur du scandale, et il en irait certainement de même en Grande-Bretagne, en France, et dans la plupart des pays occidentaux. Mais bien qu’un certain embarras ait pu être constaté au niveau de la presse israélienne, surtout après que ce récit choquant a fait les gros titres de la presse internationale, il semble que la plupart des Israéliens aient avalé l’ensemble sans broncher, et Shamir est resté en poste une année de plus, puis a de nouveau occupé le poste de premier ministre durant une période plus longue encore, de 1986 à 1992. Les Juifs d’Israël considéraient apparemment l’Allemagne nazie de manière très différente que ne le faisaient la plupart des Étasuniens, sans même parler des Juifs étasuniens.

    On ne serait guère surpris qu’un mouvement idéologique farouchement racialiste inspiré par Mussolini ait pu essayer de rejoindre les puissances de l’Axe durant la seconde guerre mondiale. Mais chose ironique, comme l’ont révélé les remarquables recherches menées par Brenner, le mouvement sioniste dominant, malgré son orientation à gauche et ses croyances marxistes, a de fait passé la plus grande partie des années 1930 aligné sur l’Allemagne nazie au sein d’un partenariat bien plus important, et qui a joué un rôle central dans la création d’Israël.

    La couverture de l’édition de poche de l’ouvrage de Brenner affiche en illustration la médaille commémorative frappée par l’Allemagne nazie pour marquer son alliance sioniste, avec une Étoile de David sur l’avers et une Swastika sur le revers. Mais chose étrange, ce médaillon symbolique n’avait absolument aucun lien avec les tentatives ratées de la petite faction de Shamir pour mettre en place une alliance militaire nazie durant la seconde guerre mondiale.

    Bien que les Allemands ne prêtassent que fort peu d’attention à cette organisation mineure, le mouvement sioniste bien plus vaste et bien plus influent de Chaim Weizmann et de David Ben-Gourion en était totalement distinct. Et durant la plus grande partie des années 1930, ces autres sionistes avaient constitué un important partenariat économique avec l’Allemagne nazie, sur la base de communautés d’intérêts évidentes. Après tout, Hitler considérait le 1~ \% de population juive comme un élément perturbateur et potentiellement dangereux qu’il voulait expulser, et le Moyen-Orient lui apparaissait une destination tout aussi bonne qu’une autre. Dans le même temps, les sionistes avaient des objectifs très proches, et la création de leur nouvelle patrie nationale en Palestine avait évidemment besoin aussi bien d’immigrés juifs que d’investissements financiers juifs.

    Après la nomination de Hitler comme chancelier en 1933, des Juifs scandalisés ont lancé un boycott économique dans le monde entier, dans l’espoir de mettre l’Allemagne à genoux, avec le Daily Express de Londres qui a marqué les esprits en affichant la bannière ‘La Judée déclare la Guerre à l’Allemagne.’

    L’influence politique et économique juive était alors, comme elle l’est toujours, considérable, et dans les profondeurs de la Grande Dépression, l’Allemagne appauvrie devait exporter ou mourir, si bien qu’un boycott à grande échelle des marchés allemands majeurs posait une menace potentiellement grave. Mais cette situation précise a apporté aux groupes sionistes une excellente opportunité de proposer aux Allemands un moyen de rompre cet embargo commercial, et ils ont demandé des conditions favorables pour les exportations de produits manufacturés allemands de haute qualité à destination de la Palestine, accompagnés de Juifs allemands. Lorsque cet “Accord de Transfert” ou Ha’avara conclu avec les nazis a été exposé au cours d’une convention sioniste, en 1933, de nombreux Juifs et sionistes se sont scandalisés, et cela a amené à de nombreuses ramifications et controverses. Mais l’accord économique était trop bon pour qu’on lui résiste, et il a vécu sa vie et connu une croissance rapide.

    Il serait difficile de surestimer l’importance du pacte nazi-sioniste pour l’installation d’Israël. Selon une analyse produite en 1974 dans Jewish Frontier et citée par Brenner, entre 1933 et 1939, plus de 60 % de l’ensemble des investissements réalisés en Palestine juive provenaient d’Allemagne nazie. L’appauvrissement suscité dans le monde entier par la Grande Dépression avait drastiquement réduit le soutien financier juif en provenance de toutes les autres sources, et Brenner suggère que sans le soutien financier de Hitler, la colonie juive naissante, petite et fragile, aurait facilement pu se flétrir et mourir durant cette période difficile ; cette suggestion apparaît comme raisonnable.

    Cette conclusion débouche sur des hypothèses fascinantes. Lorsqu’au départ je suis tombé sur des références à l’accord Ha’avara sur des sites internet à droite et à gauche, l’un des commentateurs sur le sujet suggérait sur le ton de la demi-blague que si Hitler avait gagné la guerre, on aurait sans doute érigé des statues à son effigie en Israël, et qu’il serait de nos jours reconnu par les Juifs du monde entier comme le dirigeant non-juif héroïque ayant joué le rôle central de rétablir une patrie nationale au peuple juif en Palestine après presque 2000 ans de dur exil.

    Ce type de possibilité contre-factuelle édifiante n’est pas aussi absurde qu’elle pourrait le paraître aux esprits d’aujourd’hui. Nous devons reconnaître que notre compréhension historique de la réalité est façonnée par les médias, et les organes médiatiques sont contrôlés par les vainqueurs des principales guerres, et leurs alliés, et les détails gênants sont bien souvent supprimés de l’histoire pour induire le public en erreur. Il est indéniablement vrai que dans son livre de 1924, Hitler avait écrit toutes sortes de choses hostiles et agressives à l’encontre des Juifs, surtout ceux qui avaient immigré récemment depuis l’Europe de l’Est, mais lorsque j’ai lu ce livre, j’étais au lycée, j’avais été quelque peu surpris de découvrir que ces sentiments anti-juifs n’étaient pas du tout centraux dans son livre. Qui plus est, une ou deux années plus tard, un personnalité publique nettement plus éminente avait publié des sentiments presque aussi hostiles et agressifs, en la personne de Winston Churchill, ministre britannique ; en centrant ses propos sur les crimes monstrueux commis par les Juifs bolcheviques.
    https://www.fpp.co.uk/bookchapters/WSC/WSCwrote1920.html
    Dans le livre ‘Les Larmes d’Esau’ d’Albert Lindemann, j’ai eu la surprise de découvrir que l’auteur de la célèbre déclaration de Balfour, fondation du projet sioniste, était apparemment lui aussi très hostile envers les Juifs, et un élément de ses motivations a sans doute été de les exclure hors de Grande-Bretagne.

    Après que Hitler a consolidé son emprise sur le pouvoir en Allemagne, il a rapidement déclaré hors-la-loi toutes les autres organisations politiques pour le peuple allemand, et seul le parti nazi et les symboles politiques nazis sont restés juridiquement autorisés. Mais une exception spéciale a été prononcée pour les Juifs allemands, et le parti sioniste local allemand a eu droit à des statuts juridiques en bonne et due forme, avec des manifestations sionistes, des uniformes sionistes, et autorisation a été prononcée d’arborer des drapeaux sionistes. Sous Hitler, toutes les publications allemandes étaient strictement censurées, mais le journal hebdomadaire sioniste était librement vendu dans tous les kiosques et coins de rue. Il semblait bien qu’un parti national-socialiste allemand était la demeure politique appropriée pour la majorité allemande des 99%, cependant que le national socialisme sioniste pouvait jouer le même rôle pour la petite minorité juive.

    En 1934, les dirigeants sionistes ont invité un important dirigeant SS à passer six mois dans une colonie juive en Palestine, et à son retour, il a fait état de ses impressions très favorables de l’entreprise sioniste croissante dans une importante suite de articles parus dans le journal Der Angriff publié par Joseph Goebbel, organe médiatique amiral du parti nazi, sous le titre descriptif : “Un Nazi se Rend en Palestine.” Dans sa critique très verte de l’activité bolchevique juive, Churchill avait affirmé que le sionisme était bloqué dans une lutte farouche contre le bolchevisme pour s’emparer de l’âme de la communauté juive européenne, et que seule sa victoire pouvait assurer des relations amicales à l’avenir entre les Juifs et les Goys. Sur la base des éléments disponibles, Hitler et nombre d’autres dirigeants nazis semblent être parvenus à une conclusion peu ou prou similaire au milieu des années 1930.

    Après l’éruption de la controverse sur les liens entre Shamir et les nazis jusque dans les gros titres de la presse internationale, les éléments mis en avant par Brenner ont fourni de la matière à Edward Mortimer, expert de longue date du Moyen-Orient, qui a produit un article dans les pages de l’auguste Times de Londres, et l’édition 2014 du livre intègre des extraits choisis de l’article de Mortimer paru le 11 février 1984 dans le Times, soulignant les sentiments extrêmement rudes manifestés par les dirigeants sionistes à l’égard de la diaspora juive, ce qui a contribué à expliquer pourquoi le partenariat sioniste avec l’Allemagne nazie était moins difficile qu’on aurait pu s’y attendre.

    Qui a affirmé devant un auditoire berlinois, au mois de mars 1912, « que chaque pays ne peut absorber qu’un nombre limité de Juifs, s’il ne veut pas de problèmes intérieurs. L’Allemagne a déjà trop de Juifs.” ?

    Non, ce n’était pas Adolf Hitler, mais Chaim Weizmann, qui est devenu par la suite président de l’organisation sioniste mondiale, et encore après premier président de l’État d’Israël.

    Et d’où pensez-vous que provient l’affirmation suivante, composée au départ en 1917, mais republiée en 1936 : “Le Juif est la caricature d’un être humain normal, aussi bien physiquement que spirituellement. En tant qu’individu dans la société, il se révolte et rejette le harnais des obligations sociales, et ne connait ni ordre ni discipline” ?

    Non pas dans Der Sturmer, mais dans Hashomer Hatzair, l’organisation des jeunes sionistes.

    Comme le révèle la citation ci-avant, le sionisme encourageait et exploitait la haine de soi dans la Diaspora. Il a commencé sur la supposition que l’antisémitisme était inévitable et même en un sens justifié, tant que les Juifs vivaient hors des terres d’Israël.

    Il est vrai que seule une franche extrême et lunatique du sionisme est allée jusqu’au stade de proposer en 1941 de rejoindre la guerre aux côtés de l’Allemagne, dans l’espoir d’établir “l’État juif historique sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité avec le Reich allemand.” Malheureusement, c’est ce groupe que le ministre actuel d’Israël a choisi de rallier.

    J’ai résumé ces sentiments sionistes :

    La vérité très inconfortable est que les descriptions peu amènes de la diaspora juive que l’on trouve dans les pages de Mein Kampf n’était pas très différentes de ce que clamaient les pères fondateurs du sionisme et ensuite les dirigeants de ce mouvement, si bien que la coopération entre ces deux mouvements idéologiques n’était pas si surprenante que cela.

    Très ironique également a été le rôle d’Adolf Eichmann, dont le nom figure sans doute parmi les quelques nazis les plus notoires de l’histoire, du fait de son kidnapping en 1960 par des agents israéliens, suivi par son procès-spectacle public et son exécution comme criminel de guerre. Il se trouve qu’Eichmann avait été l’une des personnalités nazies centrales dans l’alliance sioniste ; il est allé jusqu’à étudier l’Hébreu et est semble-t-il devenu philosémite durant les années de son étroite collaboration avec les hauts dirigeants sionistes.

    Mais au lendemain de la victoire alliée absolue après la seconde guerre mondiale, et la diabolisation massive de l’Allemagne nazie — et les anciens alliés juifs n’ont pas été les derniers à y prendre part, le rôle central du partenariat économique nazi-sioniste des années 1930 est devenu un secret à faire disparaître à tout prix pour le gouvernement israélien nouvellement établi, un secret qui aurait pu détruire le pays balbutiant s’il avait été largement connu. Il n’est pas impossible que la raison première de l’élimination d’Eichmann ait découlé de préoccupations sur l’idée qu’il aurait pu révéler cet accord dissimulé de longue date. (La Pravda américaine : Juifs et Nazis. Ron Unz • The Unz Review • 6 août 2018)

    La profondes racines racialistes et les liens historiques avec les Nazis du mouvement sioniste et de l’État d’Israël qu’il a créé apparaissent de manière frappante à quiconque enquête sur la nature de la société israélienne moderne, même si nos médias affichent un parti pris écrasant pour Israël et n’insistent pas du tout sur ces embarras idéologiques.

    De manière plutôt ironique, Israël est aujourd’hui l’un des rares pays présentant un critère strict à base raciale pour le statut de citoyenneté et d’autres privilèges ; la politique d’immigration réservée aux Juifs est désormais souvent mise en œuvre en pratiquant des tests ADN,
    https://www.jpost.com/Israel-News/Politics-And-Diplomacy/New-law-says-genetic-test-valid-for-determining-Jewish-status-in-some-cases-506584
    et les mariages entre Juifs et non-Juifs sont juridiquement interdits. Il y a quelques années, les médias mondiaux ont également relaté l’histoire remarquable d’un Arabe palestinien condamné à de la prison pour viol pour avoir eu des relations sexuelles consenties avec une femme juive en s’étant fait passer pour Juif.

    Comme le judaïsme orthodoxe est strictement matrilinéaire et contrôle la loi d’Israël, même les Juifs provenant d’autres branches peuvent connaître des difficultés inattendues en raison de conflits entre identités ethniques personnelles et statuts juridiques officiels. La vaste majorité des riches et influentes familles juives vivant dans le reste du monde ne suit pas les traditions religieuses orthodoxes, et au fil des générations, ont souvent épousé des femmes non juives. Pourtant, même si ces dernières s’étaient converties au judaïsme, leur conversion est considérée comme invalide par les rabbins orthodoxes, et aucun de leurs descendants n’est reconnu comme juif. Et si certains membres de ces familles développent par la suite un profond engagement envers leur héritage juif et décident d’aller vivre en Israël, ils sont parfois scandalisés de découvrir qu’ils ont été classifiés officiellement comme “goyims” suivant la loi orthodoxe, et n’ont pas le droit juridiquement de se marier avec des personnes juives. Ces controverses politiques majeures font régulièrement éruption et se frayent parfois un chemin jusque dans les médias internationaux.

    Il me semble que tout dirigeant étasunien qui proposerait des tests ADN pour décider l’admission ou de l’exclusion de candidats à l’immigration connaîtrait les plus grandes difficultés à conserver son poste, et les activistes juifs d’organisations comme l’ADL ne seraient sans doute pas les derniers à mener l’attaque. Et il en irait sans doute de même pour tout procureur ou juge qui enverrait des non-blancs en prison pour le crime de “se faire passer pour” blanc et réussir ainsi à séduire des femmes blanches. Et il en irait de même en Grande-Bretagne, en France, et dans la plupart des pays occidentaux, où des organisations comme l’ADL ne manqueraient pas de jouer un rôle important. Pourtant, en Israël, ces lois existent, provoquent un certain embarras temporaire lorsqu’on en parle dans les médias internationaux, mais restent invariablement en place après qu’on a arrêté de parler de l’affaire. Ce type de sujet est considéré comme n’ayant guère plus d’importance que les liens entretenus par le premier ministre israélien des années 1980 avec les nazis durant la guerre.

    Mais peut-être que la solution à ces différences troublantes dans le fonctionnement des réactions publiques réside dans une vieille blague. Un esprit de gauche a jadis affirmé que la raison pour laquelle les États-Unis n’avaient jamais connu de coup d’État militaire était qu’il s’agissait du seul pays au monde qui n’a pas d’ambassade des États-Unis pour organiser ce type d’activité. Et contrairement aux États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, et de nombreux autres pays traditionnellement blancs, Israël ne dispose pas d’organisations activiste juive pour remplir le rôle puissant de l’ADL.

    Au cours des dernières années, de nombreux observateurs extérieurs ont noté une situation politique apparemment très étrange en Ukraine. Ce pays malheureux possède de puissants groupes militants, dont les symboles publics, l’idéologie affirmée, et les affiliations politiques les marquent sans coup férir comme néo-nazis. Pourtant, ces éléments néo-nazis violents se font tous financer et contrôler par un oligarque juif qui bénéficie de la double nationalité israélienne. Qui plus est, cette étrange alliance a été enfantée et bénie par des personnalités néoconservatrices juives parmi les plus en vue aux États-unis, comme Victoria Nuland, qui a réussi à faire usage de son influence médiatique pour maintenir des éléments aussi explosifs loin des yeux du public étasunien.

    Au premier coup d’œil, une relation étroite entre Juifs israéliens et néo-nazis européens apparaît comme une alliance parfaitement grotesque et bizarre, mais après avoir lu le livre fascinant de Brenner, mon point de vue a nettement changé. De fait, la principale différence entre le passé et le présent est que durant les années 1930, les factions sionistes représentaient un partenaire particulièrement insignifiant aux yeux d’un Troisième Reich puissant, alors que de nos jours, ce sont les Nazis qui tiennent le rôle de demandeurs face à la puissance formidable du sionisme international, qui domine désormais résolument le système politique étasunien, et à travers lui une grande partie du monde.

    Considérons le traitement contrasté de l’antisémitisme, du racisme et du nationalisme juif connu sous le nom de sionisme dans notre monde occidental, dont les élites politiques et médiatiques dominantes assignent des valeurs morales extrêmement différentes à ces mouvements disparates. Il y a plusieurs années, j’ai exposé une manière permettant de comprendre la relation entre ces différentes idéologies.

    Un groupe cohérent et organisé possède en général des avantages colossaux par rapport à une masse agglomérée d’individus atomisés, et c’est ainsi qu’une Phalange macédonienne disciplinée pouvait facilement vaincre un corps nettement plus nombreux d’infanterie désorganisée. Il y a de nombreuses années, sur un site internet, j’étais tombé sur un commentaire très perspicace au sujet du lien évident existant entre “antisémitisme” et “racisme,” que nos médias dominants identifient comme deux des pires maux du monde. Selon cette analyse, l’“antisémitisme” représente la tendance à critiquer ou à résister à la cohésion sociale juive, alors que le “racisme” représente les tentatives des non-juifs blancs à maintenir une cohésion sociale semblable entre eux. Dans la mesure où les émanations idéologiques en provenance de nos organes médiatiques centralisés servent à renforcer et à protéger la cohésion juive tout en attaquant et en dissolvant toute cohésion du même ordre de la part de leurs homologues non-juifs, les premiers en tirent évidemment des avantages colossaux dans la compétition aux ressources menées contre les seconds.

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